Le Lenovo Yoga Slim 7x est un ultraportable de 14,5 pouces rattaché, lui aussi, à la famille des appareils Copilot+. Avec son processeur ARM et son écran OLED, il se pose en alternative au Microsoft Surface Laptop 7, ou encore à l’ASUS Vivobook S15 - pour ne citer qu’eux. Voyons s’il parvient à se démarquer face à ses concurrents.
- Finitions haut de gamme
- Excellentes performances sur batterie comme sur secteur
- Autonomie généreuse (jusqu’à 13 heures)
- Écran OLED à deux doigts de la perfection
- Connectiques uniquement USB-C
- Performances graphiques toujours en retrait
- À quand les machines Windows ARM sans ventilateurs ?
Dans la famille (de plus en plus peuplée) des PC portables Yoga Slim, nous demandons le 7X. Cousin de l’excellent Yoga Slim 7, sous processeur AMD, l’appareil s’empare en ce qui le concerne d’une puce ARM Snapdragon X Elite, et mise autant sur son écran OLED que sur un châssis compact pour faire mouche face aux autres modèles Copilot+ lancés en juin. Avec lui, Lenovo cherche à combiner puissance, qualité d’image et autonomie, tout en offrant les dernières fonctionnalités de Windows, dopées à l’IA.
Le Lenovo Yoga Slim 7X ARM est commercialisé à partir de 1 600 euros en tarif recommandé. Il se négocie néanmoins à un peu plus de 1 500 euros sur le site officiel de Lenovo à l’heure où nous rédigeons ces lignes. Notre modèle de prêt est pour sa part affiché à 1 800 euros, mais l’appareil atteint les 1 900 euros dans sa configuration la mieux équipée. Notons toutefois que, quel que soit le modèle choisi, seules les capacités de mémoire vive et de stockage changent. L’écran, le processeur embarqué et le châssis sont communs à toutes les configurations disponibles à date.
Design : compact, solide et efficace… mais attention aux connectiques !
Personne ne sera vraiment surpris face au design de ce nouveau Lenovo Yoga Slim 7X. L’appareil reprend en effet les lignes que l’on connaît bien sur cette gamme, avec un carénage intégralement en aluminium bleu marine, marqué par une silhouette très douce, tout en courbes. Face à la concurrence, le Yoga Slim 7X dénote sur le plan visuel, et force est d’admettre que l’ensemble est aussi harmonieux esthétiquement qu’agréable à prendre en main. Les finitions sont par ailleurs irréprochables.
Pour ne rien gâcher, et sans battre de record en la matière, ce modèle s’avère compact : 32,5 x 22,51 x 1,29 cm (à l’endroit le plus fin) pour 1,28 kg sur la balance. De quoi le rendre agréable à transporter et à utiliser en déplacement. Comme ASUS et bien d’autres, Lenovo mise enfin sur une certification « militaire » MIL-STD-810H censée attester de la solidité de son produit.
Dans le cas présent, elle ne semble pas usurpée, puisque l’ensemble se montre effectivement robuste, bien assemblé et peu sensible aux torsions. Nous n’avons pas poussé nos tests trop loin pour respecter notre unité de prêt, mais l’appareil semble bel et bien solide… suffisamment du moins pour rester en bon état de longues années et résister aux petites maladresses du quotidien.
Sur le plan du clavier aussi, Lenovo fait du bon travail. Il faut dire que la marque se rate rarement lorsqu’il s’agit d’accoucher de claviers convaincants. Ici encore, la frappe est agréable, la profondeur de course satisfaisante et les touches assez larges pour assurer une bonne précision dès les premières minutes d’utilisation. Le clavier du Slim 7X est donc de ceux auxquels on s’habitue très vite, et que l’on apprécie aussitôt. Nous n’avions rien de particulier à lui reprocher en l’état.
Malheureusement, nous n’en dirons pas autant du trackpad. Plutôt dans la moyenne face aux autres pavés tactiles en matière de surface, ce dernier est cliquable essentiellement sur son tiers le plus bas, il s’avère réactif ; mais souffre d’un léger manque de précision, de coins qui s’enfoncent trop en appui, et d’un rendu à la fois creux et étonnamment très « plastique » à l’usage (la surface de glisse est censée être en verre). On reste néanmoins sur une expérience globale correcte par rapport à ce que proposent les autres PC portables Windows. Apple et ses MacBook volant, quant à eux, encore et toujours loin au-dessus de la mêlée pour ce qui est de la qualité des trackpads.
Dans la même veine, nous sommes déçus par les connectiques embarquées et par leur cruel manque de variété. Il faut en effet se contenter de trois ports USB-4 Type-C. Rien d’autre. Autant dire qu’un adaptateur sera vite requis, ne serait-ce que pour connecter l’appareil à un projecteur, un téléviseur, ou pour y brancher un simple casque audio ou une clé USB. Dommage.
Sans être mauvais, les haut-parleurs, eux, manquent surtout de puissance. Même à plein volume, il est parfois difficile de les entendre distinctement si l’on évolue dans un environnement un tant soit peu bruyant. Cela dit, Lenovo sauve les meubles en installant deux des quatre haut-parleurs de part et d’autre du clavier pour mieux les braquer vers l’utilisateur (les deux autres sont par contre logés sous le châssis). Le son est quant à lui relativement équilibré. Malgré des médiums tout de même trop présents et des graves en retrait, on apprécie le rendu global… sans qu’il soit mémorable.
Nous sommes un peu déçus par les connectiques © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
La webcam, enfin, a pour principal atout d’offrir la reconnaissance faciale via Windows Hello. Juché au-dessus de l’écran, dans un petit encart proéminent et désormais emblématique chez Lenovo, ce capteur grand-angle offre une image 1080p honnête en dépit de couleurs un chouia ternes et d’un piqué faiblard. Il est par contre possible de désactiver cette webcam au besoin, à l’aide d’un petit interrupteur placé sur le flanc droit du châssis.
Terminons par un point sur l’évolutivité de l’appareil et sur l’accès aux composants. La chose se fait en retirant la plaque inférieure du châssis, retenue par des vis Torx T5. On constate alors que le SSD (au format M2 2242) pourra être changé facilement, au même titre que la batterie. La mémoire vive est en revanche soudée à la carte mère — comme c’est maintenant le cas sur la plupart des ultraportables.
Écran : une dalle OLED 90 Hz quasi parfaite
Pour son nouveau Yoga Slim 7X, Lenovo mise sur une dalle OLED tactile de 14,5 pouces offrant une définition 2,9K (2 944 x 1 840 pixels) et une fréquence de rafraîchissement 90 Hz. Ce panneau organique est certifié à la fois Dolby Vision et HDR600 True Black. Il couvre selon Lenovo 100 % du spectre DCI-P3, et peut atteindre une luminance maximale typique de en 500 nits en SDR. Avec notre sonde X-Rite i1Display Plus et le logiciel de mesure DisplayCal, voyons ce qu’il en est.
Comme d’habitude, nous commençons avec nos mesures de luminosité. Ici, nos outils nous indiquent un pic de luminance situé à 488 cd/m2, ce qui est légèrement en dessous de ce que Lenovo promet sur la fiche technique de son produit. Cela étant dit, on reste sur une luminosité avantageuse, qui permet d’assurer une bonne lisibilité de l’écran dans la majorité des cas. Notez quand même que la surface de l’écran, tactile, est très réfléchissante. Cette luminosité maximale n’est donc pas de trop au quotidien. Et globalement, l’utilisation en extérieur reste compliquée.
Ici, et comme sur tous les écrans OLED, le contraste n’est pas un problème : il est infini. Comprenez par là que les noirs sont extrêmement profonds et que la qualité d’affichage en sort grandie. L’impression de profondeur conférée à l’image est impressionnante. Impossible de prendre l’écran de notre Yoga Slim 7X en défaut en la matière.
Le panneau OLED de notre machine de prêt est par ailleurs calibré avec justesse. Nous mesurons en effet 6632 kelvins et un DeltaE à 2,2. Pour rappel, la première des deux valeurs est censée approcher le plus possible les 6 500 kelvins du standard vidéo (l’écran est donc légèrement trop froid par défaut, mais seuls les utilisateurs les plus scrupuleux le remarqueront), tandis que la seconde est censée afficher un indice égal ou inférieur à 3 pour permettre une restitution la plus fidèle possible des couleurs. Nous y sommes.
Les principaux espaces de couleurs sont quant à eux amplement couverts. On relève en effet une prise en charge à 167,5 % du gamut sRGB, contre 118,6 % pour le spectre DCI-P3. Rien à redire là non plus : l’appareil conviendra sur ce point à tous les usages.
L’impression de profondeur conférée à l’image est impressionnante. © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Les angles de vision sont enfin très ouverts et l’on apprécie la parfaite homogénéité de la dalle, en dépit d’un léger effet de halo (« blooming ») lorsque la luminosité est poussée à 100 %, et qu’un élément très clair (le curseur de la souris par exemple) est affiché sur un fond parfaitement noir ou très sombre.
Performances : une puce ARM aux manettes, pour quels résultats ?
À l’instar de l’ASUS Vivobook S15 OLED, que nous testions en juin, notre Lenovo Yoga Slim 7X s’appuie sur un processeur sous architecture ARM : le Qualcomm Snapdragon X Elite X1E-78-100. Il s’agit pour rappel de la mouture la moins rapide du X Elite, marquée par des performances en léger retrait face aux autres versions (X1E-80-100 et X1E-84-100 surtout), principalement pour les calculs réalisés sur un seul cœur.
Quoi qu’il en soit, cette puce regroupe 12 cœurs et 12 threads, cadencés à 3,4 GHz, 45 Mo de cache et monte à 23 W de TDP. On y trouve également une partie graphique Adreno, et un NPU offrant jusqu’à 45 TOPS de performances dévolues à l’IA et aux fonctions Copilot+ de Windows. Un point malheureusement trop anecdotique, ces dernières étant pour le moment éparses et dispensables au quotidien. Sur notre modèle de prêt, Snapdragon X Elite X1E-78-100 est enfin épaulé par 32 Go de mémoire vive particulièrement rapide (de la LPDDR5X à 8 448 MHz).
Voici sans plus attendre les résultats obtenus avec cette configuration dans nos tests de performances habituels.
Commençons par les performances développées sur secteur et sur batterie, avec Cinebench R24, qui nous sert désormais de référence en raison de sa prise en charge des machines ARM évoluant sous Windows. Ici, et comme avec les autres puces ARM, le niveau de puissance obtenu est équivalent, que le chargeur soit branché ou non. Étrangement, nous avons même noté une légère hausse des performances lorsque tous les cœurs sont exploités sur batterie. Dans ce contexte, nous relevons en effet 1009 points en multi-core, contre 104 points obtenus en single-core. Sur secteur cette fois, nous obtenons 924 points en multi-core et 107 points en single-core, toujours avec Cinebench R24.
Pour comparaison le Snapdragon X Elite X1E-78-100 du ASUS Vivobook S15 OLED 2024, obtenait pour sa part 107 points en single-core et 1 123 points en multi-core (en raison d’un système de dissipation plus conséquent) ; tandis que le Snapdragon X Elite X1E-80-100 du Microsoft Surface Laptop 7 de 15 pouces glanait quant à lui 123 points en single-core, et 931 points en multi-core. Le X Elite X1E-84-100 du Samsung Galaxy Book 4 Edge de 16 pouces, cette fois, montait toutefois à 125 points en single-core et 981 en calcul multi-core sur batterie. Notre Yoga Slim 7X ne démérite donc pas.
Et face aux modèles dotés de solutions x86 il se place également très bien. Faute de pouvoir le mesurer aux puces Intel Lunar Lake dans l’immédiat (elles n’arriveront pas avant septembre sur le marché), contentons-nous d’une des meilleures puces Meteor Lake : l’Intel Core Ultra 9 185H peut par exemple prétendre à 107 points en single-core et 864 points. Quant à AMD, le tout nouveau Ryzen AI 9 HX 370 (Strix Point, lancé en juillet) cumule de son côté 974 points en multi-core et 112 points en calcul single-core sur l’ASUS Zenbook S16 OLED.
Apple et sa puce M3 sont enfin battus en multi-core. Sur le dernier MacBook Air de 13 pouces, cette dernière glanait bien 139 points en single-core, mais seulement 569 points en multi-core sur Cinebench R24. La messe est dite.
En clair, le processeur de Qualcomm fait une nouvelle fois très bonne impression sur le plan CPU… mais reste par contre largement en retrait sur la question des performances graphiques. Sur Shadow of The Tomb Raider, que nous utilisons pour estimer la puissance de la partie GPU intégrée au processeur, nous n’obtenons pas plus de 23 FPS en moyenne dans le cadre d’un essai réalisé en Full HD+ (1920 par 1200 pixels), avec les réglages en niveau moyen. En face, AMD et Apple font mieux, en tutoyant les 30 FPS dans les deux cas, avec une définition Full HD+ et des réglages graphiques en niveau élevé cette fois.
L’explication de la piètre performance du Snapdragon X Elite est à chercher du côté de l’émulation utilisée par Windows pour faire fonctionner les jeux gourmands sur l’architecture ARM. Cette dernière ampute une bonne partie des performances graphiques de notre X1E-78-100. On a toutefois bon espoir qu’au fil des mises à jour, Microsoft et Qualcomm parviennent à améliorer au moins un peu cette situation.
Poursuivons avec les performances du SSD. En l’occurrence, la petite barrette M2 2242 de 512 Go montée sur la carte mère de notre machine de test s’en sort bien avec 5020 Mo/s en lecture et 4578 Mo/s en écriture. Des vitesses de transfert pas nécessairement spectaculaires pour le standard PCIe 4.0, mais qui restent légèrement supérieures aux derniers PC portables testés chez Clubic.
Il nous reste enfin à aborder la question du système de dissipation et de sa prestation lorsqu’il s’agit de garder l’APU de Qualcomm au frais. Pour avoir une idée assez précise de la chose, nous lançons notre habituel stress test CPU sous AIDA 64, surveillons les fréquences appliquées et mesurons les températures à l’aide d’une caméra thermique. On apprécie en premier lieu l’absence de thermal throttling lors de cet essai (pour rappel, l’ensemble des cœurs sont ici sollicités à 100 % de manière continue et pendant près de 30 minutes d’affilée), signe d’une bonne gestion des températures internes.
Sur le châssis, on relève toutefois un point chaud à 53 degrés juste au-dessus du clavier, mais rien de bien méchant : au toucher, l’appareil reste globalement tiède. Ce pic de température n’est donc pas synonyme d’inconfort, d’autant qu’il est très localisé, circonscrit à une utilisation intensive uniquement, et que les ventilateurs restent discrets : 42 dB environ (mesure réalisée à une distance d’utilisation classique, environ 40 cm de l’écran). En utilisation quotidienne, ils sont même désactivés la plupart du temps.
Autonomie : 12 à 13 heures sans broncher
Avec sa batterie de 70 Wh, plutôt généreuse pour un ultraportable de 14 pouces, le Yoga Slim 7X fait le nécessaire pour nous assurer une bonne autonomie en dépit d’un écran OLED fatalement assez gourmand en énergie. La bonne efficacité énergétique de son processeur ARM fait le reste.
Dans le cadre de notre test d’endurance habituel (lecture de vidéos YouTube sur Edge, en définition 1080p, avec la luminosité de l’écran à 100 %, le rétroéclairage du clavier coupé, un casque branché et les paramètres d’alimentation les plus favorables à l’économie d’énergie), nous avons réussi à tenir pratiquement 13 heures et 15 minutes sur batterie avant de voir l’ordinateur s’éteindre. On reste donc dans la fourchette - avantageuse - de 12 ou 13 heures d’autonomie constatée avec les autres PC portables ARM « Copilot+ » testés par nos soins ces dernières semaines.
Quant à la recharge, elle se fait à l’aide d’un chargeur USB-C de 65 W en une grosse heure et demie. Un chargeur mural plus compact aurait par contre été le bienvenu.
Lenovo Yoga Slim 7X, l’avis de Clubic :
Avec son Yoga Slim 7X ARM, Lenovo signe un nouvel ultraportable d’excellente facture, aux finitions impeccables. Puissant, doté d’un écran OLED qui tutoie la perfection, et d’une autonomie copieuse, il ne souffre d’aucun défaut majeur et fera sans hésitation le bonheur de nombreux utilisateurs. Nous lui reprochons toutefois son manque de performances graphiques (un défaut qu’il partage avec les autres modèles sous Snapdragon X Elite) et ses connectiques uniquement USB-C contraignantes. Un point sur lequel Lenovo aurait dû faire mieux.
- Finitions haut de gamme
- Excellentes performances sur batterie comme sur secteur
- Autonomie généreuse (jusqu’à 13 heures)
- Écran OLED à deux doigts de la perfection
- Connectiques uniquement USB-C
- Performances graphiques toujours en retrait
- À quand les machines Windows ARM sans ventilateurs ?
Fiche technique Lenovo Yoga Slim 7x
Processeur | Snapdragon X Elite |
Taille de la mémoire | 16Go |
Carte graphique | Circuit graphique intégré |
Taille de l'écran | 14.5 pouces |
Taux de rafraîchissement | 90Hz |
Système d'exploitation | Windows 11 |
Processeur | Snapdragon X Elite |
Type de processeur | Snapdragon X Elite X1E-78-100 |
Fréquence du processeur | 3.4GHz |
Finesse de gravure | 4nm |
Taille de la mémoire | 16Go |
Type de mémoire | DDR5 |
Fréquence(s) Mémoire | 8,448MHz |
Carte graphique | Circuit graphique intégré |
Max-Q | Non |
VR Ready (réalité virtuelle) | Non |
Taille de l'écran | 14.5 pouces |
Taux de rafraîchissement | 90Hz |
Type d'écran | OLED |
Résolution d'écran | 2944 x 1840 pixels |
NVIDIA G-SYNC | Non |
Écran tactile | Non |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 1 To |
Emplacement mSATA/M.2 | M.2 (occupé) |
Connectiques disponibles | USB 4.0 Type C |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 7 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.3 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - Couleur unique |
Pavé numérique | Non |
Épaisseur | 12.9mm |
Longueur | 325mm |
Largeur | 225.1mm |
Poids | 1.28kg |
Concurrence : quelles alternatives au Lenovo Yoga Slim 7X ?
- La puce M3, ses performances, son efficacité énergétique
- Travailler dans le silence absolu et sans chauffe
- Autonomie diabolique
- L’écran IPS inchangé, mais de qualité
- 8 Go de mémoire vive en 2024, et SSD toujours trop lent
- Connectiques réduites, mal réparties, et la vilaine encoche
- La lenteur du chargeur 30 W
- Le coloris noir Minuit perpétuellement cracra
- Une configuration suffisante pour jouer en Full HD+
- Machine compacte et légère, plutôt bien conçue
- Qualité d'affichage honnête
- Prix attractif
- Les performances GPU limitées
- Un système de dissipation sous dimensionné
- Autonomie anecdotique
- Puissance de la puce Snapdragon X Elite
- Autonomie flatteuse
- Qualité d’affichage de très bon niveau
- Un Surface Laptop plus facile à réparer qu’auparavant
- Microsoft fait maintenant jeu égal face à Apple
- Performances graphiques en retrait et tendance à la chauffe
- Trackpad agréable mais trop petit
- Connectiques chiches pour un 15 pouces
- L’ignoble port Surface Connect est toujours là