La Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) a annoncé dans un communiqué avoir infligé une amende de 50 000 euros à une société de vente de coffrets cadeaux qui avait collecté des informations personnelles de particuliers, lui permettant ainsi de se créer un fichier de prospects.
Suite à la découverte d'adresses IP sur un de ses serveurs, TMG, le prestataire agissant pour les ayants-droit dans le cadre de la lutte contre le téléchargement illégal, la Cnil avait été saisie. Elle constate désormais « l'insuffisance des mesures de sécurité entourant le traitement mis en œuvre dans le cadre du dispositif dit de réponse graduée ».
Fraîchement déployée sur Facebook, la fonction de reconnaissance des visages des photos envoyées sur le réseau social semble être dans la ligne de mire de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, et d'autres autorités ailleurs dans le monde.
Parmi les orientations prises par les chefs d'Etat lors du dernier G8, un rappel à été fait au sujet de la protection des données personnelles. Un consensus a même été trouvé afin de définir des règles communes en la matière. Une position saluée par la Cnil.
La Commission nationale informatique et libertés (Cnil) vient de faire connaitre, via un communiqué, sa déception de ne pas figurer parmi les intervenants sélectionnés pour les ateliers de travail de la deuxième journée du E-G8 Forum, prévue mercredi, alors que l'un d'eux est dédié à la problématique de la vie privée.
Dans un avis, la Commission Informatique et Libertés adresse un carton jaune aux pratiques de certains éditeurs de moteurs de recherche. Parmi eux, Yahoo et sa décision de conserver les logs de connexion d'un internaute pendant 18 mois sont critiqués.
Dans une note, la Commission Informatique et Libertés rappelle que « les informations issues de points d'accès WiFi utilisées pour fournir des services de géolocalisation sont des données à caractère personnel ». Certaines règles doivent donc encadrer leur collecte.
Le 10 mars dernier, la Cnil autorisait la collecte de données recueillies par relevé d'empreinte digitale. La commission précise que seuls les ordinateurs portables professionnels dotés de dispositifs biométriques d'usine sont concernés.
La semaine dernière, Alex Türk nous expliquait que la Cnil allait enquêter sur l'existence d'un fichier baptisé MENS. Une information initialement signalée par LeMonde.fr expliquait alors que la gendarmerie française aurait constitué un fichier informatique sur les Roms.
Alex Türk, le président de la Cnil a réagi au sujet de l'information selon laquelle la gendarmerie française aurait constitué un fichier informatique sur les Roms.
Suite aux informations montrant des failles sur le site de la Cnil, la Commission cherche à rassurer les internautes. Depuis son site, elle communique donc en expliquant que la vulnérabilité constatée a bien été corrigée. La faille XSS permettait l'exécution d'un code javascript au chargement de la page d'agenda.
Le Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative, constate que le fichier « base élèves » comporte certaines irrégularités importantes. Pire, cette base de données n'aurait jamais dû être constituée entre 2004 et 2006 puisque la Cnil n'aurait jamais autorisé formellement sa constitution.
La Loppsi ou loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure continue son parcours. Après l'Assemblée nationale et le Sénat, la loi était inspectée par la Cnil. L'autorité a émis quelques critiques sur le texte.
Comme chaque année, la Commission nationale Informatiques et libertés rend son rapport d'activité. Pour cette 30ème version, la Cnil dévoile ses positions sur l'Hadopi, Google Street View ou encore la notification des fuites de sécurité par les professionnels.
La Commission nationale Informatique et libertés revient sur l'affaire Soumaré et la consultation interdite du fichier policier, STIC. Rappel, alors candidat aux élections régionales, Ali Soumaré avait été traité de « délinquant multirécidiviste » par deux maires UMP. Le passé du candidat avait donc été exhumé par la consultation du fichier. Pourtant, seuls les policiers sont habilités à le consulter...
La polémique entre les autorités européennes protectrices des données personnelles sur Internet et les géants de l'informatique continue. Rassemblées dans le cadre du G29, les Cnil d'Europe reprochent aux trois poids lourd de l'Internet de ne pas suffisamment améliorer la protection des données personnelles des utilisateurs de leurs moteurs de recherche. Ces orientations se font plus précises à l'heure où l'Allemagne attend toujours une réponse de Google sur la collecte des réseaux WiFi.
La Commission Informatique et libertés vient d'émettre un sérieux avertissement à Acadomia. La Cnil reproche non seulement à une filiale du site de soutien scolaire de s'être constitué illégalement un fichier de données sur les enseignants mais également de ne pas avoir modéré ses informations.
Suite au coup de pression orchestré par l'équivalent allemand de la Cnil, cette fois la France a décidé de mener une enquête auprès de Google pour savoir quelles données ont été collectées par les Google cars. La Commission nationale Informatique et Libertés fera donc un contrôle. Reste à savoir comment.
La CNIL donne un coup de pouce aux doctorants en créant un prix « informatique et libertés » d'un montant de 7000 euros. L'objectif est double : il s'agit, d'une part, de faciliter la publication de la thèse primée et, d'autre part, d'encourager les recherches et études sur les enjeux de société à l'ère du tout numérique. Le premier prix de thèse « informatique et libertés » sera attribué en 2009.
La Commission nationale informatique et libertés a présenté lundi dans ses locaux parisiens les grandes lignes de son rapport d'activité 2006 sur fond de crise. Alex Türk, président de l'autorité administrative indépendante, a alerté la presse et les pouvoirs publics.
Après avoir invité les douze candidats à la Présidentielle à préciser leurs positions concernant le respect des données privées et le développement de ses propres missions, la Commission nationale informatique et libertés (CNIL) publie « sans commentaires et in extenso », ce mercredi, les premières réponses reçues, à savoir celles de Nicolas Sarkozy.
La Commission nationale informatique et libertés respire. Quelques semaines après avoir alerté les pouvoirs publics « de sa situation budgétaire préoccupante », la CNIL obtient une rallonge de 300.000 euros. Dans une lettre adressée au Premier ministre, le président de l'organisation, Alex Türk, avait fait état d'un déficit de 532.000 euros contraignant la CNIL à « renoncer à l'exercice de certaines de ses missions » alors même « qu'elle connaît un accroissement spectaculaire de son activité » avec la montée en puissance du Web et des technologies de l'information.
Après avoir alerté les pouvoirs publics "de sa situation budgétaire préoccupante", la Commission informatique et libertés obtient une rallonge de 300.000 €.
Comme prévu, la Commission nationale informatique et libertés a organisé mardi une rencontre sur "la prospection politique par courrier électronique".
L'année 2005 a été marquée par un accroissement de 113% des contrôles effectués par la Commission nationale informatique et libertés.
La Commission informatique ne s'oppose pas à ce qu'un parti communique à un candidat les coordonnées d'adhérents dans le cadre d'élections internes.
La CNIL (Commission nationale de l'informatique et des libertés) a signalé jeudi avoir adopté, lors de sa séance plénière du 1er juillet 2003, "une recommandation relative à la sécurité des systèmes de vote électronique sur place ou à distance."
Il y a une dizaine de jours, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) refusait un projet d'expérimentation du vote électronique sur la commune lorraine de Vandoeuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle).
La CNIL (Commission nationale de l'informatique et des libertés refuse un projet d'expérimentation du vote électronique sur la commune lorraine de Vandoeuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle).