Lancé au début de l’été et salué pour son bon rapport équipement / prix, le Vivobook S15 OLED se décline désormais en une configuration supplémentaire, plus abordable. En s’appuyant sur le tout nouveau Snapdragon X Plus à 8 cœurs, ASUS parvient dorénavant à proposer son PC portable ARM à moins de 1000 euros. Fort bien, mais pour quels compromis ? Réponse dans notre test complet.
- Les machines ARM deviennent plus abordables
- Un écran OLED quasi parfait
- Suffisamment de puissance pour la majorité des gens
- Autonomie solide (11 à 12 heures)
- Les performances graphiques fortement amputées
- Le lecteur de cartes microSD et non SD plein format
- À quand les PC ARM sans ventilateurs ?
- Le format 16:9 en 2024
Nous en avons parlé à plusieurs reprises sur Clubic ces dernières semaines, Qualcomm n’avait pas tiré toutes ses munitions en juin, avec l’introduction des puces « Snapdragon X » sur toute une flopée de PC portables Copilot+.
À l’occasion de l’IFA 2024, le géant américain a sorti une nouvelle cartouche de sa poche en donnant le coup d’envoi à la commercialisation d’un nouveau Snapdragon X Plus : le « X1P-42-100 ». Positionné deux pas derrière son cousin le Snapdragon X Plus « X1P-64-100 », ce nouveau modèle est le premier à se contenter de 8 cœurs Oryon (au lieu de 10 à 12 cœurs sur les autres références Snapdragon X) et à assumer de voyager très léger sur le plan graphique.
Nous allons voir dans ce test si ce parti pris permet tout de même d’assurer de bonnes performances pour le quotidien… sans pour autant sacrifier trop méchamment la polyvalence de cette nouvelle puce ARM. Nous verrons également comment ce Snapdragon X Plus X1P-42-100 se défend face à la concurrence d’Intel et AMD, mais avant d’aller plus loin, voici quelques détails sur le positionnement tarifaire du Vivobook S15 qui nous intéresse aujourd’hui.
La machine qu’ASUS nous a fait parvenir en prêt est celle annoncée le 4 septembre par la marque taïwanaise. Elle regroupe un écran OLED 2,8K et 120 Hz de 15,6 pouces, 512 Go de SSD et, vous l’aurez compris, un processeur Snapdragon X Plus X1P-42-100 couplé ici à 16 Go de mémoire vive intégrée en LPDDR5x à 8448 MHz. Disponible depuis le 9 septembre 2024, cette configuration est affichée à 999 euros en France.
Notons enfin que le Vivobook S15 OLED est toujours décliné en version Snapdragon X Elite, cette fois à un tarif compris entre 1300 et 1500 euros sous nos latitudes, en fonction des options choisies.
Design : un design éprouvé sans gros défaut
Nous n’allons pas nous attarder trop longtemps ici sur le design du Vivobook S15 OLED sous Snapdragon X Plus. Ce modèle est en effet rigoureusement identique à celui que nous testions en juin, équipé d’un Snapdragon X Elite X1E-78-100. Vous retrouverez donc ici toutes nos observations concernant l’appareil.
Rappelons néanmoins les grandes lignes de ce que l’on trouve sur le Vivobook S15. Ce produit est relativement fin et léger pour un modèle de 15,6 pouces milieu de gamme. On ne dépasse pas les 35,3 x 22,7 x 1,6 cm pour 1,42 kg. L’appareil est donc facile à transporter et à utiliser ailleurs que chez soi. Son poids se rapproche même de celui observé sur de nombreux modèles ultraportables de 14 pouces.
L’engin profite en outre d’un bon niveau de finitions, mais aussi de l’habituel savoir-faire d’ASUS en matière d’assemblage. Nous n’avons aucun reproche particulier à formuler ici, d’autant que le châssis — en aluminium — paraît suffisamment robuste pour survivre aux petites maladresses du quotidien. Le coloris gris métallisé a aussi pour avantage de ne pas être trop salissant et de bien résister aux traces de doigts. Du tout bon, donc.
Le clavier dispose pour sa part d’un rétroéclairage RGB configurable, comme sur un modèle gaming. Le but est simplement d’apporter un peu de fantaisie sur un modèle autrement très classique… et c’est réussi. Les touches sont quant à elles précises et confortables, grâce à une bonne profondeur de course, et la présence d’un pavé numérique mérite d’être saluée. Sans égaler l’insolente perfection des trackpads d’Apple, le pavé tactile logé sous ce clavier est, lui aussi, de qualité.
Le Vivobook S15 est également bien pourvu sur le plan des connectiques, avec deux USB-4 Type C, deux USB-A 3.2, une sortie HDMI 2.1, un lecteur microSD, et une prise casque. Dommage, a fortiori sur un modèle grand format comme celui-ci, qu’un lecteur SD pleine taille ne soit pas présent à la place de l’emplacement microSD… qui ne servira probablement qu’à une petite fraction d’utilisateurs.
Sur le plan biométrique, Windows Hello est quoi qu’il en soit de la partie au travers d’une Webcam 1080p dotée des capteurs nécessaires à la reconnaissance faciale. L’identification et l’ouverture de session sont par conséquent instantanées ou presque.
Quant au potentiel d’évolutivité de l’appareil, il se limite au remplacement du SSD et de la batterie. Le reste des composants est en effet soudé à la carte mère… comme c’est le cas sur de plus en plus de PC portables récents, en dehors de certains produits gaming et d’autres modèles très spécifiques, comme ceux de Framework, par exemple.
Écran : un prix abaissé, mais aucun compromis sur la qualité d’image
Sur le plan de l’affichage aussi notre Vivobook S15 sous Snapdragon X Plus ne déroge pas à ce que l’on trouvait précédemment chez son cousin plus haut de gamme. En dépit d’un tarif abaissé à 999 euros, ASUS conserve donc la même dalle OLED fabriquée par Samsung Display. On y retrouve par conséquent une définition 2,8K (2880 x 1620 pixels) et une diagonale de 15,6 pouces au format 16:9. Le rafraîchissement monte toujours à 120 Hz, pour une luminance maximale donnée à 400 cd/m2 en SDR, tandis que l’espace de couleur DCI-P3 est censé être couvert à au moins 100%. Des spécifications techniques que nous pouvons intégralement confirmer à l’aide de nos outils de mesure.
Selon notre sonde et le logiciel DisplayCal, le pic de luminance se situe en effet à 399 cd/m2 en SDR, tandis que le contraste, OLED oblige, est infini. La dalle, brillante, est par contre très sujette aux reflets. Une réflectance que la luminosité maximale ne suffit malheureusement pas toujours à compenser… ce qu’il faudra garder en tête dans le cadre d’une utilisation en extérieur ou dans une pièce très éclairée (typiquement lorsqu’on travaille près d’une fenêtre, par exemple).
Cela étant dit, et en dépit d’un format 16:9 un peu vieillot en 2024, cet écran coche toutes les cases pour proposer une qualité d’affichage de très haute volée. Le spectre sRGB est en effet supporté à 169 % tandis qu’on atteint les 120 % de prise en charge du gamut DCI-P3. Parfait pour ravir nos mirettes, mais aussi pour faire le bonheur des utilisateurs sensibles à ces paramètres pour de la retouche photo, entre autres.
La fidélité colorimétrique est par ailleurs irréprochable, avec un DeltaE mesuré par nos soins à 2,1. (Il doit idéalement être égal ou inférieur à 3) et une température estimée à 6585 kelvins (soit très proche des 6500 kelvins du standard vidéo). C’est tout simplement parfait.
On remarque par contre un léger effet de halo à l’écran lorsqu’un élément parfaitement blanc est positionné sur un fond parfaitement noir. Ce problème de « blooming » est toutefois présent sur bon nombre d’écrans OLED. En revanche, l’homogénéité de la dalle est impeccable.
Performances : 8 coeurs au lieu de 10 sur un Snapdragon X Plus, ça donne quoi ?
Venons-en au cœur du sujet, et aux performances offertes par le nouveau Snapdragon X Plus X1P-42-100. Comme évoqué, ce dernier est moins bien pourvu sur le plan technique que le reste de la gamme Snapdragon X.
S’il conserve le même NPU que ses grands frères (délivrant jusqu’à 45 TOPS pour les calculs d’IA réalisés localement, notamment pour les fonctions Copilot de Windows 11), et qu’il exploite le même type de mémoire vive (LPDDR5x à 8448 MHz, et ce, à hauteur de 16 Go dans le cas de notre Vivobook S15), ce nouveau processeur ARM se contente pour le reste d’une fiche technique allégée.
On y trouve en effet « seulement » 8 cœurs et 8 threads, cadencés au maximum à 3,4 GHz sur un seul cœur, sinon à 3,2 GHz sur plusieurs cœurs (soit 200 MHz de moins que sur les autres modèles Snapdragon X Plus). En parallèle, la puce embarque 30 Mo de cache, et monte à 23 W de TDP. On y trouve enfin une partie graphique Adreno muselée, ne développant plus que 1,7 TFLOPS de performances graphiques théoriques… contre 3,8 à 4,6 TFLOPS sur les autres références de la gamme Snapdragon X.
Cela étant dit, l’architecture CPU de ce Snapdragon X Plus à 8 cœur est rigoureusement la même que sur les autres références introduites par Qualcomm avant l’été. On peut donc raisonnablement s’attendre à de solides performances en single-core, ainsi qu’à une prestation identique sur secteur et sur batterie, comme sur la plupart des puces ARM. Voyons ce qu’il en est… en activant le mode « Performances élevées » de Windows 11, mais aussi le mode « Pleine vitesse » de l’utilitaire MyASUS. Car sans ses deux activations préalables, les performances du Snapdragon X Plus sont en partie réduites.
Commençons par les résultats obtenus sur Cinebench R24. Sur cet outil, compatible avec les architectures x86 et ARM, autant sur Mac que PC (ce qui facilite grandement les comparaisons d’une plateforme à l’autre), notre Snapdragon X Plus X1P-42-100 obtient 108 points en single-core et 756 points en multi-core sur secteur. Lorsqu’on passe sur batterie, les résultats sont peu ou prou les mêmes, avec cette fois 107 points en single-core et 755 points en multi-core.
Sur Cinebench R24, le Vivobook S15 OLED sous Snapdragon X Elite X1E-78-100 marquait pour comparaison 89 points en single-core et 1 080 points en multi-core sur batterie ; contre 107 points en single-core et 1 123 points en multi-core.
Notre Snapdragon X Plus X1P-42-100 conserve donc bien les mêmes performances en single-core, mais se ratatine — comme prévu — en multi-core. Rien de surprenant : il a quatre cœurs en moins et ces derniers évoluent 200 MHz moins vite. De quoi placer la puce légèrement devant les scores CPU obtenus, toujours sur Cinebench R24, par le Core Ultra 5 125H d’Intel (99 points en single-core et 707 points en single-core sur le dernier HP Pavilion Plus 14).
Le constat est d’ailleurs de même nature sur Geekbench 6, où le Snapdragon X Plus X1P-42-100 récolte cette fois 2 371 points en single-core et 11 035 points (sur secteur). Dans les mêmes conditions, le Snapdragon X Elite X1E-78-100 obtenait pour sa part 2 357 points en single-core et 13 682 points en multi-core. Là encore, on retrouve des scores équivalents sur un seul cœur entre les deux puces, mais un résultat plus modeste en multi-core pour le Snapdragon X Plus. Pas de surprise.
Sur le plan GPU les choses se gâtent par contre très sérieusement. C’est ici que l’on sent que Qualcomm a mis un gros coup de frein. Pour avoir un point de comparaison entre les solutions graphiques des deux puces, nous avons lancé 3D Mark Steel Nomad Light sur notre machine de test. Il s’agit du benchmark que nous avions utilisé pour tester l’iGPU Adreno du Snapdragon X Elite X1E-78-100. Ce dernier y avait obtenu 1 976 points… tandis que notre Snapdragon X Plus X1P-42-100 n’y dépasse pas les 1 144 points. La messe est dite.
Sur Shadow of The Tomb Raider, le bilan est là aussi très modeste : en Full HD, avec les préréglages « moyen » et les textures en 2x anisotropique seulement, nous ne dépassons pas les 15 FPS en moyenne. Avec les mêmes réglages, le Snapdragon X Elite X1E-78-100 montait timidement à 24 FPS ; tandis que la partie graphique d’un MacBook Air M3 tenait le cap des 30 FPS en Full HD+, avec les réglages élevés et de bien meilleures textures.
Pour faire simple, le Snapdragon X Plus X1P-42-100 est exactement le processeur que nous imaginions lorsque Qualcomm l’a annoncé. Il s’agit de l’archétype de la puce milieu de gamme, efficace en bureautique et en multimédia léger. Avec elle, les activités du quotidien se feront sans encombre, avec beaucoup de réactivité. Il ne faut toutefois pas s’attendre à un monstre de puissance, à fortiori en gaming, où ce petit APU affiche très vite ses limites. Vous pourrez l’utiliser pour jouer à des jeux anciens, et par exemple faire un peu de retouche photo, ou de montage vidéo léger… avec parcimonie.
Ce que l’on garde aussi en tête, c’est que cette puce, modeste, mais efficace, permet à Qualcomm de s’aventurer sous la barre des 1000 euros. Un terrain jusqu’à présent très peu couvert par les PC portables sous processeurs ARM. À l’exception des destockages de MacBook Air M1 : rares étaient jusqu’à présent les machines ARM accessibles. Cela devrait maintenant changer. Tant mieux !
Mais qu’en est-il de la chauffe sur cette nouvelle configuration du Vivobook S15 ? Eh bien disons qu’elle est contenue. En stress test, les températures du CPU sont bien gérées, quant au châssis de l’appareil, il ne présente aucune zone de chaleur excessive, même au bout d’une longue phase de charge intensive du processeur. Dans ce contexte, les ventilateurs restent d’ailleurs relativement silencieux (39 dB à 40 cm de l’écran).
À terme, nous aimerions toutefois trouver des PC portables Windows / ARM dépourvus de systèmes de dissipation actifs… et donc capables d’opérer, à l’instar des derniers MacBook Air, dans le plus complet des silences.
Terminons par un point sur les vitesses du SSD. La barrette M2 PCIe 4.0 de 512 Go, installée sur notre exemplaire de test, monte à 5087 Mo/s en lecture et 3972 Mo/s en écriture. C’est plus que suffisant pour une machine de ce type et pour la vaste majorité des usages.
Autonomie : endurant… sans être impressionnant
Notre Vivobook S15 Snapdragon X Plus s’en tient une nouvelle fois à une batterie de 70 Wh. Couplée au nouveau processeur ARM de Qualcomm, cette dernière permet une autonomie satisfaisante, dépassant largement les 10 heures… sans pour autant impressionner au regard de ce que permettent déjà d’autres machines ARM, notamment chez Apple.
En clair, tablez sur 11 à 12 heures sur batterie. C’est en tout cas ce que l’on observe dans le cadre de notre test d’autonomie habituel (lecture vidéo via YouTube sur Edge, en 1080p, avec la luminosité de l’écran à 100 %, le rétroéclairage du clavier coupé, un casque branché et les paramètres d’alimentation les plus favorables à l’économie d’énergie). Dans ces conditions, la batterie a tenu 12 heures et 15 minutes. C’est exactement ce que nous trouvions en juin sur le Vivobook S15 OLED sous Snapdragon X Elite.
La recharge est pour sa part assurée par un bloc USB-C compact de 65 W. Le plein est fait en 1 heure et 20 minutes environ.
ASUS Vivobook S15 OLED — Snapdragon X Plus, l’avis de Clubic :
Ce n’est pas avec son nouveau Snapdragon X Plus à 8 coeurs que Qualcomm battra des records de vitesse et de performance, a fortiori sur le plan graphique ; mais avec cette puce, la firme parvient à trouver un point d’équilibre intéressant pour démocratiser ses solutions ARM… et les installer sur des PC portables plus accessibles d’un point de vu pécuniaire. C’est ce qu’il faut retenir ici, et c’est à cet égard que la firme a vu juste.
Là où Apple et ses MacBook ARM restent tous positionnés nettement au-dessus du cap symbolique des 1000 euros, le Snapdragon X Plus X1P-42-100 s’aventure en-dessous, et permet à une nouvelle génération de produits ARM de peupler tranquillement le milieu de gamme, en offrant une expérience d’utilisation plus que satisfaisante pour une majorité d’utilisateurs. Une génération de produits dont l’estimable ASUS Vivobook S15 OLED est l’un des premiers représentants.
- Les machines ARM deviennent plus abordables
- Un écran OLED quasi parfait
- Suffisamment de puissance pour la majorité des gens
- Autonomie solide (11 à 12 heures)
- Les performances graphiques fortement amputées
- Le lecteur de cartes microSD et non SD plein format
- À quand les PC ARM sans ventilateurs ?
- Le format 16:9 en 2024
Fiche technique ASUS Vivobook S15 — Snapdragon X Plus
Processeur | Qualcomm Snapdragon X Plus X1P-42-100 |
Taille de la mémoire | 16Go |
Carte graphique | iGPU Adreno |
Taille de l'écran | 15.6 pouces |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Système d'exploitation | Windows 11 |
Processeur | Qualcomm Snapdragon X Plus X1P-42-100 |
Type de processeur | 8 coeurs / 8 threads |
Fréquence du processeur | 3.2GHz |
Finesse de gravure | 4nm |
Taille de la mémoire | 16Go |
Type de mémoire | DDR5 |
Fréquence(s) Mémoire | 8,448MHz |
Carte graphique | iGPU Adreno |
Taille de l'écran | 15.6 pouces |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Type de dalle | Dalle AMOLED |
Type d'écran | OLED |
Résolution d'écran | 2.8K |
Format de l'écran | 16/9 |
Dalle mate / antireflet | Non |
NVIDIA G-SYNC | Non |
Écran tactile | Non |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 512 Go |
Disque secondaire | Sans disque secondaire |
Emplacement mSATA/M.2 | M.2 (occupé) |
Lecteur de carte mémoire | Micro SD |
Connectiques disponibles | USB 3.2, USB 4.0 Type C, Jack 3,5mm Femelle Stéréo, HDMI 2.1 |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 7 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.4 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - RGB |
Pavé numérique | Oui |
Lecteur d'empreinte digitale | Non |
Épaisseur | 1.6cm |
Longueur | 35.3cm |
Largeur | 22.7cm |
Poids | 1.42kg |
Concurrence : quelles alternatives au Vivobook S15 OLED sous Snapdragon X Plus ?
- Design éprouvé, châssis bien conçu (et bien connu)
- Clavier de qualité, capteur d’empreintes
- Bonnes performances pour le quotidien
- Assez bon écran IPS, au format 16:10
- Design toujours recopié chez Huawei
- Un arrière-goût de « pas assez » sur les connectiques
- Trackpad à revoir, webcam 720p très passable
- Évolutivité limitée (RAM soudée, SSD au format M2 2242 seulement)
- Performances satisfaisantes du Core Ultra 5 125H
- l’écran OLED et 120 Hz correctement calibré
- Appareil élégant et bien construit
- Connectiques nombreuses, webcam 1440p avec identification faciale
- Gestion des températures spartiate (chauffe et thermal throttling vigoureux)
- Châssis (un peu) plus lourd et épais que chez la concurrence
- Clavier aux touches étroites
- Beaucoup de bloatwares, encore et toujours chez HP
- Plus de puissance, SSD « amélioré » et ray-tracing supporté
- La chauffe mieux maîtrisée qu’avant
- Prise en charge de deux écrans externes désormais
- Autonomie démoniaque (près de deux journées entières)
- Clavier et trackpad parfaits, haut-parleurs de qualité, finitions irréprochables
- Toujours 8 Go de RAM et 256 Go de SSD seulement… à 1 600 euros
- Le coloris noir « Minuit » reste salissant
- Connectiques peu nombreuses et mal réparties
- L’encoche, encore et toujours
- Rapport équipement/prix avantageux
- Finesse, légèreté et solidité réunies en un appareil
- L’écran OLED et 120 Hz (quasi) parfait
- Excellent clavier, connectiques nombreuses et bonne webcam
- Les bonnes performances, y compris sur le plan graphique
- Autonomie toujours décevante (6 à 7 heures)
- Les ventilateurs que nous aurions voulus plus discrets
- L’écran brillant et ses reflets
- Haut-parleurs à revoir, et bloatwares à gogo (au secours !)