Trois petits nouveaux en attendant Meteor Lake/Arrow Lake © Intel
Trois petits nouveaux en attendant Meteor Lake/Arrow Lake © Intel

Alors que nous attendions plutôt la génération Meteor Lake, Intel a revu ses plans. Meteor Lake n’arrivera qu’en décembre et, surtout, que sur portable. Comme pour occuper le terrain, Intel a prévu les processeurs Raptor Lake Refresh. Des puces qui ne semblent toutefois pas apporter grand-chose de neuf... en dehors d’une fréquence boost augmentée de 200 MHz.

Les plus
  • Solides performances générales
  • Une courte avance en jeu vidéo
  • Échauffement modéré à 125 W
  • Encore plus haut les fréquences
  • Compatible chipsets 600/700
Les moins
  • Pas de franches nouveautés
  • Chauffe qui devient très gênante
  • Performances à peine améliorées

Fiche technique Intel Core i9-14900K

Résumé
Support du processeur (socket)Intel LGA1700
Fréquence CPU3.2GHz
Fréquence en mode Turbo6GHz
Nombre de core24
Cache L336Mo
Compatibilité chipset carte mèreIntel Z790 Express, Intel Z690 Express
Contrôleur graphique intégréIntel UHD Graphics 770
Caractéristiques techniques
Support du processeur (socket)Intel LGA1700
Fréquence CPU3.2GHz
Fréquence en mode Turbo6GHz
Nombre de core24
Coeurs performants8
Cores efficients16
Nombre de Threads32
VirtualisationIntel Virtualization VT, Intel Virtualization VT-d, Intel Virtualization VT-x
Architecture
Nom de l'architectureRaptor Lake-Refresh
Finesse de gravure10nm
TDP / PBP125W
TDP Max253W
Cache L232Mo
Cache L336Mo
Compatibilité chipset carte mèreIntel Z790 Express, Intel Z690 Express
Graphismes
Contrôleur graphique intégréIntel UHD Graphics 770
Fréquence du chipset graphique300MHz
Fréquence boostée graphique1,650MHz
Contrôleur mémoire
Contrôleur mémoireDDR5
Type de contrôleur mémoireDual Channel
Fréquence(s) MémoireDDR4 3200 MHz, DDR5 5600 MHz
Commençons par le plus costaud de la gamme, le Core i9-14900K © Nerces pour Clubic

Bis repetita… placent ?

Après quelques couacs liés au processus de gravure 10 nm – plus difficile à maîtriser que prévu – Intel était finalement revenu sur de solides rails avec l’architecture Alder Lake lancée en 2021, comme avec le Core i9-12900K. La société américaine semblait pouvoir repartir sur son fameux rythme tick-tock alternant nouvelle architecture les années A et nouvelle finesse de gravure les années B.

À l’automne 2022, Raptor Lake avait déjà relativisé ce retour du tick-tock. L’architecture restait globalement la même et le processus Intel 7 était conservé. À l’occasion du test du Core i9-13900K, nous avions d’ailleurs pu vérifier que Raptor Lake se focalisait sur l’augmentation du cache mémoire sans apporter d’autres grosses améliorations.

Le plus rapide ? Nous allons vérifier cela... © Intel

Hélas, la communication très confidentielle d’Intel autour de Raptor Lake Refresh ne laissait guère de place au doute : les changements sont encore plus réduits sur ce que l’on ne manquera pas d’appeler une demi-nouveauté. La documentation Intel insiste ainsi sur la fréquence en boost jusqu’à 6 GHz sur le Core i9-14900K, soit 200 MHz de plus que sur le Core i9-13900K.

Wi-Fi 7 ? Bluetooth 5.4 ? Mouaif…

Intel souligne aussi un maximum de 24 cœurs ou l’utilisation du processus de gravure Intel 7 : rien de nouveau par rapport à la génération précédente. Pas mieux non plus pour la prise en charge du PCIe Gen 5.0 ou de la DDR5 en double-canal et pour se démarquer, Intel est obligé d’insister sur le Wi-Fi 7, le Bluetooth 5.4 ainsi que l’USB 3.2 Gen 2x2. Pas très enthousiasmant.

Wi-Fi 7, Bluetooth 5.4 : ça ne présage rien de très novateur © Intel

Au sein de la technologie de Dynamic Tuning, Intel annonce tout de même la mise en place d’une nouvelle politique baptisée Intel Application Optimization et chargée de mieux rediriger les ressources, en particulier pour tout ce qui est jeu vidéo : Intel avance des gains de 13 % sur Tom Clancy’s Rainbow Six: Siege et de 16 % sur Metro Exodus.

Reste que, ce n’est pas vraiment rassurant, Intel insiste aussi sur du « coming soon » (autrement dit « à venir ») avec l’arrivée prochaine de Thunderbolt 5 pour souligner une excellente connectivité ou sur « de nouveaux records du monde d’overclocking ». Vous avouerez que, là aussi, on a connu plus enthousiasmant et la plus grosse différence est peut-être ailleurs.

Des records à venir en overclocking ? Mouais... © Intel

« Seulement » trois processeurs au lancement

Nous aurons l’occasion d’y revenir au moment du test de ce processeur, mais, en effet, Intel a décidé de gonfler un peu le « second de cordée » : le Core i7-14700K est doté de 20 cœurs en configuration 8P + 12E, soit quatre cœurs efficaces de plus que sur le Core i7-13700K et, logiquement, un peu plus de cache : 28 Mo de cache L2 + 33 Mo de cache L3 contre 24 + 30 sur le prédécesseur.

Détail des six processeurs de lancement pour Raptor Lake Refresh © Intel

Le test de ce Core i7-14700K arrivera dans quelques jours, comme celui du Core i5-14600K. Ces trois processeurs constituent les trois seuls processeurs disponibles au lancement de Raptor Lake Refresh avec, toutefois, des variantes puisque les déclinaisons « K » (coefficient multiplicateur débloqué) et « KF » (sans solution graphique intégrée) sont de la partie.

La chose n’a pas encore été confirmée par Intel, mais la gamme devrait ensuite être complétée en début d’année prochaine par plusieurs Core i3-14100, Core i5-14400 et Core i5-14500. En revanche, il n’est pas question de nouveau chipset pour accompagner cette architecture Raptor Lake Refresh, pas si nouvelle que ça.

HWInfo nous renseigne sur les caractéristiques et le comportement de notre CPU © Nerces

Protocole de test

Vous l’aurez compris, la génération Raptor Lake Refresh ne change que par petites touches la génération précédente. Nous avons donc conservé une configuration de référence très similaire à celle que nous utilisons sur les plateformes Z790 depuis déjà quelques mois.

Les différents panneaux de CPU-Z sont toujours une mine d'informations © Nerces

Configuration socket LGA1700

  • Carte mère : ASUS ROG Strix Z790-E Gaming WiFi II (BIOS 0502)
  • Mémoire : G.Skill Riptide DDR5-5600 CL28 (2x 16 Go)
  • Carte graphique : ASUS TUF RTX 3080 Gaming OC
  • SSD « système » : Kingston KC3000 2 To
  • Refroidissement : ASUS ROG Ryujin III ARGB
  • Alimentation : be quiet! Straight Power 11

Configuration socket LGA1718 « AM5 »

  • Carte mère : ASUS ROG Crosshair X670E Hero (BIOS 1709)
  • Mémoire : G.Skill Riptide DDR5-5600 CL28 (2x 16 Go)
  • Carte graphique : ASUS TUF RTX 3080 Gaming OC
  • SSD « système » : Kingston KC3000 2 To
  • Refroidissement : ASUS ROG Ryujin III ARGB
  • Alimentation : be quiet! Straight Power 11

Configuration socket LGA1200

  • Carte mère : ASUS ROG Z590-E Gaming WiFi (BIOS 1903)
  • Mémoire : Corsair Dominator Platinum RGB DDR4 4000 CL19 (2x 16 Go)
  • Carte graphique : ASUS TUF RTX 3080 Gaming OC
  • SSD « système » : Kingston KC3000 2 To
  • Refroidissement : ASUS ROG Ryujin III ARGB
  • Alimentation : be quiet! Straight Power 11
Et hop, un petit coup de pub ni vu ni connu © Nerces

Autant que possible, nous éliminons les programmes en mémoire vive et nous nous assurons que les configurations sont proches, matériellement donc, mais aussi logiciellement.

  • Windows 11 Professionnel 64-bit 22H2 v22621.2428
  • Pilotes chipset Intel v10.1.18838.8284
  • Pilotes chipset AMD v4.07.21.042
  • Pilotes graphiques AMD v23.10.1
  • Pilotes graphiques Intel v31.0.101.4887
  • Pilotes graphiques NVIDIA v537.58 64-bit WHQL

En quatre captures, l'interface largement remaniée du pilote graphique Intel © Nerces

Enfin, sachez que les tests présentés par la suite sont le fruit de moyennes réalisées après avoir mené plusieurs fois chaque mesure. Nous avons également pris soin d’éliminer les valeurs les plus extrêmes.

Tests mémoire : un peu plus loin la DDR5

AIDA64

Performances observées sur AIDA64 © Nerces

Pas de changement dans la prise en charge de la mémoire DDR5 et Intel ne recommande « que » de la 5600 MT/s comme sur Raptor Lake. Nos mesures sur AIDA64 laissent apparaître une très légère amélioration des performances du Core i9-13900K. Ce n’est pas grand-chose, mais cela permet au Core i9-14900K de prendre la tête. AMD reste en retrait.

Performances applicatives

Cinebench R23

Performances observées sur Cinebench R23 © Nerces

Déjà dominateur sur Cinebench R23 avec son Core i9-13900K, Intel accentue encore son avance : le Core i9-14900K est nettement devant la concurrence, en étant le premier à dépasser les 40 000 points sur le test multi-thread. Un avantage que l’on observe toutefois également sur le test single-thread. En revanche, limité à 125 watts, le nouveau processeur Intel n’est pas en mesure de rattraper le Ryzen 9 7950X3D.

Blender benchmark

Performances observées sur Blender © Nerces

Sur Blender benchmark, ce n’est pas l'AMD Ryzen 9 7950X3D qui signe la meilleure performance, mais son « petit frère » Ryzen 9 7950X. Il conserve la tête même s’il doit maintenant partager la première place avec le Core i9-14900K. En effet, le Raptor Lake Refresh dépasse légèrement le Core i9-13900K, à pleine puissance comme limités à 125 watts.

Handbrake

Performances observées sur Handbrake © Nerces

L’encodage via Handbrake d’une séquence vidéo d’un peu plus de 50 minutes avec le preset H.265 Matroska 1080p30 met les processeurs AMD à l’honneur et le Ryzen 9 7950X3D est devant le Core i9-14900K même si ce dernier fait un peu mieux que son prédécesseur Raptor Lake.

WinRAR

Performances observées sur WinRAR 5.11 © Nerces

Notre test de compression de fichier – avec 12 Go de données en ZIP via WinRAR 5.11 – ne permet pas de déterminer un vainqueur : à une seconde près, les Ryzen 9 7950X, Ryzen 9 7950X3D, Core i9-13900K et Core i9-14900K sont à égalité, et ce, que l’on parle de puissance débloquée ou de limitation à 125 watts.

PCMark

Performances observées sur PCMark © Nerces

Sur PCMark, la conclusion est assez similaire et si les processeurs Alder Lake sont distancés par les nouvelles générations, les écarts sont ensuite faibles. Simulant une activité « classique » du PC (bureautique, visioconférence, édition de photos/vidéos, navigation Web…), PCMark donne un très léger avantage au Ryzen 9 7950X, mais rien de réellement décisif.

3DMark

Performances observées sur 3DMark © Nerces

Souvent plus favorable aux processeurs Intel, 3DMark le prouve une fois de plus car le Core i9-14900K signe une nouvelle victoire avec un écart réduit, mais malgré tout notable sur son prédécesseur. L’écart avec le Ryzen 9 7950X3D est le plus important observé jusque-là.

Performances dans les jeux

Nous avons allégé notre protocole sur sa partie jeu vidéo. Certains le regretteront sans doute, mais l’idée est de rendre l’article plus digeste dans son ensemble.

Cyberpunk 2077

Performances observées sur Cyberpunk 2077 © Nerces

Notre vitrine technologique reste de mise et Cyberpunk 2077 vient confirmer les dires d’Intel à savoir que son Core i9-14900K est le nouveau roi du jeu vidéo. C’est vrai, il est bel et bien devant le Ryzen 9 7950X3D, mais quand l’écart se compte en dixièmes d’images par seconde, peut-on encore parler de victoire ?

Total War Warhammer 3

Performances observées sur Total War Warhammer 3 © Nerces

Le jeu de stratégie de The Creative Assembly est connu pour être fortement tributaire de la puissance du processeur principal. Cela dit, avec de tels monstres mis en concurrence, les écarts sur Total War Warhammer 3 sont faibles, plus faibles que sur Cyberpunk 2077. Là encore, le Core i9-14900K prend un très léger avantage, mais on notera surtout que ses résultats sont meilleurs en 125 watts. Amusant.

Shadow of the Tomb Raider

Performances observées sur Shadow of the Tomb Raider © Nerces

Nous terminons notre tour d’horizon avec un ancien, Shadow of the Tomb Raider. Un ancien qui conserve un certain intérêt dans la mesure où il n’est pas toujours question de jouer avec les titres dernier cri. Cela dit, la conclusion ne change pas beaucoup des deux précédents tests. Enfin, si, elle change un peu : le Core i9-14900K ne l’emporte même plus vraiment, il fait plutôt jeu égal avec son prédécesseur.

Focus sur le test CPU de Shadow of the Tomb Raider © Nerces

Le test CPU du jeu d’Eidos Montréal est l’occasion de conclusions un tout petit peu différentes puisque le Ryzen 9 7950X3D d’AMD conserve ici sa couronne. De son côté, le Core i9-14900K continue à faire jeu égal avec le Core i9-13900K, et ce, que l’on parle de puissance « débloquée » ou limitée à 125 watts.

Le cas de l’iGPU

Comme à son habitude, Intel intègre une solution graphique à ses CPU de série « K » (les « KF » en sont dépourvus). Nous avons donc pris le temps de tester la chose, même s’il ne faut pas s’attendre à des merveilles : nous avons droit à un Intel UHD Graphics 770, comme sur la génération précédente.

Performances observées avec l'iGPU UDH Graphics 770 sur 3DMark © Nerces

Inutile de multiplier les tests, l’Intel UHD Graphics 770 n’est pas plus capable de remplacer une carte graphique dédiée sur un 14900K qu’il ne l’était sur le 13900K. Les résultats 3DMark sont même en retrait, mais vu le faible écart et l’absence de différences techniques entre les deux générations, mettons cela sur le dos d’un léger problème d’optimisation. L’APU Ryzen Pro 4750G d’AMD reste loin, très loin.

Températures, consommation et efficacité

Relevés de températures

Nous terminons nos séries de mesures avec deux éléments particulièrement intéressants. En premier lieu, nous avons relevé la consommation de chaque processeur. Pour ce faire, nous n’avons pas mesuré la chose sur chacun des tests que nous avons menés, nous avons retenu deux valeurs.

  • Au repos, alors que Windows 11 avait terminé son démarrage.
  • En pleine charge, au cours d’un encodage H.265 via Handbrake.
Relevé des températures observées durant un encodage Handbrake H.265 © Nerces

Au moment du test du Core i9-13900K, nous soulignions qu’Intel était souvent critiqué pour l’échauffement de ses puces. Le Core i9-14900K ne changera pas cette réputation et il se montre encore plus difficile à refroidir que son prédécesseur : nous avons été contraints de troquer notre ROG Ryujin II pour un ROG Ryujin III afin de rester sous les 100°C.

Notre ROG Ryujin II a été troqué pour un ROG Ryujin III : il chauffe ce 14900K © ASUS

Heureusement, quand les processeurs sont limités à 125 watts, les puces Intel sont plus raisonnables que les concurrentes de chez AMD. Mais avec 0,7°C de plus que le Core i9-13900K, notre Core i9-14900K ne brille guère.

Consommation électrique

Nous avons ensuite testé la consommation électrique de nos CPU. Il convient de préciser que nous ne mesurons que la consommation de ce qui est appelé le package processeur. Là encore, deux valeurs sont retenues.

  • Au repos, alors que Windows 11 avait terminé son démarrage.
  • En pleine charge, au cours de tests multithreads successifs via Cinebench R23.
Consommation au repos / en charge observée durant les tests Cinebench R23 © Nerces

Aïe, une fois encore Intel bat son propre record, mais ce n’est pas forcément une bonne nouvelle. Le Core i9-14900K, complètement débridé, n’est pas loin des 340 watts. Seule consolation, au repos, il est plus raisonnable que le Core i9-13900K.

Performances /Watt et /Dollar

Sur Cinebench R23, le Core i9-14900K a beau être largement devant tout le monde, la consommation électrique atteint des sommets et ses performances par watt sont simplement au niveau de celles du Core i9-13900K. Gardez toutefois à l’esprit qu’il s’agit d’une valeur indicative : elle ne concerne qu’un seul outil de mesure.

Performances /Watt et /Dollar durant les tests Cinebench R23 © Nerces

Hélas pour Intel, le Ryzen 9 7950X3D reste logiquement et très largement devant. Plus gênant encore, même lorsqu’il est limité à 125 watts, le Core i9-14900K ne peut rivaliser avec la puce d’AMD qui reste la plus efficace. Pensez- donc, notre Raptor Lake Refresh est même un cran derrière le Core i9-13900K également limité à 125 watts.

Heureusement, Intel compense en étant un peu plus agressif sur les prix. Le tarif de lancement est exactement le même que sur le Core i9-13900K (589 dollars) et le Core i9-14900K est donc le nouveau roi de la performance par dollar. Un indicateur qui se base sur les prix de lancement, mais un Ryzen 9 7950X3D n’en est évidemment plus à son lancement !

Intel Core i9-14900K : l’avis de Clubic

Conclusion
Note générale
7 / 10

Invitée presque surprise de cet automne 2023, la génération Raptor Lake Refresh n’est clairement pas le plus novatrice proposée par Intel. En augmentant les fréquences maximales en boost de 200 MHz, Intel ne nous fait pas rêver et, logiquement, les performances ne s’envolent pas.

Le Core i9-14900K atteint ses objectifs en débordant la génération précédente, mais que les écarts sont faibles alors que la consommation augmente encore sensiblement. Plus gênant encore, la chauffe grimpe à son tour et il devient de plus en plus délicat de maintenir le processeur sous les 100°C, même à l’aide d’un redoutable système de refroidissement.

Attendons les résultats de modèles plus modestes (Core i7-14700K, Core i5-14600K) pour conclure définitivement sur cette 14e gen. Reste que, s’il ne s’agit pas d’un mauvais produit, ce Core i9-14900K ne fait pas rêver. Plus que jamais, Intel aura intérêt à ne pas se rater avec Meteor Lake/Arrow Lake.

Les plus
  • Solides performances générales
  • Une courte avance en jeu vidéo
  • Échauffement modéré à 125 W
  • Encore plus haut les fréquences
  • Compatible chipsets 600/700
Les moins
  • Pas de franches nouveautés
  • Chauffe qui devient très gênante
  • Performances à peine améliorées