Décliné en versions 14 et 16 pouces, le nouveau Yoga Pro 9i se positionne en face des MacBook Pro 14 et 16 avec la volonté de faire aussi bien, sinon mieux, mais avec des tarifs globalement plus contenus. Équipé d'un grand écran Mini-LED, d'un Core i9 et d'une RTX 4070, le Pro 9i grand format semble effectivement pouvoir jouer à armes égales avec les fleurons d'Apple… mais le PC portable de Lenovo tombe-t-il dans les mêmes pièges que ses autres concurrents sous Windows ? Réponse dans notre test.
- Écran Mini-LED admirable, calibré avec justesse
- Plus de performances que chez certains concurrents directs
- Placement tarifaire compétitif
- Design appréciable, et apprécié
- La chauffe parfois intense
- Autonomie réduite (4 à 5 heures)
Dell XPS 17, MSI Stealth 16 Studio, ASUS Vivobook Pro 16, ou encore Samsung Galaxy Book 3 Ultra : les concurrents du MacBook Pro 16 ne manquent pas. Avec son nouveau Yoga Pro 9i de 16 pouces, Lenovo suit le mouvement en cherchant à proposer un maximum de puissance dans un châssis fin et élégant, pour mieux séduire (ou au moins tenter de le faire) des utilisateurs créatifs. Une approche que l'on commence à bien connaître, mais qui est souvent synonyme de performances bridées ou de surchauffe.
Nous allons voir si en combinant un puissant Core i9 de 13e génération à une RTX 4070, dans une enveloppe en aluminium de 18 millimètres d'épaisseur, le constructeur chinois parvient à échapper aux tourments de ses rivaux. Mais avant toute chose, voici la fiche technique complète du modèle que Lenovo France nous a fait parvenir en prêt.
Fiche technique Lenovo Yoga Pro 9i 2023
Processeur | Intel Core i9-13905H |
Taille de la mémoire | 64Go |
Carte graphique | NVIDIA GeForce RTX 4070 |
Mémoire vidéo | 8Go |
Taille de l'écran | 16 pouces |
Taux de rafraîchissement | 165Hz |
Système d'exploitation | Windows 11 |
Processeur | Intel Core i9-13905H |
Type de processeur | 14 coeurs et 20 threads |
Fréquence du processeur | 5.4GHz |
Finesse de gravure | 10nm |
Taille de la mémoire | 64Go |
Type de mémoire | DDR5 |
Fréquence(s) Mémoire | 6,400Hz |
Carte graphique | NVIDIA GeForce RTX 4070 |
Max-Q | Oui |
Mémoire vidéo | 8Go |
VR Ready (réalité virtuelle) | Oui |
Type mémoire vidéo | GDDR6 |
Taille de l'écran | 16 pouces |
Taux de rafraîchissement | 165Hz |
Type d'écran | LED |
Résolution d'écran | 3.2K |
Format de l'écran | 16/10 |
Dalle mate / antireflet | Non |
NVIDIA G-SYNC | Non |
Écran tactile | Oui |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 1 To |
Emplacement mSATA/M.2 | M.2 (occupé) |
Lecteur de carte mémoire | Carte SD |
Connectiques disponibles | Thunderbolt 4/USB-C, USB 3.2, Jack 3,5mm Femelle Stéréo, HDMI 2.1 |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 6 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.1 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - Couleur unique |
Pavé numérique | Oui |
Lecteur d'empreinte digitale | Non |
Épaisseur | 1.82cm |
Longueur | 36.2cm |
Largeur | 24.5cm |
Poids | 2.23kg |
Notre modèle de prêt est ni plus ni moins que la configuration la plus haut de gamme proposée par Lenovo. Cette dernière se négocie aux environs de 3 000 euros, mais semble difficile à trouver chez les revendeurs français. Sous nos latitudes, les versions les plus courantes sont moins bien équipées. On y retrouve le même écran Mini-LED de 16 pouces, mais avec cette fois un processeur Intel Core i7-13705H, 16 Go de RAM et une RTX 4050 (en option). On débute alors à 1 999 euros (en tarif recommandé) pour la version sans GPU dédié, et 2 200 euros pour la mouture armée d'une RTX 4050.
Un design irréprochable ? À un ou deux détails près
Grand, élégant, parfaitement assemblé et, en un mot, moderne, le Lenovo Yoga Pro 9i Gen 8 reprend à son compte les derniers codes esthétiques du constructeur chinois, avec un design tout en courbes et en douceur. Tous les angles sont arrondis, au même titre que les flancs du châssis, ou même que les coins de l'écran.
La prise en main s'avère donc plaisante, et visuellement, l'appareil se distingue un peu de ses concurrents. Les modèles de Dell ou d'ASUS s'illustrent en effet par des lignes beaucoup plus acérées qui leur donnent une silhouette très différente.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Constitué d'aluminium (à 50 % recyclé sur le capot), le châssis du Pro 9i semble pour sa part robuste. Il profite d'ailleurs d'une certification MIL-STD 810H, censée garantir une bonne résistance aux rayures et autres chocs.
Nous n'avons pas été jusqu'à vérifier si cette impression est à l'épreuve des coups et des griffures, mais le Pro 9i n'est en tout cas pas le genre d'appareil que l'on a peur d'emporter en déplacement et de transbahuter d'un lieu à l'autre. Avec 36,2 x 24,5 x 1,82 centimètres pour 2,23 kilos, il s'avère en outre assez compact pour un 16 pouces… même si l'on reste loin de la légèreté ou de la finesse d'un MacBook Air 15. Les deux produits ne sont pas du tout destinés au même public.
Autre atout, les connectiques sont suffisamment nombreuses sur l'appareil, avec un port Thunderbolt 4 USB-C, deux ports USB-A 3.2 Gen 1 (5 Gbits/s), une sortie HDMI 2.1, un lecteur de cartes SD et une prise casque jack de 3,5 millimètres. Vous n'aurez donc pas besoin d'adaptateur ici.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
On apprécie par ailleurs l'assez bonne qualité d'image offerte par la webcam, dotée d'une définition 1440p. Dans de bonnes conditions de lumière, cette dernière fait du bon travail lors d'échanges vidéo. On déchante en revanche un peu en basse lumière, mais c'est presque toujours le cas sur laptop. Ce capteur de 5 mégapixels a enfin pour avantage de permettre l'identification faciale via Windows Hello. Heureusement, car il n'y a pas de lecteur d'empreinte en complément.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Le clavier, lui, est d'un bon niveau, notamment grâce à une profondeur de course de 1,5 millimètre. La frappe a par ailleurs l'avantage d'être silencieuse, avec des membranes bien souples et un rebond presque « molletonné » qui n'est pas déplaisant du tout, au contraire. Nous regrettons cependant que le pavé numérique logé du côté droit ait pour inconvénient d'aboutir à un décentrage des touches principales vers la gauche. Il faudra s'y habituer, mais nous avons eu du mal durant notre grosse semaine de test.
Le trackpad est pour sa part immense et plutôt précis, en dépit de coins qui s'enfoncent toujours un peu trop selon nous. On est sur le haut de panier, sans pour autant atteindre l'excellence des MacBook en la matière.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Installés sous le châssis, les haut-parleurs délivrent quant à eux une bonne expérience audio, supérieure à ce que l'on trouve sur beaucoup de modèles concurrents. Si les sons diffusés manquent encore un peu d'ampleur, et que les médiums restent prédominants, on profite d'un minimum de graves (suffisamment pour donner du relief à l'ensemble) et d'aigus bien restitués. Le volume maximum n'est toutefois pas très élevé, mais en contrepartie, on n'entend jamais de saturation. En résumé, l'essentiel est là pour la lecture de films ou de vidéos, voire pour écouter un peu de musique à l'occasion.
Un point sur l'accès aux composants. La chose se fait après avoir retiré les 8 vis Torx installées sous le châssis, ce qui permet de libérer la plaque inférieure en aluminium. On remarque alors que la RAM est bel et bien soudée à la carte mère (LPDDR5X oblige), ce qui est évidemment dommage sur un produit de cette taille. Il en va de même pour la carte modem, mais l'on peut heureusement accéder sans encombre au SSD M.2 ainsi qu'à la batterie si nécessaire.
Écran : une grande dalle Mini-LED… et un régal pour les yeux
Notre Yoga Pro 9i est équipé d'une dalle Mini-LED tactile « PureSight Pro » de 16 pouces. Cette dernière dispose d'une définition 3,2K (3 200 x 2 000 pixels), profite du format 16:10 et peut monter à 165 Hz. Lenovo évoque pour le reste une couverture à 100 % de l'espace colorimétrique DCI-P3. Un argument de taille pour les créateurs de contenu (vidéastes, photographes, graphistes…) que l'appareil cherche à séduire. Voyons ce que nous en disent notre sonde et le logiciel de mesures Calman Ultimate.
En SDR et au sortir du carton, on relève en premier lieu une luminosité typique de 403,2 cd/m2 et un pic de luminance qui s'élève cette fois à 527,5 cd/m2. L'écran est donc très lumineux, mais l'on reste sur notre faim pour une dalle Mini-LED, cette technologie étant théoriquement capable de faire encore mieux.
Côté calibration, l'écran de notre Pro 9i est en revanche irréprochable, avec un Delta E mesuré par nos outils à 1,77. C'est excellent, puisque cette valeur est censée être égale ou inférieure à 3 pour permettre la restitution de couleurs très naturelles. Nous y sommes. La température des couleurs est également excellente avec 6 419 kelvins au compteur. On atteint donc pratiquement les 6 500 kelvins idéalement souhaités.
La couverture des espaces colorimétrique est pour sa part alignée avec nos attentes sur un produit de ce type… et avec les promesses de Lenovo. On mesure ainsi une prise en charge à 100 % du spectre sRGB, tandis que le gamut DCI-P3 est pour sa part couvert à 98,4 %, d'après notre sonde.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Dernier point, et pas des moindres, le contraste. Il s'élève ici à un ratio de 2753:1. Dans le cas présent, nous sommes loin de ce que permet une dalle OLED, mais largement au-dessus de ce que peuvent faire les écrans LCD IPS plus « classiques ». En clair, les noirs sont profonds, suffisamment pour donner un bon sentiment de relief sur les images affichées.
Pour résumer, l'écran du Yoga Pro 9i est excellent. Il permet une qualité d'affichage de très haut niveau et conviendra tout autant au commun des mortels qu'aux utilisateurs les plus avancés.
Performances : plus puissant que la concurrence, mais il y a un mais
Notre Yoga Pro 9i était équipé de la configuration la plus avantageuse proposée par Lenovo. On y trouvait notamment un processeur Intel Core i9-13905H (14 cœurs et 20 threads cadencés à un maximum de 5,40 GHz, pour 24 Mo de cache et 45 watts d'enveloppe thermique), couplé à 64 Go de LPDDR5X (à 6 400 MHz) et à une RTX 4070 exploitant un TGP de 100 watts.
Il ne vous aura pas échappé qu'avec une enveloppe thermique limitée à 100 watts « seulement », la puce de NVIDIA est loin de pouvoir développer tout son potentiel. La RTX 4070 est en effet capable de monter à un maximum théorique de 140 watts avec la technologie Dynamic Boost. En clair, et c'est parfaitement logique sur un produit non typé « gaming », le GPU a été bridé pour tenir dans un châssis relativement fin sans trop chauffer.
Notons néanmoins qu'en montant à un maximum de 100 watts, la RTX 4070 de notre Yoga Pro 9i reste nettement mieux pourvue que la RTX 4070 installée à bord du XPS 17 2023, par exemple. L'engin de Dell, qui est l'un des concurrents directs du Lenovo Yoga Pro 9i, se limite en effet à 70 watts de TGP maximum. Sur le dernier Galaxy Book 3 Ultra de Samsung, la même puce GPU est cette fois bloquée à 80 watts.
Il nous faut également mettre en évidence le choix astucieux de Lenovo côté CPU. Le constructeur n'opte pas pour le surpuissant Core i9-13900HX employé (tant bien que mal) par le dernier XPS 17. À la place, Lenovo se tourne vers un Core i9-13905H également très véloce… mais moins gourmand en énergie (45 watts d'enveloppe thermique ici, contre 55 watts sur le 13900HX). Une décision relativement judicieuse, comme nous allons le voir.
Maintenant que nous avons ces ordres de grandeur en tête, voici les résultats obtenus par notre configuration dans les benchmarks. Et en l'occurrence, ils sont encourageants pour une machine de ce gabarit. Côté CPU, on relève ainsi 17 051 points en multi-core pour le Core i9-13905H, contre 1 973 points en calcul single-core.
Mal exploité, car trop sujet à la chauffe, le Core i9-13900HX du XPS 17 se limitait pour sa part à un peu moins de 15 000 points en multi-core et était pratiquement à armes égales avec notre i9-13905H en utilisation single-core. En d'autres termes, Lenovo parvient à mieux exploiter la puce d'Intel et à en retirer de meilleures performances en dépit de spécifications moins avantageuses sur le papier.
Avec sa configuration, notre Lenovo Yoga Pro 9i dépasse également le Samsung Galaxy Book 3 Ultra et son Core i9-13900H (et non « HX »), qui totalise également 15 000 points environ en multi-core sur CineBench R23, contre un tout petit peu plus de 1 800 points en single-core.
Côté GPU, les nouvelles sont bonnes là aussi : la RTX 4070 de notre Pro 9i développe de solides performances en dépit de son TGP réduit, que ce soit en benchmark ou en jeu. Sur Cyberpunk 2077, en définition 3,2K native et avec les préréglages « Ray Tracing Ultra », on atteint les 30 FPS en moyenne, mais avec un point bas à 25 FPS. Une fois le DLSS 3.0 activé, en conservant les mêmes réglages, on monte cette fois à 45 FPS en moyenne avec un point bas à 36 FPS. De quoi jouer dans de bonnes conditions, même si le passage en Full HD+ permettra cette fois d'atteindre les 50-60 FPS dans la plupart des cas tout en conservant la meilleure qualité graphique.
Sur Time Spy Extreme, on totalise cette fois un score graphique de 5 380 points. Sur le même outil, la RTX 4070 du XPS 17 2023 (70 watts) ne dépassait pas les 4 400 points. La messe est dite.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Bien sûr, l'appareil qui nous intéresse présentement reste avant tout certifié NVIDIA Studio, ce qui lui permet d'obtenir les pilotes de NVIDIA optimisés pour les principales applications créatives (retouche photo, modélisation, montage vidéo, calcul…), mais les résultats obtenus en jeu nous permettent d'avoir une bonne idée des performances de notre configuration sur le plan graphique. En l'occurrence, elles sont copieuses par rapport à ce que la concurrence a été en mesure de nous montrer ces derniers mois.
Mais alors, où est le pot aux roses ? Eh bien, il est à chercher du côté de la dissipation. Ici Lenovo a misé avant tout sur le silence, ce qui ne serait pas un défaut si les composants n'étaient pas aussi mal refroidis. En stress test, le CPU plafonne souvent à 100 °C, tandis que le GPU monte régulièrement à presque 90 °C en simultané. La chaleur implique par conséquent une perte régulière de performances sur le CPU, comme pour lui permettre de reprendre son souffle.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Quant aux températures que l'utilisateur pourra ressentir par lui-même, elles sont importantes elles aussi : la zone proche de la charnière est tout simplement bouillante après ne serait-ce que 30 minutes de charge intensive, et l'on remarque également une chaleur intense sous le châssis.
Heureusement, le clavier est globalement épargné, mais en matière d'efficacité énergétique, Apple et ses MacBook Pro de dernière génération évoluent dans un autre univers, avec des performances CPU équivalentes… pour une chauffe bien moins importante en utilisation intensive. Il s'agit d'un véritable privilège offert par l'architecture ARM des puces M2 Pro et Max, même si (du moins à ce stade), ces dernières ne permettent pas le même potentiel graphique que les dernières puces NVIDIA.
Autonomie : une batterie un peu trop petite
En se contentant de 75 Wh au lieu des batteries de 90 à 100 Wh installées sur la plupart de ses concurrents, le Lenovo Yoga Pro 9i fait un choix risqué. Avec son gros processeur, sa grosse carte graphique dédiée et son écran Mini-LED de 16 pouces, l'appareil ne fait qu'une bouchée de cette réserve d'énergie.
Tenir sur batterie plus de 4 à 5 heures tient en effet de l'exploit. Et c'est réellement dommage. Équipé d'une batterie de 97 Wh et d'une fiche technique équivalente, le Dell XPS 17 2023 parvient pour sa part à tenir au moins 6 à 7 heures sur batterie (voire un peu plus dans certains cas). Nous aurions aimé pouvoir en dire autant du nouveau fleuron de Lenovo.
La recharge se fait pour sa part à l'aide d'un gros bloc secteur de 170 watts avec une connectique propriétaire. Ce dernier est capable de faire remonter le niveau de la batterie de 0 à 50 % en à peu près 40 minutes, ce qui n'est pas si mal. La charge complète, elle, nécessite cependant près de 1 heure et 20 minutes.
Lenovo Yoga Pro 9i (16 pouces) : l'avis de Clubic
S'il n'avait pas autant chauffé en utilisation intensive, et si son autonomie s'était avérée (un chouia) plus généreuse, le Lenovo Yoga Pro 9i aurait sûrement été l'un de nos coups de cœur sur le terrain des produits destinés aux utilisations avancées et créatives.
En l'état, l'appareil reste néanmoins très bien positionné sur le marché, notamment face au Dell XPS 17 ou au Samsung Galaxy Book 3 Ultra, qu'il vient concurrencer directement… et percuter de plein fouet avec de meilleures performances et un placement tarifaire compétitif. Face aux MacBook Pro d'Apple, le constat est en revanche moins favorable, principalement du fait de l'insolente efficacité énergétique de ces modèles.
- Écran Mini-LED admirable, calibré avec justesse
- Plus de performances que chez certains concurrents directs
- Placement tarifaire compétitif
- Design appréciable, et apprécié
- La chauffe parfois intense
- Autonomie réduite (4 à 5 heures)
Concurrence : quelles alternatives au Lenovo Yoga Pro 9i ?
- Performances exceptionnelles sur batterie
- Autonomie monstre
- Écran Mini-LED magnifique
- Une connectique complète et à jour
- Un design qui stagne
- Toujours pas de Face ID
- Les images délivrées par la webcam
- Prix élevé
- Design fin, léger et élégant
- Écran généreux, lumineux et contrasté
- De belles performances, qui restent stables dans la durée
- Clavier agréable et trackpad (trop ?) large
- Autonomie dans la moyenne
- Des traces de doigts dans le dos et des reflets sur l'écran
- Pas d'autre configuration disponible pour la quantité de RAM ou de stockage
- Le prix assez élevé
13 septembre 2024 à 10h35