Le XPS 13 2024 reprend le même châssis que les « anciens » XPS 13 Plus // © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Le XPS 13 2024 reprend le même châssis que les « anciens » XPS 13 Plus // © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Dell dévoilait au printemps un nouvel XPS 13, reprenant le châssis des anciens XPS 13 Plus, mais cette fois avec un processeur ARM à son bord : le désormais incontournable Snapdragon X Elite. Une première pour la gamme XPS. Ainsi motorisé, l’appareil parvient-il à remédier, au moins en partie, aux défauts des précédents modèles sous processeurs Intel ? Réponse dans notre test.

Les plus
  • Performances CPU XXL dans un châssis taille S
  • Cette version ARM chauffe peu
  • Design toujours aussi élégant et atypique
  • Autonomie solide (13 à 14 heures)
Les moins
  • Deux ports USB-4 Type C… et rien d’autre
  • Écran IPS Full HD+ et sRGB « seulement »
  • Performances graphiques en retrait

Pour ne pas simplifier les choses (ou plus vraisemblablement pour éviter de se priver d’une partie de sa clientèle professionnelle), Dell ne propose pas cette année un seul XPS 13, mais bien deux : le premier est celui qui nous intéresse aujourd’hui, équipé d’une puce ARM Qualcomm Snapdragon X Elite ; le second, annoncé en septembre à l’IFA, est pour sa part animé par les tout nouveaux processeurs x86 Intel « Lunar Lake » (Core Ultra de série 2). Les deux modèles partagent toutefois la majeure partie de leurs spécifications, mais aussi le même design.

L’arrivée d’ARM sur le XPS 13 sonne quoiqu’il soit comme une petite révolution sur cette gamme, a fortiori puisqu’elle est armée par Intel depuis ses débuts sur le marché. Nous allons voir si ce changement d’écurie permet à ce PC portable de s’améliorer sur l’autonomie et le refroidissement, les deux principaux motifs de mécontentement observés sur les précédents XPS 13 Plus, dont notre XPS 13 2024 reprend les lignes, le design et plus globalement le concept.

L'appareil est très compact // © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Avant d’aller plus loin, précisons quand même que l’appareil qui nous intéresse pour ce test nous a été prêté par Dell France. Il regroupe un écran LCD IPS Full HD+ et 120 Hz, un processeur Snapdragon X Elite (X1E-80-100), 16 Go de RAM (LPDDR5X à 8448 MHz) et 512 Go de SSD. En France, cette configuration est proposée à 1 449 euros sur le site officiel de Dell. Il est toutefois possible d’opter pour un écran OLED tactile, et ajouter jusqu’à 64 Go de RAM et 2 To de SSD pour un prix s’élevant cette fois à 2 330 euros.

Pour comparaison, la version Intel de l’appareil débute de son côté à 1 299 euros (en configuration Full HD+, Core Ultra 5, 16 Go/512 Go) et monte à un maximum de 2 669 euros (en configuration OLED, Core Ultra 7, 64 Go / 2 To).

Design : Dell s’en tient une nouvelle fois à son châssis 2022

Nous l’avons dit plus haut, le XPS 13 millésime 2024 reprend à l’identique le châssis, le design et les principaux arbitrages ayant été réalisés par Dell en 2022, lorsqu’il nous présentait, tout pimpant, son XPS 13 Plus d’alors. Deux ans plus tard, ce que l’on peut dire, c’est que si le look de l’engin n’a pas pris une ride, ses défauts, eux, sont toujours d’actualité. Mais commençons par l’un des atouts de l’appareil… avant de parler des choses qui fâchent.

Le look dépouillé du XPS 13 est l'un de ses plus beaux atours // © Clubic
Elégant et sobre
© Clubic

Au risque de radoter (ce n’est jamais que la quatrième fois que ce design nous passe entre les mains), il faut une nouvelle fois admettre que le XPS 13 est, en raison de son look, unique sur le marché. Élégant et particulièrement sobre, l’engin dénote toujours autant par son aspect assez dépouillé, son châssis en aluminium gris usiné CNC, son clavier avec un bord à bord blanc, ses commandes tactiles et son trackpad « invisible ». La qualité d’assemblage, au cordeau, fait par ailleurs honneur à Dell. Elle nous rappelle que nous sommes bien en compagnie d'un produit haut de gamme, aux finitions résolument premium. Contrairement à certains concurrents (coucou Apple), le constructeur de Round Rock prend d’ailleurs au pied de la lettre l’expression « borderless » en ce qui concerne l’écran.

Ce dernier occupe ainsi de nouveau quasiment tout l’espace disponible, et le cadre noir, lui, se fait donc particulièrement discret. Cela vaut y compris pour la bordure supérieure, qui embarque pourtant la webcam 1080p (à la qualité toutefois fort passable) et les capteurs nécessaires à l’identification faciale (qui n’est pas le seul mode d’identification biométrique, puisqu’un lecteur d’empreintes digitales est aussi de la partie, installé dans la touche de mise sous tension).

La webcam brille surtout par l'identification faciale // © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
L'ouverture maximale du capot est faible // © Clubic

Comme par le passé, le XPS 13 est par ailleurs l’un des 13 pouces les plus compacts du marché, avec seulement 295,3 x 199,1 x 15,3 mm pour 1,19 kg. Tout petit, mais un peu plus épais que certains concurrents, c’est vrai. Le PC n’occupera en tout cas pas plus de place qu’un cahier dans le fond de votre sac.

L’appareil pêche par contre toujours sur les mêmes points : l’absence de touches « fonction » physiques sur le clavier, les ratés ponctuels du trackpad haptique (tout de même moins nombreux qu’en 2022), la difficulté à cerner les contours de ce trackpad… et la présence de seulement deux ports USB-4 Type C en guise de connectiques. Autant dire que les adaptateurs (pour brancher une clé USB-A, ou une simple paire d’écouteurs filaires) seront indispensables au quotidien. Dommage, d’autant que l’épaisseur de l’appareil aurait largement permis l’inclusion d’au moins un port USB-A et une sortie HDMI (comme c’est le cas sur de nombreux ultraportables d’ASUS, notamment).

Le clavier est élégant et étonnamment confortable // © Clubic
Le clavier est vraiment un coup de maître
© Clubic

Cela étant dit, difficile de contenir notre enthousiasme face à un clavier toujours aussi précis et confortable. Les touches y sont larges (suffisamment pour compenser l’absence d’espace entre elles), la course profonde, et la frappe étonnamment onctueuse. Un coup de maître des ingénieurs de Dell, du moins selon nous.

Le trackpad haptique, en dépit de ses quelques errances ponctuelles, est, lui aussi, réussi. Nous l’aurions par contre aimé moins étroit. Et puisque nous en sommes aux critiques, ajoutons que les touches tactiles, placées au-dessus du clavier, sont également peu pratiques à l’usage. Sur ce point, le XPS 13 prend clairement le parti de nous faire souffrir pour être beau.

Un accès à la batterie et au SSD, rien d'autre © LaptopMedia

En matière de réparabilité et d’évolutivité, l’engin est du reste au même niveau que ses concurrents. Comme la majorité des autres ultraportables, il se contente de nous offrir un accès à la batterie et au SSD, qui pourront tous deux être remplacés en quelques tours de vis. Le reste des composants est en revanche soudé à la carte mère.

Écran : pas au niveau de la concurrence

Si le Dell XPS 13 2024 peut être doté d’une dalle OLED en option, notre modèle de prêt est pour sa part équipé d’un « simple » écran IPS « InfinityEdge » de 13,4 pouces. Ce dernier se contente d’une définition Full HD+ (1 920 x 1 200 pixels), suffisante pour cette diagonale, mais monte en revanche à 120 Hz. Notre panneau LCD est enfin équipé d’un revêtement mat, antireflet, et devrait atteindre les 500 cd/m² en luminance SDR selon la fiche technique fournie par Dell. Voyons ce qu’il en est.

Le bas de l'écran et la bande de commandes tactiles // © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Commençons comme d’habitude par nos mesures de luminance obtenues à l’aide d’une sonde X-Rite i1DisplayPlus et du logiciel de mesures DisplayCal. Avec ces outils, nous relevons un pic de luminance SDR un peu plus faible que celui promis par Dell : 489,6 cd/m2. On reste néanmoins sur le même ordre de grandeur que la valeur promise par le constructeur pour ce panneau IPS, fabriqué chez le Japonais Sharp, fournisseur habituel de Dell pour la gamme XPS. Cette luminosité maximale suffit dans les faits à offrir une excellente lisibilité, d’autant que le traitement mat de l’écran, efficace, limite très franchement les problèmes de reflets.

Pousser la luminosité à 100 % pour nos tests nous a par contre permis de remarquer un défaut de l’écran, qui souffre d’une homogénéité imparfaite sur les noirs. Dans certains contextes d’utilisation, des fuites de lumières sont ainsi visibles sur les bords de la dalle. Heureusement, ce phénomène reste occasionnel et plutôt discret. Du moins sur notre exemplaire de prêt.

Sur le plan du contraste, l’écran de notre XPS 13 offre une expérience très honorable. Nous relevons en effet un ratio de 2033:1 plus que décent pour la technologie d’affichage IPS. Les noirs restent néanmoins beaucoup moins profonds, forcément, que sur les écrans OLED proposés sur de plus en plus de modèles concurrents… pratiquement au même prix comme le Lenovo Yoga Slim 7x.

L'écran Full HD+ est de qualité... à une ou deux lacunes près // © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Dell déçoit par contre sur le plan colorimétrique. Si la calibration de cette dalle est juste, la couverture des principaux espaces de couleurs s’avère insuffisante en 2024 pour l’écran d’un produit premium. Nous relevons en effet une prise en charge à 94,2 % du spectre sRGB et à seulement 66,8 % du gamut DCI-P3. En clair, le XPS 13 2024, dans cette configuration, ne conviendra pas aux utilisateurs avancés, en quête d’un écran pleinement utilisable en retouche photo ou pour certains travaux graphiques, par exemple. Ici aussi, la plupart des modèles concurrents font mieux pour le même prix, ou à peine plus cher.

Comme nous l’évoquions plus haut, cet écran est par contre bien calibré par défaut, avec un DeltaE estimé par nos outils à 2,2 (il doit idéalement être égal ou inférieur à 3), et une température des couleurs limitée à 6 711 kelvins (elle doit s’approcher en théorie le plus possible des 6 500 kelvins du standard vidéo). Sur ce point, la fidélité est donc de mise en dépit de couleurs légèrement trop froides par défaut.

Les bordures sont très fines // © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Performances : un joli concentré de performances… sauf sur le plan graphique

Passons à l’épineuse question des performances. Sur ce point, le XPS 13 2024 s’en sort plus que bien avec sa puce ARM. Cette dernière s’avère en effet particulièrement véloce, en dépit du format très compact de l’ultraportable dans lequel elle est insérée. Pour contexte, l’appareil est motorisé par un processeur Qualcomm Snapdragon X Elite X1E-80-100 (4 nm, 12 cœurs/12 threads cadencés à un maximum de 4 GHz, mais 3,4 GHz seulement en multicore, 42 Mo de cache), avec partie graphique Adreno X1-85 (3.8 TFLOPS) et NPU 45 TOPS.

Ce NPU (Neural Processing Unit), dévolu au calcul local de l’IA, sert notamment pour les fonctions Copilot+ de Microsoft. C’est également lui qui pourra être mis à contribution sur les fonctionnalités d’intelligence artificielle intégrées à certains logiciels tiers. Toujours bon à prendre, il s’avère toutefois légèrement moins performant que les NPU intégrés aux nouveaux processeurs AMD Strix Point (Jusqu’à 50 TOPS — voire 55 TOPS sur certaines références) et Intel Lunar Lake (jusqu’à 48 TOPS). Notons par ailleurs que toutes ces solutions s’inclinent face aux 194 TOPS développés d’office par une « simple » NVIDIA GeForce RTX 4050… de quoi remettre en perspective les promesses de Qualcomm, AMD et Intel en matière d’IA avec leurs nouveaux APU.

L'arrivée d'une puce ARM sur le XPS 13 est une belle avancée // © Clubic

Ces précisions étant faites, passons au morceau le plus savoureux, et donc aux résultats obtenus sur le plan CPU par notre XPS 13. Ce que l’on peut dire d’entrée de jeu c’est que l’appareil est véloce. Très véloce. Sur Cinebench R24, qui nous sert de plus en plus grâce à sa compatibilité tant avec les architectures ARM que x86, et aussi bien sur Windows que macOS, nous relevons 815 points en multi-core sur le XPS 13 2024, contre 119 points en single-core. Ça, c’est sur secteur.

Sur batterie, nous passons cette fois à 916 points en multi-core et 114 points en single-core. De quoi placer avantageusement la machine de Dell face à la concurrence, même si l’on reste deux pas derrière le nouveau Microsoft Surface Laptop 7 en version 15 pouces. Avec rigoureusement le même processeur, mais un système de dissipation un peu plus volumineux, ce dernier obtenait en effet 931 points en multi-core et 123 points en single-core, sur secteur comme sur batterie.

Bien sûr, elle est là la grande force de l’architecture ARM : pouvoir travailler sur batterie avec les mêmes performances que sur secteur. Quant aux puces Snapdragon X Elite en particulier, elles détiennent pour l’instant un bel avantage sur les solutions Apple Silicon en multi-core. À titre de comparaison, le processeur Apple M3 du dernier MacBook Air de 13 pouces obtenait de son côté 139 points en single-core, toujours sur Cinebench R24, mais seulement 569 points en opérations multi-core. Reste maintenant à savoir quelle sera la réponse d’Apple cet automne avec les puces M4 attendues sur Mac.

Sur le plan graphique, la marge de manoeuvre est restreinte // © Clubic
Résultats Cinebench R24 © Clubic
Résultats Cinebench R24 sur batterie © Clubic
Résultats Cinebench R24 sur secteur © Clubic

Comme nous l’avons déjà évoqué à de multiples reprises ces derniers mois, les machines sous Snapdragon X Elite souffrent toutefois d’une optimisation encore discutable de Windows 11 ARM, qui ne parvient pas encore à exploiter entièrement leur potentiel sur le plan graphique. En conséquence, les performances GPU sont loin d’être époustouflantes sur notre XPS 13 sous Snapdragon X Elite X1E-80-100.

Sur Shadow of the Tomb Raider (qui nous sert de mètre étalon pour jauger les performances graphiques des derniers ultraportables Copilot+), en Full HD+ (1 920 par 1 200 pixels), avec les réglages en niveau « moyen » et les textures en 2x anisotropique, nous n’avons ainsi pas obtenu plus que 23 FPS en moyenne. Pas de quoi sabrer le champagne. En face, les puces M3 tiennent en effet le cap des 30 FPS avec la même définition et des réglages graphiques plus élevés.

Résultats sur Shadow of the Tomb Raider © Clubic
Résultats sous CrystalDiskMark © Clubic

En version ARM, le XPS 13 ne sera donc efficace que sur certains jeux peu gourmands ou anciens, et pourrait se montrer moins performant qu’un MacBook Air M3 sur certains logiciels de création tirant parti de l’accélération GPU, par exemple. Attention, ces observations ne devraient toutefois pas s’étendre aux variantes Intel Lunar Lake de l’engin, sur lesquelles on attend de meilleures performances graphiques.

Côté refroidissement, aucun souci particulier à mentionner, et c’est là que ce XPS 13 2024 fait fort par rapport à ce que l’on connaissait jusqu’à présent sur cette gamme. Si l’on déplore que les machines sous Snapdragon X Plus / X Elite restent pour l’instant toutes équipées de systèmes de dissipation actifs… et toutes sujettes à léger échauffement, la maîtrise énergétique de ces puces reste globalement avantageuse. En pleine charge CPU intensive, le XPS 13 ne dépasse donc pas les 46 degrés au point le plus chaud de son châssis (juste au-dessus de l’écran). Autant dire que la situation est loin d’être problématique, d’autant que ces températures ne sont atteintes qu’en utilisation intensive.

Cette version ARM chauffe peu © Clubic

Bref, sur ce point, l’appareil fait nettement mieux que ses prédécesseurs sous processeurs Intel. Il s’agit là d’une excellente nouvelle pour l’ultraportable de Dell, qui s’émancipe donc d’un des gros défauts des deux précédentes générations de la lignée.

Les ventilateurs, quant à eux, sont d’ailleurs éteints la plupart du temps au quotidien. Dans le cadre d’une charge prolongée du processeur sous AIDA 64, ils s’activent, certes, mais nous n'avons pas relevé plus de 47 dB… soit l’équivalent d’un souffle, audible dans une pièce silencieuse, c’est vrai, mais sans être réellement gênant.

Terminons par les performances du SSD de 512 Go embarqué à bord de notre modèle de prêt. Ce dernier monte à 5036 Mo/s en lecture et 4389 Mo/s en écriture. Des vitesses de transferts tout à fait satisfaisantes pour la majorité des utilisateurs… et des contextes d’utilisations.

Beaucoup de fil sur ce chargeur // © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Autonomie : l’avantage d’une définition Full HD+ « seulement »

Dans le cadre de notre test d’autonomie habituel : lecture de vidéos YouTube sur Edge, en 1080p, avec la luminosité de l’écran à 100 %, le rétroéclairage du clavier coupé, un casque branché et les paramètres d’alimentation les plus favorables à l’économie d’énergie, le Dell XPS 13 ARM tient près de 14 heures d’affilée sur sa batterie de 55 Wh. Une endurance que l’appareil doit notamment à la combinaison d’une puce ARM… et d’un écran IPS Full HD+, là où ses concurrents optent de plus en plus pour des dalles OLED 2,8K plus gourmandes en énergie.

La recharge se fait de son côté en 1 heure et 20 minutes, d’après nos observations, par l’intermédiaire d’un chargeur USB-C de 60 W fourni.

Le logo de Dell sur le capot // © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Dell XPS 13 (2024 — ARM), l’avis de Clubic :

Conclusion
Note générale
8 / 10

En attendant d’avoir un aperçu de ce que donnent les versions Intel Lunar Lake du XPS 13 2024, cette mouture ARM de l’engin - la première - lui permet de corriger les principaux défauts des précédentes générations. L’ultraportable de Dell, repensé de fond en comble en 2022, devient ainsi réellement endurant sur batterie et s’améliore aussi en maîtrisant beaucoup mieux sa chauffe en utilisation intensive.

Malgré tout, on regrette que Dell ne fasse pas un effort sur l’affichage. Par défaut, l’appareil se limite en effet à une dalle IPS Full HD+, très honnête, certes, mais loin de rivaliser avec la qualité d’image proposée sur certains modèles concurrents, dotés pour leur part d’écrans OLED de série. Chez Dell, cette technologie d’affichage est disponible, oui, mais seulement en option… et à des prix qui s’envolent.

Les plus
  • Performances CPU XXL dans un châssis taille S
  • Cette version ARM chauffe peu
  • Design toujours aussi élégant et atypique
  • Autonomie solide (13 à 14 heures)
Les moins
  • Deux ports USB-4 Type C… et rien d’autre
  • Écran IPS Full HD+ et sRGB « seulement »
  • Performances graphiques en retrait
Sous-notes
Design
8
Écran
7
Performances
8
Autonomie
9

Fiche technique Dell XPS 13 ARM (2024)

Résumé
ProcesseurSnapdragon X Elite
Carte graphiqueQualcomm Adreno GPU
Taille de l'écran13.4 pouces
OS
Système d'exploitationWindows 11
Processeur
ProcesseurSnapdragon X Elite
Type de processeurSnapdragon X1E-80-100 (12 cores up to 4 GHz Dual-Core Boost up to 4 GHz, NPU integrated)
Fréquence du processeur3.4GHz
Finesse de gravure4nm
Mémoire vive
Type de mémoireDDR5
Fréquence(s) Mémoire8,448MHz
Graphismes
Carte graphiqueQualcomm Adreno GPU
Écran
Taille de l'écran13.4 pouces
Résolution d'écran1920 x 1200, 2560 x 1600 ou 2880 x 1800 pixels
Stockage
Configuration disque(s)SSD M.2 PCIe NVMe
Disque principalSSD 512 Mo à 2 To
Connectique
Connectiques disponiblesUSB Type C
Réseau sans-fil
Wi-FiOui
Version Wi-Fi7
BluetoothOui
Version Bluetooth5.4
Équipement
WebcamOui
Haut-parleursIntégrés
ClavierAzerty
Clavier rétroéclairéOui - Couleur unique
Pavé numériqueNon
Lecteur d'empreinte digitaleOui
Caractéristiques physiques
Épaisseur15.3mm
Longueur295.3mm
Largeur199.1mm
Poids1.19kg

Concurrence : quelles alternatives au Dell XPS 13 2024 ?

  • Puissance de la puce Snapdragon X Elite
  • Autonomie flatteuse
  • Qualité d’affichage de très bon niveau
8 / 10
  • La puce M3, ses performances, son efficacité énergétique
  • Travailler dans le silence absolu et sans chauffe
  • Autonomie diabolique
8 / 10
  • Finitions haut de gamme
  • Excellentes performances sur batterie comme sur secteur
  • Autonomie généreuse (jusqu’à 13 heures)
8 / 10
  • Châssis (très) léger, robuste et élégant
  • L’un des tout meilleurs écrans OLED du marché
  • Un joli concentré de puissance en petit format
8 / 10