Le Galaxy Book 4 360, dernier PC portable convertible de Samsung, ne semble pas tenir ses promesses... © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Le Galaxy Book 4 360, dernier PC portable convertible de Samsung, ne semble pas tenir ses promesses... © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Lancé le mois dernier en Europe, à l’occasion du MWC, le Galaxy Book 4 360 est l’un des deux nouveaux PC portables convertibles de Samsung pour cette année 2024. Armé d’un processeur Intel de dernière génération et d’une dalle OLED de 15,6 pouces, l’appareil fait bonne figure sans changer suffisamment la donne par rapport à ses prédécesseurs. Voyons ce qui est gênant avec ce produit.

Les plus
  • Design sobre, finitions impeccables
  • L’écran OLED, ses couleurs, son contraste…
  • Bon clavier avec pavé numérique
  • Autonomie honnête (8 à 10 heures)
Les moins
  • Prix trop élevé
  • Pas tellement puissant
  • L’écran au format 16:9, qui manque un peu de pixels
  • Trackpad pénible, pas d’emplacement pour le stylet, haut-parleurs médiocres, bloatwares…

Dans la famille des Galaxy Book 4, nous demandons le 360. Fidèle à ses habitudes, Samsung a lancé en début d’année pas moins de cinq nouveaux modèles de PC portables Galaxy Book. Sur le très haut de gamme se positionne le Galaxy Book 4 Ultra (seul modèle à être équipé d’une carte graphique dédiée), suivi d’un Galaxy Book 4 Pro (décliné en 14 et 16 pouces) et d’un Galaxy Book 4 « classique », plus abordable. Ça, c’est pour les appareils au format traditionnel, car Samsung a parallèlement lancé deux nouveaux modèles de PC portables convertibles : les Galaxy Book 4 Pro 360 (uniquement décliné en 16 pouces cette année) et Galaxy Book 4 360 « classique » (limité à un ratio d’écran 16:9).

C’est ce dernier qui nous intéresse aujourd’hui, car c’est lui que Samsung France nous a fait parvenir en prêt. Voici la configuration de notre unité de test :

Fiche technique Samsung Galaxy Book 4 360

Résumé
ProcesseurIntel Core 7 150U
Taille de la mémoire16Go
Carte graphiqueiGPU Intel Graphics
Taille de l'écran15.6 pouces
Taux de rafraîchissement60Hz
OS
Système d'exploitationWindows 11
Processeur
ProcesseurIntel Core 7 150U
Type de processeur10 coeurs / 12 threads
Fréquence du processeur5.4GHz
Finesse de gravure7nm
Mémoire vive
Taille de la mémoire16Go
Type de mémoireDDR5
Graphismes
Carte graphiqueiGPU Intel Graphics
VR Ready (réalité virtuelle)Non
Écran
Taille de l'écran15.6 pouces
Taux de rafraîchissement60Hz
Type de dalleDalle AMOLED
Type d'écranOLED
Résolution d'écranFull HD
Format de l'écran16/9
Dalle mate / antirefletNon
NVIDIA G-SYNCNon
Écran tactileOui
Stockage
Configuration disque(s)SSD
Disque principal512 Go
Disque secondaire1 slot M.2 NVMe
Lecteur optiqueAucun
Emplacement mSATA/M.2M.2 (occupé), M.2 (libre)
Lecteur de carte mémoireMicro SD
Connectique
Connectiques disponiblesThunderbolt 4/USB-C, USB 3.2, S/PDIF (Jack 3.5mm), HDMI 2.0
Réseau sans-fil
Wi-FiOui
Version Wi-Fi6
BluetoothOui
Version Bluetooth5.3
Équipement
WebcamOui
Haut-parleursIntégrés
ClavierAzerty
Clavier rétroéclairéOui - Couleur unique
Pavé numériqueOui
Lecteur d'empreinte digitaleOui
Caractéristiques physiques
Épaisseur13.7mm
Longueur355.4mm
Largeur228mm
Poids1.46kg

Le Galaxy Book 4 360 est disponible en France au tarif de 1 799 euros sur la boutique officielle de Samsung.

Le Galaxy Book 4 360 est un appareil élégant // © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Design : finitions irréprochables, mais tellement perfectibles

355.4 x 228.0 x 13.7 mm pour 1,46 kg. Ce sont les mensurations du nouveau Galaxy Book 4 360. L’appareil est ainsi de la même taille, peu ou prou, qu’un MacBook Air 15, et du même poids à quelques grammes près — mais avec une charnière permettant de faire basculer l’écran vers l’arrière en mode tablette, un châssis légèrement plus épais… et un format 16:9 vraiment vieillot en 2024. Nous y reviendrons plus loin.

Les finitions sont vraiment de qualité © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Les finitions de l’appareil sont néanmoins de très bon niveau. Samsung nous a habitués à faire globalement du très bon travail en la matière avec ses PC portables Galaxy. Le Book 4 360 ne fait pas exception, et c’est tant mieux. On retrouve donc un châssis en aluminium gris foncé et un écran en verre. L’ensemble est sobre, la qualité d’assemblage de bon niveau et le châssis nous paraît robuste. Difficile de prendre Samsung en défaut sur ces trois points.

L’appareil embarque aussi un échantillon de connectiques relativement complet, avec une sortie HDMI, deux ports Thunderbolt 4, un port USB-A 3.2, un lecteur de cartes microSD et une prise casque. Si l’on regrette que Samsung nous inflige un lecteur microSD qui ne sert pas à grand-chose, du moins par rapport à un lecteur SD plein format, on ne manque de rien sur le Book 4 360 au quotidien.

Le Book 4 360 en mode tablette // © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
La qualité de la webcam laisse à désirer © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

L’appareil profite par ailleurs d’un capteur d’empreintes digital logé dans la touche de mise sous tension (le meilleur endroit d’après nous), mais aussi d’une webcam 1080p et de deux haut-parleurs de 2 W logés sous le châssis. En la matière, Samsung souffle le chaud et le froid. Car si la webcam offre bien une définition Full HD, cette dernière s’avère en réalité passable en matière de qualité d’image et ne dispose pas les capteurs nécessaires à l’identification faciale.

C’est dommage, car le concept réversible du PC s’y serait bien prêté. Les haut-parleurs sont quant à eux médiocres et mal placés. Sur ce point Samsung n’a fait aucun effort. Gros carton jaune par ailleurs pour la marque, qui a préinstallé sur son ordinateur pas mal de bloatwares (une myriade de logiciels Samsung l’ergonomie discutable, et l’antivirus McAfee, notamment) et qui n’a toujours pas jugé bon d’ajouter à son Book 4 360 un emplacement digne de ce nom pour le stylet S-Pen qui l’accompagne. Ce dernier peut tant bien que mal s’aimanter sur le capot, mais dans les faits on ne sait jamais vraiment où le mettre.

Le PC est réversible © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Le clavier est correct, mais le trackpad... est une vraie galère © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Côté clavier, le PC fait mieux. On profite en effet d’un large clavier rétroéclairé avec pavé numérique intégré. L’espace offert par le format 15,6 pouces est donc bien rentabilisé, et l’on apprécie globalement l’expérience proposée. La course des touches est très courte, avec un rebond ferme et rapide qui donne de bonnes sensations — à condition d’aimer les claviers avec une frappe très sèche. L’ensemble s’avère par ailleurs silencieux, et la saisie est précise grâce à un bon espacement des touches, ainsi qu’une disposition judicieuse de l’ensemble.

Le trackpad est en revanche un calvaire. Ce dernier offre pourtant une assez bonne surface de glisse, mais s’avère peu réactif et imprécis au possible. Travailler sur le Galaxy Book 4 360 sans souris externe, c’est la crise de nerfs assurée, surtout si vous avez l’habitude des excellents trackpads d’Apple.

Il manque un véritable emplacement pour ranger le stylet © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Fenêtre racoleuse de McAfee qui est préinstallé sur le Book 4 360 // © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Un point sur l’évolutivité du Galaxy Book 4 360 avant de passer à la suite. L’accès aux composants se fait en retirant la plaque inférieure du châssis. Il faut pour ce faire dévisser les quatre vis Philips cachées sous les patins en plastiques du produit (faciles à enlever et remettre). On découvre alors les entrailles de l’appareil, et sa carte mère, sur laquelle est soudée la mémoire vive. Pas de remplacement possible de ce côté donc, mais l’on peut par contre changer le SSD (format M2) et la batterie facilement. Notons par ailleurs la présence d’un emplacement M2 laissé vacant. Ajouter un second SSD est donc possible.

Écran : l’OLED… ça ne fait pas tout

Disons-le sans trembler, pour l’écran de son Galaxy Book 4 360, Samsung ne fait les choses qu’à moitié en dépit du passage à l’OLED. Contrairement au Galaxy Book 4 Pro 360, plus haut de gamme, l’appareil fait effectivement l’impasse sur le format 16:10 — pourtant devenu la norme sur le marché du PC portable depuis au moins deux ans. On écope donc d’une dalle tactile Super AMOLED Full HD (1920 par 1080 pixels), au format 16:9, de 15,6 pouces, limitée à 60 Hz.

Le choix de l'écran au format 16:9 est discutable © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Opter pour le ratio 16:9 sur une machine proposée à tout de même 1 799 euros est un arbitrage très contestable en 2024 d’après nous. A fortiori pour un acteur comme Samsung… qui fabrique lui-même les dalles OLED de ses produits. Le choix de ce format dépassé (peut-être dû à une volonté d’écouler des vieux stocks de dalles OLED) n’est toutefois pas le seul reproche que l’on peut formuler contre l’écran de notre Book 4 360. Comme évoqué un peu plus haut, ce dernier se limite en effet à une définition 1080p, qui n’offre pas assez de pixels en 15,6 pouces, du moins pour les critères de 2024 et à ce niveau de prix.

En clair, la finesse d’affichage n’est pas entièrement satisfaisante. Elle plafonne ici à 140 pixels par pouce, ce qui est peu sur un appareil que l’on a vocation à utiliser de près — a fortiori lorsqu’on l’emploie en mode tablette. L’écran du Galaxy Book 4 souffre par ailleurs de grosses bordures inhérentes à son format 16:9. C’est moche, c’est désuet, mais il faudra s’y faire ou passer son chemin.

La qualité de l'image est bien présente © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Sur une note plus positive, notons que cet écran — en dépit de ses défauts — nous prodigue le meilleur de ce que permet la technologie d’affichage OLED. Signée Samsung Display, la dalle en question offre en effet un contraste infini et des noirs parfaits, permettant de conférer une très belle profondeur à l’image. Après un ou deux ajustements depuis les paramètres d’affichage de l’application Samsung Settings, on profite par ailleurs d’une justesse des couleurs parfaite, avec une température d’écran à 6544 kelvins et un DeltaE moyen solidement positionné à 2,1. Rien à redire.

La luminosité maximale est pour sa part moyenne, située à 387 cd/m2. C’est suffisant dans la plupart des cas, mais l’on a déjà vu mieux. Cela étant dit, le léger traitement antireflets appliqué à l’écran fait le nécessaire pour réduire les problèmes de lisibilité dans les environnements très éclairés.

Performances : une puce Intel de dernière génération, mais pas la meilleure

Pas de Core Ultra tapageurs sur le Galaxy Book 4 360. Pour maîtriser les coûts de fabrication de son 2-en-1, Samsung mise ici sur un processeur de dernière génération lui aussi, mais un peu plus rudimentaire : L’Intel Core 7 150U. Cette puce dispose de 10 cœurs et 12 threads, cadencés à un maximum de 5,4 GHz en boost, et de 12 Mo de cache. On y trouve par ailleurs un iGPU « Intel Graphics » regroupant 96 unités de calcul à 1,3 GHz, et l’ensemble dispose d’une enveloppe thermique de 15 W.

Le processeur est un peu rudimentaire © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

En benchmark, ce processeur basse consommation fait du bon travail en single-core mais s’incline en multi-core face au Core Ultra 7 155H (16 cœurs et 22 threads au compteur). Sur le dernier Zenbook 14 d’ASUS, la puce développait en effet 12 531 points en multi-core, contre 1 816 points en single-core sur Cinebench R23. Sur secteur et avec le mode performances activé, notre Core 7 150U s’en tient pour sa part à 7062 points seulement en multi-core contre 1797 points en single-core sur le même outil.

Si on le compare cette fois au processeur M3 du MacBook Air 15, le constat est moins avantageux. À efficacité énergétique largement supérieure, sur batterie et sans système de dissipation actif, la nouvelle puce « Apple Silicon » glanait 9 754 points en multi-core sur Cinebench R23 contre 1 900 points en single-core.

Sans être mauvaises, les performances proposées par le Galaxy Book 4 360 sont donc loin d’être exceptionnelles, d’autant que l’appareil ne profite pas d’une partie graphique aussi intéressante que les solutions Intel Arc désormais installées à bord des processeurs Core Ultra. Il faut ainsi se contenter d’une marge de manœuvre réduite en multimédia avancé. Inutile d’ambitionner autre chose que de la retouche photo très occasionnelle et du montage vidéo léger et ponctuel. Sur 3D Mark Time Spy, l’iGPU du Core Ultra 7 155H, lui, parvenait à battre certaines NVIDIA GeForce GTX 1650 dédiées.

Analyse CINEBENCH © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Ces performances modestes, nous pourrions nous en accommoder si le Galaxy Book 4 360 offrait en contrepartie une expérience invariablement confortable, sans bruit et sans chauffe. Or, ce n’est pas tout à fait le cas. Au quotidien, en bureautique comme en navigation web, il n’est pas rare d’entendre le ventilateur s’enclencher, et un léger souffle se faire entendre. Rien de bien méchant, bien que la chose est évidemment nettement plus audible en utilisation intensive.

En stress test sous AIDA-64, on s’aperçoit cette fois que la gestion de la chauffe est assez rustique sur le Book 4 360. Lorsque l’ensemble des cœurs du processeur sont sollicités, le système de dissipation s’enclenche aussitôt à plein régime sans pour autant parvenir à limiter l’échauffement du processeur. Les températures sur le CPU dépassent alors vite les 95 degrés, et le thermal throttling bondit pour aboutir à une baisse drastique des fréquences (on perd en effet plus de 1,30 GHz par rapport au début du test), et ce jusqu’à ce que les températures tombent sous la barre des 85 degrés.

Ce comportement radical explique au moins en partie les performances timides observées en multi-core, mais qui a par contre pour avantage d’éviter la surchauffe au toucher. L’utilisateur, lui, évite donc les tracas : le châssis reste globalement frais sur le Book 4 360.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Terminons par un point sur les performances du SSD. En la matière, le nouveau convertible de Samsung a tout simplement trois ans de retard, avec des débits aussi mauvais que ceux du MacBook Air M3 — qui est l’un des cancres en la matière sur le début 2024. On obtient en effet 3 763 Mo/s en lecture et seulement 2 189 Mo/s en écriture. Suffisant pour le quotidien, certes, mais indigne sur une machine lancée, rappelons-le, à près de 1 800 euros.

Autonomie : une bonne nouvelle à se mettre sous la dent ?

Il ne brille ni par son écran ni pas ses performances, mais le Galaxy Book 4 360 parvient-il à faire sensation avec son autonomie ? Avec sa dalle 1080p / 60 Hz « seulement » et son processeur 15 W, l’appareil aurait de quoi faire un carton sur ce terrain, mais c’est sans compter sur sa batterie de 68 Wh (une capacité honnête, mais sans plus pour un modèle de 15 pouces) et sur les limites atteintes par l’architecture x86 des puces Intel en matière de maîtrise énergétique.

L'autonomie est correcte pour une bonne journée de travail © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Résultat des courses, on tutoie assez facilement le seuil des 10 heures d’autonomie en utilisation bureautique et multimédia courante, tandis que dans le cadre de notre test de lecture vidéo habituel (lecture de vidéos YouTube HD en boucle sous Edge, avec le rétroéclairage du clavier coupé, la luminosité de l’écran à 100 % et les paramètres d’alimentation les plus économes en énergie) nous n’avons pas réussi à dépasser les 8 heures 30 minutes sur batterie.

Retenez donc 8 à 10 heures d’autonomie pour le Galaxy Book 4 360. Ce n’est clairement pas si mal, mais l’on reste bien loin de ce qu’un MacBook Air 15 peut proposer (jusqu’à deux jours d’utilisation entiers dans certains cas). Cela étant dit, face à un HP Envy x360 15, par exemple, le nouveau convertible de Samsung s’en sort honorablement, et, de toute manière, le cap symbolique de la journée de travail sur batterie est atteint.

Pour la recharge, comptez quoi qu’il en soit une grosse heure et demie pour faire le plein à l’aide du petit chargeur GaN USB-C de 65 W fourni.

Samsung Galaxy Book 4 360 : l’avis de Clubic

Conclusion
Note générale
6 / 10

Le Samsung Galaxy Book 4 360 aurait été un excellent PC portable en 2018. C’est comme cela que nous pourrions résumer nos impressions concernant cet appareil, que l’on aurait du mal à vous recommander en l’état.

Trop cher à son lancement, loin d’être impressionnant sur le plan des performances, et mal boutiqué côté affichage (à cause de son format 16:9 dépassé et d’un léger manque de pixel), le convertible de Samsung est également affecté par plusieurs petites sources de mécontentement (trackpad imprécis, stylet qu’on ne sait jamais vraiment où mettre, haut-parleurs médiocres, bloatwares…). Autant de casseroles qu’un produit lancé à 1 800 euros ne devrait pas se trimbaler, d’après nous.

Restent des finitions impeccables, un bon clavier, un stylet fourni, l’expérience d’affichage OLED (belles couleurs et noirs parfaits), et une autonomie correcte… mais est-ce vraiment suffisant pour pousser à l’achat ? Samsung devra faire mieux pour nous convaincre.

Les plus
  • Design sobre, finitions impeccables
  • L’écran OLED, ses couleurs, son contraste…
  • Bon clavier avec pavé numérique
  • Autonomie honnête (8 à 10 heures)
Les moins
  • Prix trop élevé
  • Pas tellement puissant
  • L’écran au format 16:9, qui manque un peu de pixels
  • Trackpad pénible, pas d’emplacement pour le stylet, haut-parleurs médiocres, bloatwares…
Sous-notes
Design
7
Écran
7
Performances
7
Autonomie
7
Prix
6

Concurrence : quelles alternatives au Galaxy Book 4 360 ?

Les plus
  • Châssis solide et élégant
  • De bonnes performances dans l'absolu…
  • Un bel écran OLED
  • Connectiques nombreuses, bon clavier, bons haut-parleurs, reconnaissance faciale
Les moins
  • Format 16:9 frustrant, et trop de reflets
  • … mais une architecture CPU qui commence à dater
  • Évolutivité moindre que celle de l'an passé (RAM désormais soudée)
  • Autonomie encore un peu juste (8 à 9 heures grand maximum)
Les plus
  • Plus de puissance, SSD « amélioré » et ray-tracing supporté
  • La chauffe mieux maîtrisée qu’avant
  • Prise en charge de deux écrans externes désormais
  • Autonomie démoniaque (près de deux journées entières)
  • Clavier et trackpad parfaits, haut-parleurs de qualité, finitions irréprochables
Les moins
  • Toujours 8 Go de RAM et 256 Go de SSD seulement… à 1 600 euros
  • Le coloris noir « Minuit » reste salissant
  • Connectiques peu nombreuses et mal réparties
  • L’encoche, encore et toujours