Le LG OLED G5 concourt au titre de meilleur téléviseur de l'année. © Matthieu Legouge
Le LG OLED G5 concourt au titre de meilleur téléviseur de l'année. © Matthieu Legouge

Pour 2025, LG fait évoluer son catalogue OLED avec une dalle de nouvelle génération plus lumineuse, plus précise et plus économe pour les LG OLED G5 et LG OLED M5. Bien positionné pour être l'un des meilleurs téléviseurs de l'année dans sa catégorie, le LG OLED G5 doit faire ses preuves face à des références comme le Samsung S95F, ou encore le Sony Bravia 8 II. Dans un marché où le QD-OLED gagne du terrain, le G5 peut-il toujours prétendre au trône ?

Les plus
  • Un saut générationnel réussi avec le Tandem OLED
  • Un rendu amélioré sur les couleurs et hautes lumières
  • Mise à l’échelle des contenus maitrisée
  • Interface fluide, personnalisable, avec assistant IA utile
  • Fonctionnalités gaming très complètes (VRR, ALLM, 4K/120 Hz)
  • Design plat pensé pour l’intégration murale
  • Consommation énergétique en nette baisse
Les moins
  • Système audio en retrait
  • Absence d’HDR10+ et de rétroéclairage sur la télécommande
  • Des publicités intrusives dans l'interface
  • Pied en option vendu séparément à un tarif élevé
  • Risques de burn-in inhérents à l'OLED

Ce test est valable pour les versions 55, 65, 77, et 83" du LG OLED G5. Les modèles de 48" et de 97" utilisent quant à eux une dalle WOLED classique, notre test ne peut donc pas s'y appliquer.

Avec sa série G5, LG répond à la montée en puissance de Samsung Display et ses dalles QD-OLED. Exit la technologie MLA utilisée sur le LG OLED G3 et G4, place à une toute nouvelle structure Tandem RGB à quatre couches, qui vise à repousser les limites connues des dalles WOLED : encore plus de luminosité, une colorimétrie affinée et une consommation électrique maitrisée. Le constructeur sud-coréen promet ici la dalle OLED la plus avancée jamais conçue par LG Display. Mais que vaut réellement ce LG G5 en conditions réelles ? Nous avons testé la version 65 pouces dans des conditions de visionnage variées, avec nos outils de mesure et notre regard critique habituel.

Performances et qualité d'image : un téléviseur OLED hors-norme !

Nos mesures

Le LG OLED G5 marque une rupture technique dans la stratégie de LG Display : plutôt que d’augmenter artificiellement la luminosité avec des lentilles (MLA), la nouvelle dalle Tandem RGB repose sur l’empilement de quatre couches de diodes auto-émissives, contre trois auparavant. Cette structure intègre deux couches bleues, une verte et une rouge, chacune pilotée de façon indépendante.

L’avantage sur le papier est nette. LG promet une amélioration significative de la luminosité, mais aussi une efficacité énergétique accrue. Contrairement à la précédente structure de sous-pixels (WRGB) où le sous-pixel blanc tendait à “délaver” les couleurs à forte intensité, la nouvelle approche de LG, avec une structure remaniée, tend conservent une bonne saturation avec une meilleure séparation des couleurs dans les hautes lumières. Le G5 offre donc une image plus percutante et plus fidèle à la fois, tout en réduisant l’usure prématurée de la dalle.

En bref : nos mesures sur le LG OLED G5 evo
Mode "Filmmaker"
Pic lumineux SDR (APL 10 %)577 cd/m²
Pic lumineux HDR (APL 10 %)2 476 cd/m²
Pic Lumineux HDR (APL 100 %)409 cd/m²
Contraste natif Infini
Température de couleurs6 467 K
Delta E moyen / max SDR1.36 / 2.22
Delta E moyen / max HDR0.62 / 1.79

Ce tableau présente un bref résumé des mesures que nous avons réalisées avec notre sonde Calibrite Display Plus HL et le logiciel Calman Ultimate sur le LG OLED G5. Pour découvrir notre analyse complète, ses courbes et ses graphiques, nous vous invitons à déplier les deux sections ci-dessous.

Cliquez ici pour voir nos mesures SDR

Le LG OLED G5 assume son statut de téléviseur situé dans le haut du panier. Comme c'est généralement le cas sur ce segment, l'étalonnage en sortie de carton est assez juste et soigné avec le Filmmaker Mode. Nous relevons ainsi une température de couleurs très proche de la valeur cible (6 500 K), une échelle de gris avec un Delta E de seulement 0.8, et un gamma qui n'est que légèrement supérieur à la cible.

© Clubic
© Clubic

La colorimétrie est très juste avec les contenus SDR. Le Delta E moyen est ici de 1.36 et, comme on peut le voir, aucune nuance ne surpasse la barre jaune, celle qui marque le seuil au-delà duquel sont visibles par l'œil humain les dérives chromatiques.

La suite de nos mesures en HDR

Le LG OLED G5 supporte les signaux HDR10, Dolby Vision (et Dolby Vision IQ), ainsi que l'HDR HLG, mais fait l'impasse sur l'HDR10+, un format supporté par son concurrent national, Samsung bien sûr.

© Clubic

La colorimétrie avec les sources HDR est absolument impeccable. Le Delta E moyen de 0.62, une valeur qui témoigne de l'étalonnage soigné de ce téléviseur avec le mode Filmmaker. La valeur maximale relevée est quant à elle de 1.79, une nouvelle fois tout à fait dans les clous.

© Clubic
© Clubic

Le LG G5 livre tout son potentiel avec les contenus HDR, et quel potentiel ! Alors que la courbe EOTF est parfaitement suivie, la courbe de luminance explose quant à elle les records avec un pic lumineux mesuré à 2 476 cd/m². Il s'agit d'un gain énorme de plus de 55 % par rapport au LG OLED G4, sur lequel nous avions relevé un pic lumineux de 1 578 cd/m² avec ce même APL de 10 %. En ajustant la balise MaxCLL à 10 000 cd/m², nous observons que le G5 colle la courbe de référence jusqu'à 80 % de luminance, avant de légèrement lisser son signal pour éviter de perdre trop de détails dans les très hautes lumières.

© Clubic

Autre point de comparaison intéressant par rapport au G4 : l'ABL. Le LG OLED G5 est, naturellement, soumis à une limitation assez brutale de sa luminosité suivant la taille de la surface affichée. En revanche, l'amélioration est une nouvelle fois significative. Certes, pas autant que précédemment, mais le gain en luminosité sur une fenêtre de pleine taille est tout de même à hauteur de 40 % entre les deux générations. Pour être plus précis, nous mesurons un pic lumineux de 409 cd/m² sur le G5, là où il ne dépassait pas 292 cd/m² sur le G4.

BT.2020 © Clubic
UHDA-P3 © Clubic

Le dernier point de nos mesures où la comparaison avec le G4 fait sens n'est autre que celui de la couverture colorimétrique. Le LG OLED G5 affiche une excellente palette de couleurs, bien meilleure que ce que proposait le LG G4. Certes, la couverture de l'espace BT.2020 est encore inférieure à ce que l'on mesure sur les dalles QD-OLED de Samsung Display, à l'instar de celle des S95F et S90F, le gain est tout de même bien visible : 80.7 % pour le BT.2020 et 99.8 % pour l'UHDA-P3

Envie d'en savoir plus sur notre protocole de test de téléviseurs ? Suivez le lien ci-dessous pour avoir plus de détails et rester informé des évolutions de notre protocole

Nos impressions sur le rendu à l'image

Comme je l'expliquais au moment de donner mes premières impressions sur le LG OLED G5, il y a des téléviseurs qui en mettent plein la vue dès qu'on les allume, et d'autres qui séduisent plus subtilement, par leur équilibre et leur maîtrise. Étrangement, malgré son pic lumineux record qui vient faire du coude aux téléviseurs MiniLED, le G5 appartient plutôt à la seconde catégorie. Car bien qu'il offre un rendu des plus dynamique, bien visible en lançant des contenus Dolby Vision, le G5 fait surtout preuve d'une certaine maitrise, sans jamais tomber dans la démonstration gratuite.

Avec "1917", l'illusion du plan séquence de deux heures ne perd rien de son charme sur le G5, au contraire. © Matthieu Legouge
© Matthieu Legouge
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Avec son mode Filmmaker, le G5 propose une approche cinématographique évidente, nuancée et maitrisée. Les scènes à fort contraste, comme celles de Dune: Part Two, mêlant les lumières brûlantes du désert aux balais d'ombres abyssales, gagnent en impact. Le mappage de tons est à la fois précis et subtil : la courbe EOTF est respectée à la lettre, avec juste ce qu’il faut de compression pour éviter toute perte de détail dans les hautes lumières.

"Dune: Part Two" laisse à voir de magnifiques scènes HDR que ce téléviseur restitue de belle manière. © Matthieu Legouge

C'est du côté des couleurs que l'on remarque finalement le mieux le saut générationnel opéré avec le LG OLED G5. Si la palette est plus large, elle permet surtout de rendre une image plus expressive, plus "cinéma", grâce à des teintes et des saturations qui nous semblent mieux conservés dans les hautes lumières. Mêlé à une excellente justesse colorimétrique, cette performance permet de rendre une image très plaisante à l'œil, avec des blancs et des couleurs d'une belle pureté et ce rendu si particulier de l'OLED avec ses noirs d'encre.

L'image est juste, pleine de détails, avec un jeu d'ombres et de lumières parfaitement géré. © Matthieu Legouge

Concernant les traitements d'image, pas de grande révolution ici mais une gestion que LG semble bien maitriser. L’upscaling est parfaitement traité, les contenus 1080p sont mis à l'échelle très correctement par le nouveau processeur Alpha 11 AI, avec une montée en définition qui parvient à bien définir les textures tout en évitant un effet de lissage trop visible. Même les vieux Blu-ray trouvent une nouvelle jeunesse, sans tomber dans le piqué numérique excessif.

On redécouvre certains films sous un nouveau jour avec le G5, comme ici avec "Lettres d'Iwo Jima" de Clint Eatswood. © Matthieu Legouge

Côté fluidité, le G5 débouche sur une expérience cinéma très satisfaisante. L'interpolation reste discrète tant qu’on ne pousse pas les curseurs. En désactivant le traitement ou en optant simplement pour le mode Filmmaker, les travellings restent propres avec parfois quelques micro-saccades, un phénomène relativement contenu toutefois. L'image en mouvement n'est certes pas encore du niveau de ce que l'on connait chez Sony ou Panasonic, mais force est de constater qu'au fil des années LG a su bonifier ses traitements pour se rapprocher des meilleurs.

Les couleurs saturées des films d'animation sont presque aussi vibrantes que sur le S95F. © Matthieu Legouge
© Matthieu Legouge
© Matthieu Legouge

Enfin, parmi les autres points forts du G5, et de l'OLED en général, les angles de vision apparaissent toujours aussi larges et ouverts. Côté reflet, le traitement Vanta Black introduit par LG il y a maintenant deux ans limite bien les reflets diffus et parvient à diluer correctement l'impact des reflets directs. En revanche, il s'agit toujours d'une dalle glossy qui ne donne pas l'effet "wahou" de ce que propose Samsung sur son S95F.

Le traitement anti-reflet se montre assez efficace © Matthieu Legouge
Mais logiquement moins dans les scènes sombres. © Matthieu Legouge

Cela dit, l’approche de LG a l’avantage de préserver l’intégrité des noirs et la fidélité des couleurs, là où le revêtement mat de Samsung peut parfois altérer légèrement le contraste perçu et la saturation lors de reflets importants. Une approche différence donc, que le consommateur doit juger en connaissance de cause.

Expérience au quotidien

Audio

Avec son format ultra-fin, le G5 ne révolutionne pas l’audio. Le système intégré (4.2 canaux + AI Sound Pro) propose un rendu sonore plutôt propre intelligible, mais en retrait avec un manque de punch flagrant. Les voix sont malgré tout bien détachées, la dynamique reste correcte, mais le bas du spectre est en retrait. L’absence de haut-parleurs verticaux ne permet d'ailleurs pas de profiter d'un vrai rendu Dolby Atmos.

À noter toutefois : le téléviseur propose une personnalisation sonore via un assistant qui adapte le son à vos préférences d’écoute en huit étapes. Un plus bienvenu, même si l’expérience fournit par le G5 est très loin de ce que l'on peut obtenir avec une barre de son.

Interface et fonctionnalités

Le G5 tourne sous webOS 25, une version qui conserve l’interface en tuiles introduite l’an dernier, tout en apportant quelques raffinements. L’ergonomie reste globalement fluide, les menus sont réactifs, et les réglages rapidement accessibles. Pas de révolution donc, mais une interface bien maîtrisée.

WebOS 25 se bonifie, mais la publicité y occupe, selon nous, trop d'espace. © Matthieu Legouge

La vraie nouveauté vient de l’intégration de fonctionnalités IA plus poussées. Un bouton dédié sur la télécommande permet de faire apparaître Gemini, capable de lancer des réglages, suggérer du contenu ou répondre à quelques requêtes contextuelles. L’idée est bonne, mais les usages restent encore limités. On retient surtout l’arrivée du mode AI Picture Wizard, qui permet aux profils moins expérimentés de calibrer leur image en quelques étapes simples, via des choix visuels guidés. Une option pertinente pour ceux qui veulent un rendu sur mesure sans se perdre dans les menus.

La section dédiée au gaming est particulièrement complète. © Matthieu Legouge
Les réglages se font facilement, avec des explications à chaque étape. © Matthieu Legouge

Comme toujours chez LG, la compatibilité avec AirPlay 2, Miracast, Chromecast est de la partie, tout comme la gestion des objets connectés via LG ThinQ, Matter, Apple Home ou Google Home. On peut également créer jusqu’à 10 profils utilisateurs, avec recommandations personnalisées.

Misère, encore des pubs. © Matthieu Legouge
Après une grosse minute de publicité affligeante, il est possible de jouer à PacMan ! © Matthieu Legouge

Avant de lancer un jeu disponible gratuitement et jouable à la télécommande, il faut se "farcir" cinq publicités — dont, dans notre cas, cinq fois la même publicité au contenu sexualisé. Un passage obligé franchement déplacé pour accéder à des jeux qui se destinent en grande partie à un jeune public.

La nouvelle Magic Remote, plus plate et modernisée, conserve le pointeur gyroscopique, la molette crantée et les touches d’accès rapide aux principales plateformes. On regrette simplement l’absence de rétroéclairage, toujours non corrigée en 2025.

La télécommande garde son curseur gyroscopique, mais change radicalement de design ! © Matthieu Legouge

Gaming

Le G5 continue d’offrir un environnement très complet pour les joueurs : 4 entrées HDMI 2.1, support de la 4K à 120 Hz, VRR, FreeSync Premium et G-Sync Compatible, ainsi que le mode HGiG, qui laisse le tone mapping au jeu pour un rendu plus fidèle. Enfin, l'input lag est au plus bas, le résultat est même assez bon sans passer par l'optimiseur de jeu.

L'input lag sur le LG OLED G5
Mode JeuMode Standard
Input lag mesuré (à 60 Hz)12.9 ms21.3 ms
Un plaisir de retrouver "Hellblade II' avec une si belle image. © Matthieu Legouge

Consommation électrique

La technologie Tandem OLED du LG G5 ne brille pas seulement par ses performances bien supérieures aux dalles avec MLA : elle marque aussi un vrai progrès en matière d’efficacité énergétique. Avec une consommation relative mesurée à 42,8 W/m², ce modèle de 65 pouces s’inscrit parmi les téléviseurs OLED les plus sobres que nous ayons testés. Un résultat significatif par rapport aux générations précédentes et surtout, un atout de taille à l’heure où les économies d’énergie deviennent un critère de choix.

Design et connectiques

Le LG OLED G5 reprend le design « Gallery » propre à la série G, conçu avant tout pour une intégration murale. Comme sur les générations précédentes, aucun pied n’est fourni, le téléviseur en effet livré avec un support mural affleurant. Un pied central (référence : LG SA-G5SN65 pour ce modèle de 65 pouces) reste disponible en option, à un prix tout de même prohibitif pour un simple support.

Le design "Gallery" évolue peu, mais est toujours aussi réussi. © Matthieu Legouge

L’écran affiche une épaisseur réduite à seulement 2,7 cm, grâce à l’intégration directe de l’électronique dans le châssis. Le résultat est toujours aussi élégant : des bords fins, un dos plat, une finition premium en métal, avec des caches pour dissimuler les câbles et assurer un rendu propre, que le téléviseur soit posé ou fixé au mur.

La construction est toujours aussi soignée. © Matthieu Legouge

La connectique se montre quant à elle toujours aussi complète. On retrouve quatre entrées HDMI 2.1 (toutes compatibles 4K/120 Hz, eARC, VRR, ALLM), trois ports USB, un port Ethernet, une sortie audio optique, et les prises antenne/satellite. Le tout accompagné d’une connectivité sans fil à jour : Wi-Fi 6 et Bluetooth 5.3. On note l’absence de port USB-C ou de sortie casque, un petit manque à ce niveau.

Test LG OLED G5 evo : l'avis de Clubic

Conclusion
Note générale
9 / 10
Prix d'excellence

Avec son G5, LG fait la démonstration d’un savoir-faire renouvelé pour sa technologie OLED, porté par une dalle de nouvelle génération qui tient largement ses promesses. Plus lumineux, plus efficace, mieux calibré et plus économe, ce téléviseur réussit à surpasser ses prédécesseurs sur de nombreux points, tout en conservant  l'ADN que la marque a développé au fil des années sur ses produits OLED. On aurait pu craindre que la suppression de la technologie MLA pénalise l’impact visuel, mais c’est tout l’inverse : le G5 marque un tournant, tant sur le plan du rendu HDR que sur celui de l’équilibre général.

Face à un Samsung S95F, un poil plus démonstratif, ou un Sony Bravia 8 II dont le rendu plaira sans doute plus aux puristes, le LG OLED G5 occupe une position très juste. Il séduit par son homogénéité, la précision de son image, la richesse de ses couleurs, sans jamais trop en faire. Ajoutez à cela une interface bien pensée, des options gaming multiples, une consommation en baisse, et vous obtenez l’un des téléviseurs les plus complets et polyvalents du moment.

Il ne lui manque qu’un système audio plus convaincant, un revêtement antireflet encore plus performant et — peut-être — un brin d'innovation dans son design ou ses fonctions pour viser la perfection. Mais pour quiconque cherche un téléviseur OLED de très haut niveau, le LG OLED G5 s’impose comme un choix solide et résolument pertinent.

Les plus
  • Un saut générationnel réussi avec le Tandem OLED
  • Un rendu amélioré sur les couleurs et hautes lumières
  • Mise à l’échelle des contenus maitrisée
  • Interface fluide, personnalisable, avec assistant IA utile
  • Fonctionnalités gaming très complètes (VRR, ALLM, 4K/120 Hz)
  • Design plat pensé pour l’intégration murale
  • Consommation énergétique en nette baisse
Les moins
  • Système audio en retrait
  • Absence d’HDR10+ et de rétroéclairage sur la télécommande
  • Des publicités intrusives dans l'interface
  • Pied en option vendu séparément à un tarif élevé
  • Risques de burn-in inhérents à l'OLED
Sous-notes
Design et connectiques
9
Qualité d'image
9
Qualité audio
6
Gaming
9
Expérience connectée
8
Consommation électrique
10

Toutes les mesures réalisées dans le cadre de ce test ont été enregistrées avec le logiciel CalMAN Ultimate, une sonde Calibrite Display Plus HL et un boîtier de mesure d'Input Lag Leo Bodnar.

Fiche technique LG OLED G5 evo

Résumé
Diagonale65 pouces
Résolution d'écran3840 x 2160 pixels - 4K UHD
Technologie d'écranOLED
Compatibilité HDRHLG, HDR10, Dolby Vision, Dolby Vision IQ
Fréquence de rafraîchissement165 Hz
Puissance des haut-parleurs (watts)60
Système d'exploitationWebOS
Affichage
Diagonale65 pouces
Résolution d'écran3840 x 2160 pixels - 4K UHD
Technologie d'écranOLED
Type de dalleWOLED
Processeur vidéoα11 AI Gen 2
Compatibilité HDRHLG, HDR10, Dolby Vision, Dolby Vision IQ
Fréquence de rafraîchissement165 Hz
AutresMode Filmmaker
Audio
Puissance des haut-parleurs (watts)60
Dolby AtmosOui
DTS:XOui
Synchronisation audioWOW Orchestra
Connectique
Nombre de ports HDMI4
Standard HDMIHDMI 2.1
ARC / eARCARC, eARC
ALLMOui
Synchronisation dynamiqueVRR, FreeSync Premium Pro, G-Sync
Autres entrées3x USB-A, 1x Ethernet, 1x CI+, 1x Antenne TV
Autres sorties1x optique (SPDIF)
Autres fonctionsQMS, CEC
Connectivité
Système d'exploitationWebOS
BluetoothOui
Norme Bluetooth5.2
Wi-FiOui
Norme Wi-Fi6 (AX)
Assistant vocalGoogle Assistant, Alexa, LG ThinQ
ChromecastOui
Airplay 2Oui
HomekitOui
InteropérabilitéMatter

La meilleure alternative face au LG OLED G5

Si le LG OLED G5 se hisse sans mal parmi les meilleurs téléviseurs de l’année, son principal rival reste le Samsung S95F. Avec sa dalle QD-OLED qui profite, elle aussi, de belles améliorations pour 2025, le modèle de Samsung offre une image sans doute un peu plus démonstrative, des couleurs plus saturées, et un traitement antireflet plus performant en environnement lumineux. Moins sobre dans son rendu, mais plus percutant à première vue, le S95F reste l’option à privilégier si vous préférez opter pour un revêtement différent que le traitement brillant habituel. Deux visions de l’OLED, deux excellents choix.