Dans un communiqué, le fabricant déclare : « HP ne voit pas d'association entre les imprimantes utilisées par les clients et des effets négatifs sur la santé liés à des composants organiques volatiles, de l'ozone ou de la poussière. Bien que nous reconnaissions que les imprimantes émettent des particules utra-fines, ces niveaux sont en dessous de ceux reconnus pour une exposition limite. »
De leur côté, des scientifiques américains indiquent qu'il est trop tôt pour tirer un lien entre les émissions des imprimantes et leur impact sanitaire : « Nous ne savons pas ce que les résultats de cette étude indiquent. Certainement, l'exposition à des particules ultra-fines n'est pas une très bonne chose mais nous n'avons pas d'idée à quoi cela correspond dans le monde réel ». Si l'étude australienne est la première à pointer du doigt ce problème, elle mérite vraisemblablement d'être complétée par d'autres études non pas tant sur les émissions de particules que sur leur impact réel sur la santé.