L'organisme avance plusieurs pistes permettant d'expliquer cette offensive. Au travers d'un communiqué, Swift précise que l'attaque pourrait avoir été conduite par : « un collaborateur présent au sein même de la banque, par le biais d'une cyberattaque voire une combinaison des deux ».
Cette attaque résonne en écho à une autre offensive conduite par des pirates en février dernier. Des personnes malveillantes étaient parvenues à s'introduire dans les systèmes informatiques de la banque centrale du Bangladesh. Elles avaient alors été en mesure de créer des ordres de virements d'un montant global dépassant les 800 millions d'euros. Environ 10% de la somme n'a jamais été retrouvée.
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