BlackBerry

Le fabricant canadien BlackBerry a publié ses résultats financiers pour son deuxième trimestre fiscal 2014. Comme prévu, il a annoncé une perte nette colossale, de 965 millions de dollars.

BlackBerry va changer de main. Le constructeur canadien a annoncé lundi soir avoir accepté la proposition formulée par le groupe Fairfax en vue d'un rachat complet de la société. L'opération valorise BlackBerry 4,7 milliards de dollars.

Après avoir subi la pression des actionnaires en 2011, Mike Lazaridis, pourrait faire son retour chez BlackBerry, voire racheter la société actuellement en difficultés financières.

BlackBerry a prévenu vendredi qu'il ferait état d'une perte d'exploitation de près d'un milliard de dollars sur le trimestre. Le Canadien annonce qu'il procèdera bientôt à une nouvelle réorganisation. Il supprimera 4 500 postes, soit plus du tiers de ses effectifs, et dit vouloir se désengager du marché grand public.

Alors que les informations selon lesquelles BlackBerry prépare sa mise en vente s'accumulent, certains constructeurs indiquent qu'ils ne sont pas intéressés par ce rachat. C'est notamment le cas du chinois Huawei.

Le constructeur canadien BlackBerry souhaiterait accélérer sa mise en vente sur le marché afin de finaliser un accord avant la fin de l'année.

Après l'annonce du rachat de la division mobile de Nokia, la société Microsoft pourrait-elle prochainement dévoiler une nouvelle acquisition dans le domaine de la téléphonie ?

La société BlackBerry annonçait récemment vouloir envisager plusieurs solutions afin de redresser la barre. L'une d'entre elles consiterait à créer une filiale pour son application de messagerie.

Nouvelles coupes dans le personnel pour le fabricant BlackBerry qui poursuit sa réorganisation.

Une présentation effectuée par un investisseur de BlackBerry a récemment été découverte dans laquelle il suggère à la société de nouvelles pistes d'évolution.

La société BlackBerry saura-t-elle retrouver de sa superbe ? Suite à des rumeurs sur un retrait du marché boursier, la direction envisagerait désormais plusieurs autres alternatives et même une revente du groupe.

BlackBerry espérait redécoller avec ses nouveaux smartphones présentés début 2013. Si l'espoir a vécu un temps, la désillusion a vite regagné les actionnaires qui ont sanctionné le titre de 20% depuis. Afin de se réorganiser sans pression, le groupe de Waterloo pense à sortir de la bourse.

Alors que le constructeur BlackBerry met actuellement en oeuvre une large restructuration interne, la société a perdu trois de ses dirigeants.

La firme canadienne indique qu'elle va supprimer pas moins de 250 postes dans son siège social de Waterloo. BlackBerry continue ainsi son plan de restructuration.

A l'occasion de la réunion annuelle de ses actionnaires, BlackBerry a tenté de convaincre du bien-fondé de sa stratégie. Thorsten Heins, le p-dg du groupe a également demandé de la patience aux actionnaires afin que le spécialiste de la téléphonie mobile puisse sortir de l'ornière.

Le constructeur canadien BlackBerry vient de publier ses résultats financiers portant sur le premier trimestre de son exercice fiscal 2014 couvrant la période calendaire de mars à mai 2013.

BlackBerry annonce le lancement d'une nouvelle solution permettant aux entreprises de mieux gérer les parcs de smartphones iOS et Android.

BlackBerry a comme prévu profité de sa conférence annuelle pour annoncer la disponibilité immédiate de la suite BlackBerry Enterprise Service en version 10.1, qui profite d'un déploiement simplifié, d'options dédiées à la régulation des usages, ainsi que de capacités de gestion plus poussées en ce qui concerne les terminaux iOS et Android.

BlackBerry a dévoilé mardi sa feuille de route lors d'un événement dédié aux développeurs. Le constructeur canadien promet que son système accueillera bientôt des applications capables de tourner en tâche de fond, mais aussi et surtout de gagner en intelligence, en sachant tirer parti de l'analyse du contexte dans lequel elles sont utilisées.

Thorsten Heins, CEO de BlackBerry, a donné mardi le coup d'envoi de la convention annuelle du constructeur canadien, BlackBerry Live. Retour sur le lancement de BlackBerry 10, services et produits destinés aux entreprises, partenariats et vision stratégique étaient au programme d'une conférence de deux heures censée illustrer les ambitions retrouvées de l'ex-RIM sur le marché des smartphones et de la mobilité.

La filiale française de BlackBerry pourrait devoir supprimer 36 postes sur les 82 que compte la division. Des licenciements économiques seraient programmés.

Face au propos d'un analyste du cabinet Detwiler Fenton, le constructeur canadien BlackBerry explique avoir ouvert une enquête auprès des autorités américaines et canadiennes.

BlackBerry renoue avec des bénéfices substantiels au dernier trimestre de son exercice fiscal 2013, plutôt grâce aux coupes dans le personnel engagées en milieu d'année, que grâce aux nouveautés introduites en février dernier. Même si le démarrage du smartphones Z10 s'est montré encourageant.

Le système BlackBerry 10, disponible depuis le mois de février ne fait pas l'unanimité dans les hautes sphères du Royaume-Uni. Le système mobile ne respecterait pas les normes de sécurisé gouvernementale.

La firme canadienne avait dévoilé un outil particulièrement intéressant pour qui souhaite imposer une démarcation entre ses informations personnelles et professionnelles. Le service sera prochainement disponible pour iOS et Android.

L'ancien p-dg de Blackberry, Jim Balsillie, vient de céder l'ensemble des actions qui étaient en sa possession. Un coup dur pour le constructeur ?

BlackBerry, anciennement Research in Motion ou RIM, a publié hier soir un communiqué dans lequel il se félicite pour son bon nouveau départ.

Alors que le marché du PC connaît un ralentissement, le constructeur chinois Lenovo tente de dynamiser ses activités mobiles et n'exclut pas de racheter Research In Motion.

Le différend opposant RIM à Nokia sur la technologie de transmission Wi-Fi s'est soldé par un accord en décembre dernier, au sujet duquel des précisions viennent d'être apportées par un document fourni à la SEC. Le canadien doit notamment verser 50 millions d'euros à Nokia pour utiliser cette technologie.