Sur un marché qui n’abonde pas vraiment en machines intéressantes proposées sous la barre des 500 euros, le constructeur allemand MEDION dévoilait début août une portée de nouveaux PC portables basiques, certes, mais entrant dans cette catégorie de produits très abordables. Nous avons pu tester l’un d’eux. Voyons s’il propose une bonne expérience générale en dépit des (nombreuses) concessions auxquelles il est contraint.

Les plus
  • Prix attractif
  • Clavier étrangement agréable
  • Connectiques nombreuses
  • Autonomie correcte (7 à 8 heures)
Les moins
  • Performances forcément limitées et SSD raplapla
  • Pas de rétroéclairage du clavier et pas de lecteur d’empreintes
  • Certaines zones fragiles (cadre d'écran et charnière)
  • Chargeur non USB-C très lent

Châssis en plastique, format 16:9, écrans IPS et processeurs Intel millésime 2020… sur le papier, les nouveaux MEDION AKOYA sont loin de faire tourner les têtes. Il faut dire qu’avec cette gamme de produits, le fabricant allemand (propriété du chinois Lenovo depuis un peu plus de 10 ans) ne vise pas vraiment le segment premium du marché, au contraire, tout l’enjeu est ici de proposer une expérience d’utilisation convaincante à un prix plancher. Nous allons voir si le pari est gagné dans le cas du modèle que MEDION nous a fait parvenir en prêt, mais avant toute chose, voici la fiche technique du produit en question.

Fiche technique MEDION AKOYA 15423

Résumé
ProcesseurIntel Core i3-1115G4
Taille de la mémoire8Go
Carte graphiqueiGPU Intel UHD Graphics
Taille de l'écran15.6 pouces
Taux de rafraîchissement60Hz
OS
Système d'exploitationWindows 11
Processeur
ProcesseurIntel Core i3-1115G4
Type de processeur2 coeurs / 4 threads
Fréquence du processeur4.1GHz
Finesse de gravure10nm
Mémoire vive
Taille de la mémoire8Go
Type de mémoireDDR4
Fréquence(s) Mémoire1,866MHz
Graphismes
Carte graphiqueiGPU Intel UHD Graphics
Écran
Taille de l'écran15.6 pouces
Taux de rafraîchissement60Hz
Type de dalleDalle IPS
Type d'écranLED
Résolution d'écranFull HD
Format de l'écran16/9
Dalle mate / antirefletOui
NVIDIA G-SYNCNon
Écran tactileNon
Stockage
Configuration disque(s)SSD
Disque principal256 Go
Disque secondaire1 slot M.2 NVMe
Emplacement mSATA/M.2M.2 (occupé)
Lecteur de carte mémoireMini SD
Connectique
Connectiques disponiblesUSB 3.2, HDMI 2.0, Micro (Jack 3.5mm Femelle), USB 3.2 Type C
Réseau sans-fil
Wi-FiOui
Version Wi-Fi5
BluetoothOui
Version Bluetooth5.1
Équipement
WebcamOui
Haut-parleursIntégrés
ClavierAzerty
Clavier rétroéclairéNon
Pavé numériqueOui
Lecteur d'empreinte digitaleNon
Caractéristiques physiques
Épaisseur2cm
Longueur35.9cm
Largeur24cm
Poids1.6kg

Dans cette configuration Core i3/8 Go de RAM/256 Go de SSD, notre modèle de prêt est affiché à un tarif de 479 euros sur le site officiel de MEDION, comme chez la plupart des revendeurs en ligne.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

L’appareil débute néanmoins dès 250 euros, mais cette fois avec une configuration 14 pouces limitée à un (tout petit) processeur Intel Celeron, à 4 Go de RAM et 128 Go de mémoire interne. Des versions mieux équipées que la nôtre existent enfin, avec cette fois des Core i5 et i7 de 11e génération, 16 Go de RAM et jusqu’à 512 Go de SSD pour un prix s’élevant cette fois à 699 euros.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Design : les premières concessions sont ici

35,9 x 24 x 2 cm pour 1,6 kg, ce sont les mensurations de notre AKOYA 15423. Derrière cette nomenclature pour le moins austère se cache donc un PC portable de 15,6 pouces aux dimensions et poids finalement assez classiques, très proches de ceux du MSI Modern 15 que nous testions il y a peu. On ne peut donc pas dire que l’appareil soit un modèle de compacité, mais il est toujours possible de le loger facilement dans un sac pour l’emmener en cours et l’ensemble ne s’avère pas si lourd que ça pour le format. MEDION a aussi réussi à bien équilibrer les poids pour permettre au capot d’être déployé d’une seule main. C’est un détail, mais cela permet quand même de gagner en confort au quotidien.

Côté design, nous sommes par contre sur un produit très basique, pour ne pas dire rudimentaire. Difficile toutefois de s’attendre à autre chose sur un modèle aussi abordable, proposé en dessous de 500 euros, rappelons-le. Pour ce prix, et sans surprise aucune, on hérite donc d’un châssis intégralement en plastique. Pour autant, l’appareil reste sobre, pas trop vilain, et profite, en outre, de finitions tout à fait respectables compte tenu de son placement tarifaire. Les différentes pièces qui composent le châssis sont en effet bien assemblées et les plastiques semblent de qualité.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

On regrette en revanche que la structure de ce MEDION AKOYA 15423 soit trop souple. Le châssis se tord un peu trop facilement sous la pression et il en va de même pour le cadre de l’écran. Attention également aux charnières, qui nous paraissent un peu fragiles. Bref, il faudra éviter de confier ce produit aux utilisateurs un peu trop casse-cou.

Au rang des concessions faites par MEDION, mentionnons aussi l’absence de lecteur d’empreintes digitales (dommage on en trouve pourtant sur l’Acer Swift 1, très abordable lui aussi) et l’absence de rétroéclairage pour le clavier. C’est heureusement le seul défaut de ce dernier. En dépit de touches au rendu très plastique, ce dernier s’avère étrangement agréable à l’usage, avec des touches larges, une frappe plus silencieuse que nous l’aurions imaginé, et une course très courte agrémentée d’un rebond tonique. Parfait pour saisir rapidement de longs textes. MEDION fait également preuve de bon sens en profitant de la taille de son produit pour ajouter un pavé numérique très utile en bureautique.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Autre (assez) bonne surprise : la webcam est nettement meilleure que ce que nous aurions pensé. Limitée à une définition 720p modeste, cette dernière offre néanmoins une qualité d’image convenable lorsque les conditions d’éclairage sont bonnes. On apprécie aussi qu’il soit possible de la désactiver manuellement à l’aide d’un petit interrupteur situé sur le flanc gauche du PC.

Carton rouge par contre en matière de trackpad. Très plastique lui aussi, ce dernier n’a fait l’objet d’aucun effort particulier de la part de MEDION. Il s’agit même d’un des pavés tactiles les plus mauvais que nous ayons testé ces dernières années. Seul atout : sa surface de glisse généreuse. En clair, si vous prévoyez d’acheter ce MEDION AKOYA 15423, prévoyez également d’utiliser une souris externe avec.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Le constructeur allemand compense ce mauvais point avec un volet connectiques bien achalandé. Au menu : une sortie HDMI, une prise d’alimentation propriétaire, une prise casque jack 3,5mm, un lecteur de cartes microSD, un port USB-C 3.2, deux ports USB-A 3.2 Gen 1, et un port USB-A 2.0. Principale ombre au tableau : la prise USB-C installée côté gauche ne prend pas en charge l’alimentation. On ne pourra donc pas l’utiliser pour recharger le PC à l’aide d’un chargeur tiers.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Un point enfin sur le démontage de l’appareil et l’accès aux composants. En l’occurrence, cela se fait très facilement en retirant une dizaine de vis cruciformes à l’aide d’un tournevis de précision. Il suffit ensuite de déclipser la plaque inférieure du châssis pour découvrir un système de dissipation regroupant un ventilateur et deux caloducs. La batterie pourra être changée facilement au besoin, au même titre que les haut-parleurs ou encore le SSD (barrette M2). La mémoire vive est par contre soudée à la carte mère. C’est dommage compte tenu du format, mais difficile de s’en plaindre à ce prix.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Écran : l’essentiel est là

Sur les produits les plus abordables, l’écran est souvent le point sur lequel les constructeurs font le plus de concessions dans l’optique de faire des économies. L’AKOYA 15423 n’échappe malheureusement pas à la règle, mais MEDION sauve quand même les meubles. Comprenez par là que nous n’avons pas à faire à un écran impraticable, loin de là.

On retrouve donc une dalle LCD IPS de 15,6 pouces, profitant d’une définition Full HD (1920 par 1080 pixels). Il s’agit d’un premier bon point à ce niveau de prix, car certains fabricants écoulent encore aujourd’hui de vieilles dalles HD TN sur ce type de machines (nous en étions récemment témoins avec le petit HP 14s). Ce n’est pas le cas ici et c’est tant mieux. Sans surprise, on reste par contre sur un format 16:9, avec par conséquent une grosse bordure au bas de l’écran. La fréquence de rafraîchissement est par ailleurs limitée à 60 Hz. Rien d’anormal là non plus.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Ce que l’on note d’emblée par contre, c’est qu’en dépit d’angles de vision très bien ouverts (vous n’aurez donc pas besoin d’être parfaitement en face de l’écran pour y voir quelque chose) le contraste n’est pas des plus mémorables. Par conséquent, l’image affichée manque de profondeur. Il faut ajouter à cela des couleurs peu fidèles, qui tirent généreusement vers le bleu… comme souvent sur ce type de produit.

Modeste, la luminosité maximale se situe pour sa part juste en dessous des 300 cd/m2. C’était prévisible, mais le revêtement antireflet fait quand même du bon travail pour réduire au maximum la brillance de cette dalle LCD. Ceci étant dit, on plisse souvent les yeux quand il faut travailler dans une pièce fortement éclairée, et l’appareil s’avère très peu adapté à une utilisation en extérieur.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Dans l’ensemble, et vous l’aurez compris, la qualité d’affichage n’est pas le point fort de notre MEDION AKOYA 15423, mais nous ne sommes pas non plus face à un écran médiocre. Compte tenu du prix de l’appareil, là encore, MEDION fait de son mieux pour s’assurer que l’essentiel est là. Il ne faut toutefois pas s’attendre à plus.

Performances : un processeur dual-core en 2023, ça suffit ?

Sur le plan des performances, MEDION adopte, là aussi, l’approche du strict nécessaire. Comme évoqué plus haut, on écope donc d’un processeur Intel de 11e génération : le Core i3-1115G4.

Couplée à 8 Go de mémoire vive (de la LPDDR4x relativement lente, cadencée à tout juste 1866 MHz), cette puce Tiger Lake, lancée il y a presque trois ans, se contente pour sa part de 2 cœurs et 4 threads, cadencés à un maximum de 4,10 GHz, et de 6 Mo de cache pour une enveloppe thermique de 15 W. Sur le plan graphique, ce processeur est par ailleurs doté d’un iGPU Intel UHD (regroupant 48 unités d’exécution à 1,25 GHz) nettement moins efficace que les iGPU Iris Xe disponible sur les références plus haut de gamme.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Ce qu’il faut retenir, c’est que nous ne sommes pas sur une machine taillée pour développer des performances de pointe, mais plutôt sur un produit orienté vers une utilisation bureautique et multimédia légère et, en la matière, le contrat est plutôt rempli.

Malgré ses deux cœurs (en lieu et place de quatre minimum sur la plupart des puces plus récentes), le Core i3-1115G4 parvient à développer un niveau de performances suffisant pour le quotidien, à condition de rester raisonnable sur les usages. Preuve en est sur Cinebench R23, où sans impressionner, le petit processeur d’Intel fait le job, sans démériter, avec 3 154 points au compteur en multi-core et 1 082 points en calcul single-core. Pour comparaison, le Core i3-1125G4 (un peu plus puissant grâce à ses 4 cœurs et 8 threads cadencés à un maximum de 3,70 GHz) du HP 14S développait pour sa part 4 085 points en calcul multi-core et 1 079 points en single-core.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Le Core i5-1135G7 du Framework Laptop, quant à lui, parvenait à cumuler 4 801 points en calcul multi-core contre 1 302 points en single-core toujours sous CineBench R23… mais sur un produit vendu environ trois fois plus cher !

Il n’empêche que le Core i3-1115G4 de notre MEDION AKOYA 15423 aurait probablement pu faire un peu mieux encore s’il avait été équipé d’un système de dissipation plus costaud. Dans le cas présent, le thermal throttling se fait sentir au bout d’une grosse vingtaine de minutes de stress test sur AIDA64. Dans le cadre de cette utilisation à 100 % des deux cœurs du processeur, les températures montent souvent à plus de 90 degrés, avec par conséquent des fréquences forcées à faire du yoyo sous la barre des 3,90 GHz.

Ceci dit, les températures ne se ressentent pas trop au niveau du clavier ou sous le châssis, et le bruit du ventilateur n’est pas trop gênant. On sent que MEDION a plutôt fait le choix du silence, même si l’on remarque quand même que le ventilateur se déclenche de temps à autre en utilisation bureautique, mais toujours brièvement. Le reste du temps, il est coupé et donc parfaitement inaudible.

Terminons par les résultats du SSD sous CrystalDiskMark. Ici, les 256 Go de stockage de notre appareil de prêt ne brillent pas vraiment. On totalise en effet 547,15 Mo/s en lecture et tout juste 516,50 Mo/s en écriture. C’est tout simplement le résultat le plus bas que nous ayons enregistré sur un SSD en plus de 4 ans. MEDION semble donc s’être tourné vers une vieille barrette M.2, très peu performante. Dommage.

Autonomie : correct, mais peut mieux faire !

Côté autonomie, le MEDION AKOYA 15423 avait de nombreux « atouts » en main pour faire carton plein : un écran pas trop lumineux, pas de rétroéclairage du clavier, un processeur à basse consommation et une batterie de 55 Wh plutôt bien dimensionnée. Malheureusement, l’appareil tombe un peu court sur ce terrain.

Dans le cadre de notre test d’endurance habituel, qui consiste à laisser les vidéos YouTube s’enchaîner (sur Edge et en 1080p) jusqu’à épuisement complet de la batterie, avec la luminosité de l’écran poussée à 100 %, un casque branché et les paramètres d’alimentation réglés sur la meilleure efficacité énergétique, nous n’avons pas réussi à dépasser les 7 heures sur batterie avant de voir l’écran s’éteindre. Une estimation à laquelle nous avons pu rajouter une heure environ dans le cadre d’une utilisation bureautique et multimédia courante.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

En résumé, tablez sur 7 à 8 heures d’autonomie. C’est honnête pour un 15 pouces, mais compte tenu de la fiche technique proposée, nous nous attendions quand même à mieux. Dans la plupart des cas, il reste néanmoins possible de passer une (petite) journée de travail sur batterie sans avoir à sortir le chargeur. Pour un produit à moins de 500 euros, ce n’est pas si mal.

Le hic le plus gênant d’après nous, c’est que l’appareil ne permet pas la recharge par USB-C et que son chargeur propriétaire de 65 W est d’une lenteur folle : comptez 2 heures et demie sur secteur pour faire entièrement le plein d’énergie.

Audio : du dépannage et pas grand-chose de plus

Les haut-parleurs sont, quant à eux, particulièrement modestes. Logés sous le châssis, ils délivrent un son très axé sur les médiums. Les voix ressortent donc plutôt bien, mais l’ensemble demeure brouillon. Les aigus manquent de précision et les graves sont totalement oubliés. On manque par ailleurs de puissance, avec un volume maximal trop faible. En dépannage, ces deux petits speakers font donc ce qu’ils peuvent. N’en attendez pas plus.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

À l’oreille, la prise casque est pour sa part tout à fait viable. Nous n’avons rien de particulier à lui reprocher. Cette sortie jack 3,5 mm délivre un signal puissant et précis.

MEDION AKOYA 15423, l’avis de Clubic :

Conclusion
Note générale
7 / 10

Soyons clairs, si le MEDION AKOYA 15423 avait été vendu plus cher, nous aurions été beaucoup plus sévères avec lui. Mais à 480 euros pour notre modèle de prêt, l’appareil s’avance sur le marché en toute modestie, avec une fiche technique honnête pour le prix et des concessions (inévitables) que nous sommes enclins à lui pardonner — au moins en partie.

Pour ce prix, l’appareil s’avère fonctionnel et il parvient quand même à nous proposer un écran Full HD de grande taille, des connectiques nombreuses, une autonomie honnête et un clavier étonnamment agréable. Dans l’ensemble, le PC portable du constructeur allemand s’avère d’ailleurs sympathique à utiliser au quotidien.

Inutile de préciser qu’il faut toutefois ménager ses attentes. Nous sommes bel et bien sur un produit d'entrée de gamme qui ne conviendra qu’aux usages les plus courants, et qui ne propose finalement pas grand-chose de plus que le minimum en 2023. Un point à bien garder en tête si vous voulez vous en acheter les services.

Les plus
  • Prix attractif
  • Clavier étrangement agréable
  • Connectiques nombreuses
  • Autonomie correcte (7 à 8 heures)
Les moins
  • Performances forcément limitées et SSD raplapla
  • Pas de rétroéclairage du clavier et pas de lecteur d’empreintes
  • Certaines zones fragiles (cadre d'écran et charnière)
  • Chargeur non USB-C très lent
Sous-notes
Design
7
Écran
6
Performances
6
Autonomie
7
Prix
9

Concurrence : quelles alternatives au Medion AKOYA 15423 ?

Les plus
  • Un sublime écran OLED calibré aux petits oignons
  • Clavier détachable agréable à l’usage
  • Webcam convaincante
  • 500 euros en prix de départ
Les moins
  • Performances faiblardes
  • Autonomie perfectible
  • 100 euros de plus à débourser pour un clavier non rétroéclairé
  • Avec ses accessoires, la tablette est un peu trop lourde et épaisse
7 /10
Aucun prix trouvé sur ce produit.
Les plus
  • Une machine bureautique efficace à petit prix
  • Clavier agréable
  • Design élégant, avec châssis en aluminium
  • Autonomie confortable
Les moins
  • Performances limitées au strict nécessaire
  • Écran 1080p perfectible
  • Prise d’alimentation fragile
  • Des modèles mieux équipés chez la concurrence… pour à peine plus cher
6 /10
Aucun prix trouvé sur ce produit.
Les plus
  • Des performances CPU qui progressent un peu
  • Format ultra compact, ultra plaisant… et ultra mobile
  • Appareil élégant et finitions impeccables
  • Clavier délicieux, trackpad efficace
Les moins
  • Une autonomie qui régresse (7 heures 30 environ)
  • Capteur d’empreintes « en option », clavier non rétroéclairé
  • Un bon écran… mais qui manque un peu de pixels
  • Connectique réduite au strict nécessaire