Ils sont enfin là ! Et avec pas mal d'avance par rapport aux habitudes de Google. De quoi coiffer Apple et ses iPhone 16 au poteau ? Une chose est sûre : les Pixel 9 ne sont pas là pour plaisanter. Attaquons.
Google n'a plus envie d'être un suiveur. C'est en tout cas comme cela que nous interprétons ce changement d'agenda, avec une conférence de rentrée calée mi-août plutôt que mi-octobre. Le géant du web nous revient très en forme cette année, avec un line-up gonflé comme les biceps de John Cena. Notre test complet du Pixel 9 Pro XL est à retrouver sur son article dédié.
Meilleurs prix
- Un design exquis
- Toujours un divin photographe
- Autonomie surprenante
- Écran hyper lumineux
- Des fonctions IA amusantes…
- 7 ans de MàJ
- … mais pas toujours dispo en France
- Chauffe beaucoup
- Recharge trop lente
- L'écran n'est pas LTPO
Test réalisé sur un smartphone prêté par le constructeur.
Dans la boîte du Google Pixel 9
- Un câble USB-C vers USB-C.
Design : une continuité modernisée
Aucun autre smartphone du marché ne ressemble à un Pixel… et c'est tant mieux ! Rares sont les marques qui parviennent encore à surprendre avec un design mémorable. C'est tout à fait le cas avec ces Pixel 9, qui itèrent naturellement sur les excellentes bases des Pixel 8, tout en apportant çà et là quelques petites nouveautés bienvenues.
Son dos est brillant, ses tranches sont mates, et sa prise en main n'est pas loin d'être parfaite, avec cette diagonale de 6,3 pouces. À peine plus gros que les iPhone 15 Pro, le smartphone revoit ses dimensions à la hausse par rapport à l'année dernière. Rien de très remarquable ; ce n'est affaire que de millimètres. Le nouveau rejeton de Google prend toutefois 10 grammes, et se rapproche désormais des 200 grammes (198g exactement).
Le nouveau Pixel prend un peu de poids sur la balance © Pierre Crochart pour Clubic
Le changement esthétique de taille, c'est bien sûr cette camera bar qui n'occupe plus exactement l'espace dorsal bord à bord. Aussi, elle n'a jamais été aussi proéminente — ce qui semble causer du souci à quelques éternels insatisfaits. Dans notre cas, nous devons avouer que nous la trouvons un peu gênante lors de sessions de jeu, quand nous tenons le téléphone à l'horizontale. Le majeur gauche ne sait pas bien où se mettre. On s'y fait, même si on a du mal à accepter de faire reposer ses doigts sur des capteurs photo !
Toujours un peu à part, Google continue de placer son bouton de mise sous tension (servant aussi à invoquer Gemini, nous y reviendrons) au-dessus de la réglette de volume. Tous les ans, c'est la même chose et, tous les ans, il nous faut plusieurs jours pour ne pas monter le volume au lieu d'éteindre l'écran du smartphone. Reste que lesdits boutons tombent bien sous les doigts.
Ce qui tombe également très bien sous le doigt, c'est le nouveau scanner d'empreintes ultrasonique, qui succède au modèle optique très discutable des précédents modèles. Placé suffisamment en hauteur pour permettre un accès facile, il est surtout d'une efficacité redoutable. Bien configuré, un simple effleurement de la surface suffit à déverrouiller le smartphone. Grisant.
Enfin, côté durabilité, nous sommes toujours face à un téléphone certifié IP68, protégé cette année par un verre Gorilla Glass Victus 2, à l'avant comme à l'arrière.
Écran : et la lumière fut
Outre cette diagonale qui progresse un (tout petit) peu, les améliorations de l'écran se sont surtout concentrées sur la luminosité cette année. L'écran « Actua » de Google se voit désormais promettre un pic à 2 700 nits, contre 2 000 nits sur le Pixel 8. Dans les faits, il est effectivement difficile de lui reprocher quoi que ce soit. Même en extérieur, en plein soleil et avec des lunettes de soleil, la dalle reste parfaitement lisible. Nul besoin de viser plus pour les prochaines éditions Google !
En revanche, on pourrait pinailler sur cette définition qui stagne à 1080p depuis des années maintenant. Même si l'apport d'une résolution supérieure sur un écran de cette taille est discutable, on saurait se satisfaire d'un 1200p qui devient la norme chez Xiaomi, pour ne pas le citer.
Fait étonnant, le Pixel 9 est lancé par défaut avec le mode d'affichage « Naturel », qui offre une superbe restitution des couleurs et un point blanc quasi parfait. Chez Clubic, nous sommes des amateurs de couleurs qui pètent, et nous avons finalement opté pour le mode « Adaptatif » qui surjoue la saturation et flatte la rétine.
Maintenant, nous devons confesser sinon une déception, une incompréhension. Le Pixel 9 est bien entendu capable d'afficher une fréquence de 120 Hz. C'est un smartphone haut de gamme, après tout. En revanche, celui-ci n'est capable de faire varier sa fréquence qu'entre 60 et 120 Hz — à la manière des mobiles de milieu de gamme. Là où nos sourcils se froncent, c'est que le Pixel 9 désactive par défaut la fréquence de rafraîchissement élevée, qui est pourtant monnaie courante aujourd'hui. Le Pixel 9 Pro XL, lui, active ce réglage par défaut (mais sa fréquence varie de 1 à 120 Hz, ceci explique peut-être cela).
Performances : la Tensor G4 souffle le chaud et le froid
Google est très fier de sa nouvelle puce, baptisée Tensor G4. Conçue pour l'intelligence artificielle, et surtout pour permettre une utilisation la plus fluide possible de Gemini Nano (la version locale du modèle de langage), elle offrirait en moyenne 20 % de performances supplémentaires que la G3 des Pixel 8.
C'est vrai, le Pixel 9 est un smartphone très rapide. Impossible de douter le moindre instant que l'on tient en main un smartphone haut de gamme. Les 12 Go de RAM de ce modèle sont très à l'aise pour permettre une bascule rapide entre différentes applications, et le jeu est évidemment possible dans de bonnes conditions. Mais, sur ce point, difficile de prendre Google au mot sur les progrès effectués.
Sur Genshin Impact, le Pixel 9 pourra vous offrir une qualité « élevée » (mais pas ultime) et une fréquence comprise entre 45 et 60 fps. Eh oui, on arrive au sujet qui fâche : la Tensor G4 souffre d'un thermal throttling indigent.
Une impression largement confirmée par nos différents benchmarks. À froid, le Pixel 9 est capable d'offrir d'excellentes performances, plafonnant à environ 1,2 million de points sur AnTuTu. Refaites le même test avec un téléphone déjà échauffé, le score tombe à 970 000. Même constat sur Geekbench. Même constat sur 3D Mark, qui sanctionne d'ailleurs le Pixel 9 d'un score de stabilité — disons-le — assez minable de 53 %.
Nous avons profité de la sortie du nouveau benchmark IA de Primate Labs pour éprouver les capacités du Pixel 9. Malheureusement, par manque d'éléments de comparaison, on aura du mal à faire quoi que ce soit des données présentées ici. Sur Geekbench AI, le nouveau smartphone de Google engrange 6367 points. L'iPhone 15 Pro, sur le même test… en obtient plus de 27 000. Gageons que l'API est différente et ne permet pas aux résultats d'être comparés entre iOS et Android.
Interface : une IA encore discrète
On vous prévient : c'est le moment où l'on s'ennuie. C'est déjà un problème, et cela risque de l'être jusqu'à au moins début 2025 : la plupart des fonctionnalités IA présentées par Google lors de sa conférence ne sont pas (encore) disponibles en France. Pas de Gemini Live avant septembre, pas de Pixel Studio, pas d'appli Screenshots.
En clair ? Au jour où sont écrites ces lignes, le Pixel 9 offre peu de fonctionnalités supplémentaires par rapport aux Pixel 8. Ainsi, les belles promesses de la puce G4 en matière de capacité de calcul ne peuvent encore être appréciées à leur juste valeur. On pourra toutefois se consoler avec la fonction amusante « M'ajouter », qui permet de régler un problème vieux comme la photographie en combinant plusieurs clichés afin que le photographe puisse enfin figurer dans les photos de groupe.
La gomme magique, permettant de faire disparaitre des éléments importuns des photos, ou même d'agrandir et de déplacer des sujets d'une photo, fonctionne quant à elle assez bien et de façon plutôt rapide. Il y a des ratés, évidemment, mais nous sommes la plupart du temps arrivés à nos fins avec un tout petit peu de patience.
Ce même outil, rebaptisé « Retouche magique », permet également de « réinventer » un cliché ou de recadrer une photo (souvent en étirant le cadre, comme le remplissage génératif de Photoshop). D'après nos différents essais, c'est souvent quitte ou double en matière de résultat. Mais, cela reste fun de pouvoir s'amuser autant avec ses photos directement depuis la galerie.
Pour le reste ? Android 15 n'est pas encore disponible. On se retrouve donc avec un Android 14 stock que l'on connait bien, et une surcouche Pixel toujours aussi agréable à utiliser. Gemini a désormais remplacé Google Assistant, et se montre somme toute assez limitée (en France et en français) dans son utilité. On peut lui demander de résumer nos derniers e-mails reçus sur Gmail, ou quelques informations sur votre site d'actualité Tech préféré. On relève encore de nombreux ratés, même en jouant le jeu de l'intégration de l'IA dans les applications de la firme. En demandant à Gemini de nous faire une liste des derniers albums parus sur YouTube Music, l'IA nous propose des morceaux datés de plusieurs années sans aucune cohérence. L'IA, ce n'est clairement pas encore ça.
Par contre, là où Google a toute notre confiance, c'est dans sa capacité à offrir à son nouveau smartphone le support logiciel le plus étendu possible. Comme ses prédécesseurs, le Pixel 9 pourra compter sur sept ans de mises à jour. Il profitera ainsi de nouvelles fonctionnalités jusqu'à Android 21 !
Photo et vidéo : un photophone accompli
La configuration photo du Pixel 9 :
- Grand-angle : 50 mégapixels, 1/1.31", ƒ/1.7, OIS, AF ;
- Ultra grand-angle : 48 mégapixels, 1/2.55", ƒ/1.7, 123°, macro mode ;
- Selfie : 10,5 mégapixels, 1/3.1", ƒ/2.2, AF.
Grand-angle
Si la caméra principale du Pixel 9 n'évolue pas techniquement, elle est évidemment améliorée par le SoC, qui offre un traitement numérique plus rapide et parcimonieux. Écrivons-le tout de suite : les photos prises au grand-angle sont tout à fait extraordinaires. Elles conservent bien sûr la patte Pixel, à savoir des photos très contrastées, punchy, pleines de caractères, dont nous sommes assez fans.
Les clichés sont chaleureux, détaillés… irréprochables ? Osons le terme. L'optique maîtresse ne semble flancher devant aucun défi et se montre d'une polyvalence de tous les instants. Un vrai régal au quotidien.
Les clichés frisent la perfection © Pierre Crochart pour Clubic
Ultra grand-angle
Et ce nouvel ultra grand-angle alors ? Bonne nouvelle, la résolution quadruplée par rapport au Pixel 8 montre ici ses effets. Les photos sont naturellement plus détaillées, et le piqué au centre de l'image est somptueux.
On trouvera peut-être à redire sur la petite différence de teinte que l'on remarque entre un même cliché pris à l'ultrawide et au grand-angle. Sur le premier, les tons sont un peu plus froids — sans que cela soit gênant. En réalité, si l'on ne parle qu'en matière de colorimétrie, les photos sorties de l'ultra grand-angle sont peut-être plus naturelles que ceux de la caméra principale.
Notez aussi que le nouvel ultra grand-angle du Pixel 9 permet d'utiliser un mode macro qui fonctionne de manière automatique. Il suffit d'approcher le smartphone du sujet pour que l'optique soit permutée et que le point se fasse.
Téléobjectif / Zoom
Le Pixel 9 sacrifie son téléobjectif pour le réserver aux modèles Pro. Qu'à cela ne tienne, Google nous propose un zoom numérique 2x (jusqu'à 8x) qui, comme les années précédentes, est tout à fait correct.
La perte de définition, inévitable, ne pose jamais vraiment de problème si l'on s'abstient de visionner ses photos sur un grand écran. Le piqué est loin d'être aussi bon que sur une optique dédiée, mais très franchement, ça fait le job, tout en assurant une belle polyvalence au smartphone.
En se risquant à pousser le zoom dans ses retranchements, on se retrouve forcément avec des artefacts et autres ratures occasionnés par les algorithmes qui cherchent à créer des pixels là où il n'y en a pas. Les résultats vont essentiellement dépendre de la distance qui vous sépare effectivement de votre sujet. Au pied d'un bâtiment, comme cette église, on n'y voit franchement que du feu !
Photos de nuit
La photo de nuit a toujours été un exercice dans lequel les Pixel excellent (n'essayez pas de prononcer cette phrase chez vous). Sans surprise, le Pixel 9 reprend le flambeau avec un certain brio. Même si la différence de chaleur entre les clichés au grand-angle et à l'ultra grand-angle n'apparait que plus clairement dans ce cas de figure.
Vous vous souvenez de la dernière fois que vous avez utilisé le mode « Panorama » sur votre smartphone ? Nous, non. Mais, Google l'assure, son Pixel 9 révolutionne totalement la pratique en permettant, notamment, de faire des panoramas nocturnes. On se prête à l'exercice, et l'on doit bien dire que nous sommes très impressionnés. L'interface permettant de cadrer correctement sa photo est simplissime, et les résultats sont vraiment au rendez-vous. À titre de comparaison, nous avons pris la même photo avec le mode panorama de l'iPhone 15 Pro. Ça pique.
Portraits et selfies
Google a un train d'avance sur la concurrence en matière de photographie computationnelle, et cela s'est souvent exprimé dans les portraits. Même sans scanner LiDAR sophistiqué, les smartphones de la marque ont toujours réussi à détourer à la perfection leurs sujets. Le Pixel 9 fait honneur à l'héritage, et propose des portraits impeccables dans toutes les situations.
On peut ajouter un effet flou, si on le souhaite © Pierre Crochart pour Clubic
Chose étonnante : les seules focales proposées dans le mode portrait sont un semblant de 35 mm (zoom 1,5x dans l'interface) ou 50 mm (zoom 2x). Bien sûr, ces focales sont plus adaptées à l'exercice. Mais on apprécierait d'avoir l'opportunité de faire des portraits avec l'ultrawide, par exemple. Qu'à cela ne tienne : on peut très facilement ajouter un effet de flou en éditant ses photos avec la Retouche magique.
La carnation est parfaitement respectée (c'est l'un des points forts de Google), et aucun lissage excessif n'est appliqué sur le visage. Ah, c'est sûr, ça nous change du HTC U24 Pro testé récemment.
Enfin, si le capteur photo avant s'en tient à 10,5 mégapixels (sur les modèles Pro, on passe à 42 Mpx), il continue de fournir des photos très correctes — quoique manquant de détails aux entournures. Ici encore, le détourage est parfait, et le flou très bien appliqué. Si vous le trouvez trop prononcé (et il l'est), sachez qu'il est évidemment possible de le réduire
Il est possible de réduire le flou © Pierre Crochart pour Clubic
Vidéo
Enfin, en vidéo, le Pixel 9 s'en sort très bien notamment grâce à une stabilisation optique hyper efficace. On peut filmer jusqu'en 4K à 60 images par seconde sur les deux modules, mais attention : activer le mode HDR vous forcera à redescendre à 30 fps. Rappelons que les iPhone permettent de filmer en 4K60 Dolby Vision depuis maintenant trois ans, il serait tant que la concurrence s'active.
Petite déception concernant la captation via l'ultra grand-angle. Nous avons remarqué que l'optique était victime d'une sorte de focus breathing (illustré en début de vidéo). On sent que le point peine à se faire correctement quand on se trouve sous les arbres.
Autonomie : un vrai marathonien
On n'attendait pas forcément le Pixel 9 sur ce créneau, mais l'autonomie de ce nouveau modèle est absolument impressionnante. Le Tensor G4 souffre peut-être de throttling, mais il ne consomme rien ! Sur le test automatisé de PCMark, le smartphone a mis 19 h 14 pour passer de 100 % à 20 % de batterie. Mais c'était avant que je me rende compte que le smartphone était plafonné en 60 Hz. En activant la haute fréquence d'affichage, on obtient 14h44 sur le même test — ce qui reste très bien. En soit, considérons qu'activer la haute fréquence d'affichage vous prive d'une demi-journée de batterie. À vous de juger ce que vous préférez.
En usage réel et varié (réseaux sociaux, beaucoup de vidéo, petite séance shooting, jeux vidéo), on arrive à tirer sans peine une journée et demie du petit Pixel 9. On n'en demande pas plus !
Néanmoins, Google aurait pu faire un effort sur la recharge rapide de son nouveau modèle. Bien entendu, aucun chargeur n'est fourni. Mais, en utilisant notre chargeur USB-C Anker de 65 W et le câble fourni dans la boîte, il a fallu patienter 1 h 34 pour passer de 5 % à 100 %.
Google Pixel 9 : Prix, concurrence et disponibilité
Annoncés le 13 août dernier, les Google Pixel 9 seront officiellement commercialisés le 22 août dans les coloris rose pivoine, vert amande (testé), porcelaine et noir volcanique. En voici les tarifs et configurations :
- 12+128 Go : 899 € ;
- 12+256 Go : 999 € (offre de lancement à 899 € jusqu'au 5 septembre).
C'est une évidence : le principal adversaire du Pixel 9 est l'iPhone 15… ou disons plutôt le futur iPhone 16, soyons honnêtes. Le Samsung Galaxy S24 est également en embuscade, tout comme le Honor Magic 6 Pro.
Google Pixel 9 : l'avis de Clubic
Ce n'est pas bien compliqué : le Pixel 9 est le meilleur smartphone jamais sorti par Google. Même si l'on trouve à redire sur la chauffe importante et la recharge trop lente, on comprend bien que ce n'est pas du tout l'objet des appareils Google qui, eux, veulent se concentrer sur le logiciel, et rien que le logiciel.
Et autant dire qu'on est servis. Par la meilleure politique de mises à jour qui existe sur Android, d'une part, et par une interface impeccable, ouvrant l'accès à d'innombrables options de personnalisation ainsi qu'à d'amusantes fonctionnalités d'intelligence artificielle.
Ce dernier point est encore un peu laborieux à apprécier à sa juste valeur en France, où beaucoup de fonctions manquent encore à l'appel. Mais, choisir un Pixel, c'est avoir l'assurance d'être le premier servi quand celles-ci seront finalement débloquées en Occident. Cerise sur le gâteau : le Pixel 9 est aussi parmi les photophones les plus polyvalents du marché. On vous l'a dit : il a tout pour lui.
- Un design exquis
- Toujours un divin photographe
- Autonomie surprenante
- Écran hyper lumineux
- Des fonctions IA amusantes…
- 7 ans de MàJ
- … mais pas toujours dispo en France
- Chauffe beaucoup
- Recharge trop lente
- L'écran n'est pas LTPO
Fiche technique Google Pixel 9
Taille de l'écran | 6.3 pouces |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Mémoire interne | 128 Go, 256 Go |
Mémoire vive (RAM) | 12 Go |
Capacité de la batterie | 4700 mAh |
Charge rapide | Oui |
Définition du / des capteur(s) arrière | 50 Mpx, 48 Mpx |
Système d'exploitation | Android |
Version du système d'exploitation | Android 14 |
Surcouche Android | N/A |
Assistant vocal | Gemini Live |
Taille de l'écran | 6.3 pouces |
Type d'écran | Oled |
Définition de l'écran | 1080 x 2424 pixels |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Densité de pixels | 422 |
Écran HDR | Oui |
Mémoire interne | 128 Go, 256 Go |
Stockage extensible | Non |
Processeur | Google Tensor G4 |
Finesse de gravure | 4nm |
Nombre de cœurs CPU | 8 |
Mémoire vive (RAM) | 12 Go |
Capacité de la batterie | 4700 mAh |
Batterie amovible | Non |
Recharge sans-fil | Oui |
Charge rapide | Oui |
Puissance de la charge rapide | 45W |
Nombre de caméras (avant & arrière) | 3 |
Définition du / des capteur(s) arrière | 50 Mpx, 48 Mpx |
Définition du / des capteur(s) avant | 10,5 Mpx |
Enregistrement vidéo | 4K à 24/30/60 FPS |
Taille des photosites objectifs arrière | 1/1,31 pouce ; 1/2,55 pouce |
Ouverture objectif photo arrières | f/1,68 ; f/1,7 |
Ouverture objectif photo frontaux | f/2,2 |
Zoom Optique | 2x |
Carte(s) SIM compatible(s) | Nano-SIM, eSIM |
Compatible double SIM | Oui |
Compatible 5G | Oui |
Compatible VoLTE | Oui |
Wi-Fi | 7 (802.11be) |
Bluetooth | 5.3 |
NFC | Oui |
GPS | Oui |
Infrarouge | Non |
Type de connecteur | USB Type-C |
Lecteur biométrique à empreinte digitale | Oui |
Capteur de reconnaissance faciale | Reconnaissance faciale 2D |
Acceleromètre | Oui |
Gyroscope | Oui |
Capteur de lumière ambiante | Oui |
Prise Jack | Non |
Hauteur | 152.8mm |
Largeur | 72mm |
Epaisseur | 8.5mm |
Poids | 198g |
Certification IP | IP68 |