Le Samsung Odyssey OLED G8 se démarque en proposant une expérience hybride très complète
Le Samsung Odyssey OLED G8 se démarque en proposant une expérience hybride très complète

Premier écran de la marque doté d'une dalle QD-OLED non incurvée, le Samsung Odyssey OLED G8 tente de se différencier de ses concurrents sur de nombreux points. Pour cause, il est le seul moniteur Samsung à être équipé du processeur NQ8 AI Gen3, celui-là même que l'on retrouve au sein du QN900D, le TV 8K de Samsung de cette année.

Les plus
  • Un écran "hybride" extrêmement polyvalent
  • Les couleurs et noirs profonds de l'OLED
  • Revêtement OLED Glare Free redoutable
  • 240 Hz / VRR / HDR10+ Gaming
  • Processeur NQ8 AI Gen3
  • Input lag et temps de réponse
Les moins
  • Le risque de burn-in demeure
  • Pas d'USB-C (et donc de Power Delivery)
  • Bloc d'alimentation externe encombrant
  • Luminosité HDR limitée au-delà d'un certain seuil

Avec l'Odyssey OLED G8 G80SD (à ne pas confondre avec d'autres références du G8 comme le G85SD), Samsung rompt avec ses habitudes d'écrans QD-OLED incurvés au format 21:9 pour nous proposer un moniteur plat 16:9 à la définition 4K UHD (3840 x 2160 pixels) avec un taux de rafraichissement de 240 Hz. Des caractéristiques finalement très semblables au Dell Alienware AW3225QF, avec qui il partage la même dalle, à quelques différences près. Samsung ne s'arrête pas à proposer un simple écran de jeu immersif et performant, le constructeur coréen en propose beaucoup plus (peut-être trop ?) en intégrant à son Odyssey G8 sa puce de dernière génération NQ8 AI Gen3. Un processeur qui offre de nombreuses optimisations tandis l'interface Tizen et ses nombreuses applications élargissent considérablement les usages possibles avec ce moniteur.

L'OLED produit des images spectaculaires grâce à ses niveaux de noirs profonds © Matthieu Legouge pour Clubic

Design et ergonomie : superbe, à un détail près

Samsung nous a habitués à des écrans reconnaissables entre mille avec sa gamme Odyssey. Le G8 OLED ne déroge pas à la règle et arbore une couleur métallisée élégante, un design soigné à la fois sobre et distinctif de la gamme et un éclairage RGB "Core Lightning" dispensable certes, mais très bien intégré à l'arrière de l'écran.

Un design sobre qui ne renie pas l'identité Samsung © Matthieu Legouge pour Clubic

On profite d'un support central au format pentagone qui n'encombre pas trop le bureau avec environ 26 cm de profondeur. Tous les réglages ergonomiques que nous attendons d'un écran PC sont bien présent (ajustement de la hauteur, de l'inclinaison, rotation, mode portrait). Néanmoins, l'écran bouge assez facilement, ce qui ne rend pas les choses facile lorsque l'on cherche une position idéale, au centimètre ou au degré près. On perçoit aussi quelques grincements au niveau du pied lors de nos ajustements.

L'ergonomie est globalement très bonne, mais les ajustements ne sont pas précis

De même, le système de guide câble laisse à désirer. Comme c'est le cas avec d'autres écrans de la marque, l'Odyssey G8 dispose simplement d'une attache en caoutchouc à la base de son pied. Celle-ci se désolidarise facilement du support et n'est pas très commode à utiliser, nous aurions largement préféré un passage au travers du pied, comme c'est souvent le cas à la concurrence.

© Matthieu Legouge

La finesse de l'écran est quant à elle extrêmement appréciable. L'OLED a cette capacité de proposer des dalles très fines, elle est ici parfaitement intégrée au carénage arrière du moniteur qui se courbe légèrement jusqu'à la partie centrale où l'on trouve les connectiques et l'éclairage RGB, pour un ensemble inférieur à 50 mm d'épaisseur. L'Odyssey G8 profitant d'un bloc d'alimentation externe, cela aide à produire un écran encore plus fin puisque nul besoin de l'intégrer derrière la dalle. Les bordures ne sont également pas très épaisses, seule la bordure inférieure est un peu plus large, tandis que l'on aperçoit, au centre, le module infrarouge permettant au moniteur d'être contrôlé avec une télécommande.

Des connectiques facilement accessibles © Matthieu Legouge

Du côté de la connectique, nous retrouvons deux ports HDMI 2.1, un DisplayPort 1.4, ainsi que deux prises USB 3.0. En ce qui concerne la connectivité sans fil, Bluetooth 5.2 et Wi-Fi 5 sont de la partie.

Des fonctionnalités en pagaille

L'Odyssey G8 OLED n'est pas un écran PC comme les autres. Samsung a en effet reconduit le concept de son Smart Monitor M8 sur ce modèle, en plaçant le curseur encore un peu plus haut. Nous avons donc affaire à un écran hybride, à mi-chemin entre le téléviseur et le moniteur grâce à l'interface Tizen. Ce n'est pas tout puisque, comme le QN900D, la TV 8K de Samsung, cet écran est le seul de la gamme Odyssey à profiter du processeur de dernière génération du fabricant, à savoir la puce NQ8 AI Gen3.

© Matthieu Legouge

L'interface de Tizen OS ne laisse pas de place à la surprise si vous suivez nos tests de téléviseurs. À l'exception de ses menus d'options, pour ajuster l'image, le son ou autres options de réseau et connectivité, l'expérience utilisateur est exactement la même que sur les téléviseurs Samsung. On y retrouve trois onglets "Pour vous", "En direct" et "Applis" pour accéder rapidement aux contenus qui nous intéressent, et une colonne à gauche qui regroupe les espaces par thématique, à savoir Jeux et Daily+, ainsi qu'un onglet Rechercher et bien sûr Périphériques connectés et Paramètres.

L'Odyssey G8 OLED peut ainsi être utilisé de mille façons et surtout, comme un téléviseur, sans avoir besoin d'y connecter un PC. C'est d'ailleurs dans ce cas de figure que la puce intégrée à l'écran est à l'œuvre. Alors qu'elle n'agit pas sur des sources externes comme notre PC, elle assure l'upscaling des jeux vidéo cloud présent dans le Gaming Hub, ainsi que sur les applications Smart TV, comme Netflix ou Prime Video par exemple. Autres fonctions liées à cette puce : l'AI Motion Enhancer Pro et l'Active Voice Amplifier Pro. La première n'est autre qu'un moteur de gestion de mouvements, tandis que la seconde a pour rôle de rendre les dialogues plus clairs.

Le cloud gaming est à l'honneur sur l'Odyssey OLED G8 © Matthieu Legouge

Les haut-parleurs de 10 watts fournissent d'ailleurs un rendu plus que correct pour un moniteur, même s'ils restent logiquement limités avec un flagrant manque de basses et des mediums/aigus trop ternes à notre goût. Quoiqu'il arrive, l'audio est bien supérieur à la majorité des écrans gaming que nous avons pu tester.

Pour en terminer avec les fonctionnalités de ce moniteur hybride, n'oublions pas de citer la compatibilité avec les assistants vocaux Bixby et Alexa, ou encore du workspace de Samsung permettant de se connecter à un PC distant, Mac comme Windows, ou encore avec Samsung DeX. De son côté, SmartThings multiplie encore les possibilités offertes avec cet écran.

L'application permet notamment de faire de la diffusion sans fil avec SmartView, de contrôler depuis l'écran les appareils connectés de la maison, de profiter d'un partage de caméra entre le smartphone et l'écran, ou encore, à l'aide d'un smartphone Samsung ou Apple, d'étalonner votre écran. Ce sujet fait d'ailleurs l'objet d'un article dédié que vous pouvez consulter avec le lien ci-dessous.

Qualité d'image

Le Samsung Odyssey OLED G8 délivre une superbe image grâce à sa dalle QD-OLED de nouvelle génération. Toutes les qualités de cette technologie sont au rendez-vous, avec un superbe contraste et d'excellents angles de vision, des noirs d'encre, une luminosité appréciable et une palette de couleurs large et agréable à l'œil.

Mode jeu "Original" © Matthieu Legouge

En SDR, nous avons mesuré le pic lumineux à 246 cd/m² sur une fenêtre de 10 % avec la luminosité au maximum. L'écran affiche également une luminance suffisamment basse, de 16,9 cd/m² pour être précis, lorsque le curseur de la luminosité est ajusté à son minimum. Comme vous pouvez le constater ci-dessus, les valeurs relevées avec le mode jeu "Original" sont proches de la perfection, aussi bien sur le gamma que l'échelle de gris et la température de couleurs.

SDR : Mode jeu "Original" / Mode Cinéma

Ci-contre, nos relevés Delta E pour le mode jeu "Original" et le mode Cinéma. Sans surprise, les couleurs sont quelques peu saturées en mode jeu, ce qui débouche de légères dérives chromatiques. Le Delta E moyen est de 3,46 pour le mode jeu, et de 2,30 pour le mode Cinéma.

L'écart est moins flagrant en HDR, où les deux modes obtiennent respectivement un Delta E de 2,86 et de 2,47. De légères dérives subisistent néanmoins.

HDR : Mode jeu "Original" / Mode Cinéma

Compatibles avec les signaux HDR10, HDR10+ Gaming, l'Odyssey OLED G8 affiche de bons résultats en HDR avec des courbes parfaitement suivies et un lissage du signal à partir de 50 % de luminance pour éviter la perte de détails dans les hautes lumières. Comme sur les LG UltraGear OLED 32GS95UE-B et le Dell Alienware AW3225QF, le pic lumineux reste limité, en l'occurrence, avec une mesure à 434 cd/m² sur une fenêtre de 10 %. Un résultat tout à fait analogue au moniteur de Dell, qui utilise la même dalle, mais inférieur de près de 200 nits par rapport à la dalle W-OLED de l'écran LG.

L'Odyssey G8 a toutefois de belles capacités pour afficher des détails plus intenses avec de beaux éclats dans les hautes lumières. Son pic lumineux atteint 972 cd/m² sur des fenêtres de 1 et 2 %, poursuit sa course au-delà de 600 cd/m² sur une surface de 5% et termine légèrement en dessous de 300 cd/m² sur une fenêtre de pleine taille.

L'Odyssey OLED G8 et sa dalle QD-OLED ont d'excellentes capacités pour reproduire les couleurs sur de larges espaces. Selon nos mesures, l'écran couvre 98,79 % de l'espace DCI-P3, contre 77,94 % du Rec. 2020. Ainsi, alors que l'écran W-OLED de LG l'emporte en matière de luminosité, la bataille de la couleur est en faveur de Samsung.

Sans trop de surprise, l'uniformité de l'affichage de l'Odyssey G8 est impeccable. Sur nos trois mires de tests, aucune nuance de gris ne montre de dérives par rapport au centre de l'écran.

Odyssey OLED G8 : un écran PC ou une Smart TV ?

La puce NQ8 AI Gen3 fait des merveilles au niveau de la mise à l'échelle. Même à partir d'une source HD, on y voit pratiquement que du feu. C'est de loin le meilleur upscale auquel nous avons eu affaire.

À gauche la source en HD mise à l'échelle en 4K, à droite en 4K natif, via l'application YouTube depuis Tizen © Matthieu Legouge

Les fonctionnalités de cette puce font de l'Odyssey G8 OLED un écran bien armé pour consommer du contenu multimédia, comme des séries ou du cinéma. Cela change clairement la donne par rapport aux moniteurs PC dépourvus de tous traitements sur l'image. Les fonctions de gestion de mouvements et d'amélioration de l'audio font sens également, pour un résultat qui se rapproche fortement de ce que l'on observe sur les téléviseurs de la marque.

OLED Glare Free : l'autre atout de Samsung

Samsung brouille les pistes entre TV et moniteurs et multiplie les arguments pour faire de son Odyssey G8 un incontournable. Outre le fait qu'il reprenne la puce du QN900D, le G8 reprend le traitement antireflet OLED Glare Free du téléviseur QD-OLED Samsung S95D. Efficace, c'est le mot qui convient le mieux pour évoquer ce filtre antireflet. Bien qu'il altère légèrement l'image (en cas de reflet seulement), il s'avère parfaitement approprié pour un moniteur gaming comme celui-ci.

Le traitement OLED Glare Free dilue les reflets avec une réelle efficacité © Matthieu Legouge pour Clubic

Le filtre est par ailleurs bien visible sur nos photos au microscope (x30), l'effet que l'on observe ci-dessous sur les sous-pixels n'est autre que le traitement appliqué par Samsung à son moniteur. Profitons-en pour évoquer la structure de sous pixels, légèrement modifiée cette année, avec pour résultat un texte plus net qu'auparavant. L'amélioration est notable par rapport à la génération précédente, surtout qu'ici la forte densité de pixels (138 ppp) aide à obtenir une image nette en toutes circonstances.

Les sous pixels de l'Odyssey G8, avec le filtre OLED Glare Free bien visible © Matthieu Legouge

Performances

Que dire de l'expérience de jeu si ce n'est qu'elle n'est pas loin d'être impeccable ! Bien que l'on puisse ne pas se satisfaire du rendu HDR, dont la luminosité est trop réduite à notre goût lorsque sont diffusées de larges zones de hautes lumières, jouer sur ce moniteur est un régal. Les performances de l'Odyssey G8 sont en réalité très proches de celles de ses concurrents (Alienware et LG) que nous avons déjà cités. Le refresh rate de 240 Hz offre une superbe fluidité, sachant qu'en prime nous avons une dalle OLED dont l'intérêt est d'être particulièrement réactive par rapport aux écrans LCD.

© Matthieu Legouge

Naturellement, la combinaison 4K / 240 Hz demande une certaine débauche de puissance selon les titres auxquels nous voulons jouer. Testé à l'aide d'un PC équipé d'un processeur AMD Ryzen 9 5900X et d'une GeForce RTX 3080 FE, nous atteignons rarement le plafond de 240 images par seconde, sauf à faire quelques concessions sur la qualité graphique du jeu. La présence de l'Adaptive-Sync assure quant à elle une expérience de jeu dénuée de tearing, les scènes restent parfaitement fluides même lors de chutes de framerate. Nous avons pu tester la bonne exécution du G-Sync avec Pendulum, la plage VRR est effective de 20 à 240 Hz.

© Matthieu Legouge

Du côté de l'input lag, l'Odyssey G8 réalise un sans-faute. Lorsqu'il est activé, le mode jeu débouche sur une latence que nous mesurons à 10,4 ms seulement. En réalité, il est assez rare que nous mesurions la latence en dessous de 10 ms, notre boîtier de mesure se limitant à un relevé en 1080 px à 60 Hz. En mode Cinéma comme en mode Standard ou Graphique, mode jeu désactivé, l'input lag ne monte que légèrement avec 14,4 ms, un résultat qui reste tout à fait correct et qui montre que cet écran, malgré sa nature hybride, s'efforce à fournir une expérience de jeu sans faille.

© Matthieu Legouge

Consommation électrique

Mesuré avec le mode Cinéma sur une fenêtre de 10 % calibrée à 150 cd/m² et un affichage ajusté à 60 Hz (éclairage Core Lightning désactivé), l'Odyssey OLED G8 fait preuve d'une consommation électrique supérieure à la moyenne. Il atteint en effet 138 W/m², chose qui ne nous étonne pas vraiment, pour la simple raison que les moniteurs de jeu OLED sont généralement énergivores.

Le bloc d'alimentation est massif et a tendance à chauffer un peu © Matthieu Legouge

Samsung Odyssey OLED G8 : l'avis de Clubic

Conclusion
Note générale
9 / 10

Avec l'Odyssey OLED G8 (G80SD), il ne fait pas de doute que Samsung a tenté de sortir son moniteur le plus abouti à ce jour. Cet écran reprend le concept du ViewFinity, le revêtement antireflet du S95D, le processeur du QN900D, pour proposer une expérience hybride inédite offrant à ce moniteur une polyvalence extrême qu'on ne retrouvera pas ailleurs.

La technologie OLED, en l'occurrence le QD-OLED de Samsung Display, est ici exploitée à merveille. Outre la présence de l'écosystème Samsung, avec TizenOS et SmartThings, offrant une expérience hybride très complète, c'est surtout la dalle QD-OLED qui procure à l'Odyssey G8 toute sa polyvalence. Idéale pour le gaming, elle se prêtera aussi à la perfection à du travail créatif, d'édition vidéo, de retouche photo et ainsi de suite. D'un autre côté, cet écran se révèle excellent pour consommer du contenu multimédia. Sa puce lui permet de se comporter comme une véritable Smart TV, tandis que sa diagonale généreuse et sa définition 4K en font un bon écran d'appoint pour regarder la télévision, ou visionner films et séries sur nos plateformes favorites.

Là où LG a poussé son moniteur OLED dans ses retranchements avec le Dual-Hz, afin de permettre aux gamers de profiter d'un refresh rate de 480 Hz, Samsung s'est évertué à sortir le moniteur le plus complet de sa génération, à un tarif similaire.

Les plus
  • Un écran "hybride" extrêmement polyvalent
  • Les couleurs et noirs profonds de l'OLED
  • Revêtement OLED Glare Free redoutable
  • 240 Hz / VRR / HDR10+ Gaming
  • Processeur NQ8 AI Gen3
  • Input lag et temps de réponse
Les moins
  • Le risque de burn-in demeure
  • Pas d'USB-C (et donc de Power Delivery)
  • Bloc d'alimentation externe encombrant
  • Luminosité HDR limitée au-delà d'un certain seuil
Sous-notes
Design et ergonomie
9
Connectiques et fonctionnalités
8
Qualité d'image
9
Performances
10
Polyvalence
10
Consommation électrique
5

Toutes les mesures réalisées dans le cadre de ce test ont été enregistrées avec le logiciel CalMAN Ultimate, une sonde Calibrite Display Plus HL et un boîtier de mesure d'Input Lag Leo Bodnar.

Fiche technique Samsung Odyssey OLED G8 - G80SD

Résumé
Taille d'écran32 pouces
Résolution3840 x 2160 px
Format d'écran16/9
Type de dalleQD-OLED
Technologie d'affichageCompatible G-SYNC, AMD FreeSync Premium Pro, Anti-lumière bleue, Flicker-Free
HDRHDR10, HDR10+ Gaming
Fréquence de rafraîchissement240Hz
Temps de réponse0.03ms
Type d'écranOLED
Affichage
Taille d'écran32 pouces
Résolution3840 x 2160 px
Format d'écran16/9
Densité de pixels138
Type de dalleQD-OLED
Dalle mate antirefletOui
Technologie d'affichageCompatible G-SYNC, AMD FreeSync Premium Pro, Anti-lumière bleue, Flicker-Free
HDRHDR10, HDR10+ Gaming
Luminosité250 cd/m² (typique)
Contraste1000000:1
Profondeur de couleur10 bit
Fréquence de rafraîchissement240Hz
Temps de réponse0.03ms
Écran
Type d'écranOLED
Écran largeOui
Écran incurvéNon
Sans borduresOui
Compatible 3DNon
Écran tactileNon
Ergonomie
Angle d'inclinaison avant-2°
Angle d'inclinaison arrière+25°
Écran pivotableOui
Pied réglable en hauteurOui
Pied amovibleOui
Fixation VESA100 x 100 mm
Connectique
Entrées vidéoDisplayPort 1.4, HDMI 2.1 x2
Connecteur(s) additionnelsUSB 3.0 x2
BluetoothBluetooth 5.2
Wi-FiWi-Fi 5
Multimédia
Fonctionnalités multimédiasHaut-Parleurs intégrés
InterfaceTizen
Caractéristiques physiques
Largeur719.7mm
Hauteur584.6mm
Profondeur263.5mm
Largeur (sans pied)719.7mm
Hauteur (sans pied)414.7mm
Profondeur (sans pied)49.2mm
Poids8.4kg
Alimentation
Classé énergieG
Consommation47W
Consommation en veille0.5W
Alimentation interneNon
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11 septembre 2024 à 15h55

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